Think Forward.

Si Aziz Daouda, un homme, une oeuvre 1422

Par un heureux hasard arrangé par les divinités des liens sociaux, je m’étais retrouvé ami avec Si Aziz Daouda. Un bonheur et un honneur. Il est des chemins qui sont censés se rencontrer inexplicablement, comme dans la vie. Au commencement, c’était un appel téléphonique. On avait parlé de la Roumanie. Si Aziz étudiant connut ce pays. Moi, je le connaissais bien à travers des lectures : Ionesco, Cioran et Saul Bellow, auteur de L’Hiver du doyen, un roman dont le péripéties se passent dans ce pays. Parler, écrire sur l’homme sur Si Aziz Daouda, il faut être capable de le faire en se détachant de son enthousiasme et de l’emphase du style, des exigences difficiles à remplir car l’homme est un Grand. Les hommes accouchent nous dit la mythologie, et en philosophie Socrate, disait-on, accouchait les esprits. Si Aziz, lui, accouchait des destins des Hommes et des honneurs son pays, le Maroc. Des études de physiologies lui avaient montré la voie, l’art et la manière. Tout le reste est littérature ? non tout le reste est science. Une génération d’athlètes, une discipline avaient vu le jour chez nous et atteint leurs apogées grâce à sa large contribution. Il faut écouter l’homme raconter avec tact la découverte de son premier coureur dans notre pays. Ce jeune coureur qui allait ouvrir les portes du ciel de la discipline et faire connaitre le pays à travers les grands noms qui lui emboiteront le pas. Il fallait voir Aouita courir dans ses dernières lignes droites, quand « il blanchissait ». Ce mot est de notre voisin, un vieil homme, qui regardait avec joie le coureur dans un ultime effort montrant ses grandes dents blanches sous la pression de l’effort. Si Aziz n’hésite jamais à nous parler à la télé et à nous écrire à travers la plateforme Bluwr. Sa parole enjouée plaît. Pour lui, homme de terrain et homme des défis, c’est sa façon de continuer à travailler encore et encore. Comme un pédagogue, sa parole est sincère et amicale. Il possède la mémoire d’une discipline à laquelle il a consacré sa vie. C’est pourquoi il tient une parole structurée et qui invite l’audience à une vraie rencontre avec les hommes qui ont animé ce passé de médailles et de jubilation pour tout le monde. L’homme sait encore parler de son pays qu’il connait bien ; il possède une culture générale très attachante. Il parle volontiers du climats, de la faune, de la flore et des coutumes des régions du pays. L’homme qui n’a plus rien à prouver, déborde d’une énergie heureuse qui ne demande qu’à se déployer, cherchant à éclairer et à réchauffer un univers sportif gagné par la torpeur et la léthargie. Notre athlétisme n’est pas ce qu’il fut. La relève n’a pas été assurée, la fin brusque et inexplicable de l’aventure laisse pour le citoyen un gout désagréable. Si Aziz prend toujours de la hauteur dans les débats ; il sait parler autant des réussites que des échecs. La lucidité est une forme d’objectivité. Si Aziz ne se targue jamais de ses réussites qu’il sait ne pas attribuer à lui seul. Ceux qui y ont contribué sont tout le temps cités nommément. Les réussites étaient et restent le destin des hommes passionnés et qui ont travaillé jour et nuit à ces exploits. On sait combien les performances sportives, comme il l’affirme lui-même dans une émission de télé, dépendent de la science et de la technologie de pointe des fédérations, ce qui favorisait naturellement les pays développés, à l’heure même où nos athlètes décrochaient les premières places aux podium. Un dernier point retenait mon attention de pédagogue. Outre sa culture générale, Si Daouda écrit en français et en anglais. Une écriture qui manie avec subtilité les mots de la langue à l’aide d’une expression fraiche et précise. Une clarté du style et de la pensée qui fascine le lecteur. Le style c’est l’homme ; cet homme fait le style. On devine le travail colossal qu’il a fait sur lui-même pour mériter la confiance et l’amour de ces concitoyens qui n’ont de cesse de le lui montrer. Quant à ses démonstrations à lui, il les a effectuées sur le terrain, in the field, en anglais s’il vous plaît ravissant et les titres et les cœurs !
Guilizmustapha

Guilizmustapha


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The Monad 317

The Monad is found at the highest level of existence, being the eternal, indivisible spark of the Divine. It is not a being in the conventional sense, but a pure center of consciousness, a point of origin that transcends time, space, and form. The Monad is a direct emanation of the Absolute, the One Source, and contains within itself the total potential of divine intelligence and will. The Monad beholds the entire cosmos, reflecting it inwardly without division or movement. For the purpose of experience, evolution, and the expansion of consciousness, the Monad unfolds itself. This process does not mean that a fragmentation occurs, but emanation, in accordance with the laws of sacred geometry and cosmic harmony. The Monad expresses itself into twelve individuated Soul aspects — each a radiant expression of its divine essence. These are sometimes called Oversouls, Higher Selves, or Solar Selves in esoteric traditions. Each of these twelve Souls remains intimately connected to the Monad, yet takes on a unique pathway of spiritual development and service. Each Soul, in turn, extends itself into twelve Spirits, or individual incarnating identities, that manifest across the dimensions of space and time. These Spirits are what we often understand as human personalities — seemingly separate lives, yet each one is a temporary projection of a higher spiritual intelligence. These incarnations serve to gather experience, to learn through contrast and duality, and ultimately to return to unity through the path of conscious realization. Thus, from a single Monad emerge: 1) 12 Souls (higher, eternal selves). 2) Each with 12 Spirits (incarnated personalities). 3) That results in 144 individuated expressions of the original divine spark. This structure is an archetypal framework encoded within the very fabric of the universe. The number 144 is not coincidental: it is directly related to sacred numerology and appears in mystical scriptures such as the Book of Revelation, where the 144,000 sealed servants symbolize the perfected collective of awakened souls. In this model, the journey of each incarnated Spirit is not isolated, but part of a vast, intricate tapestry. All experiences — joys, sorrows, triumphs, and trials — are transmitted upward through the Soul to the Monad, enriching the totality of divine being with wisdom distilled through the lens of individuality. The Monad, untouched and changeless, still gathers all of these reflections into itself in perfect harmony. To know oneself, then, is not merely to understand one’s personal identity, but to awaken to the truth that we are emanations of a higher Soul, and beyond that, of a singular Monad — a spark of God.