Pensez le Futur.

The Future - Review and Concepts from the book: AI For Social Good (1) 7823

We begin from the end. I read the book AI For Social Good by Rahul Dodhia and I gained some interesting ideas from it which I want to elucidate with my own take. So, we begin from the end - the final chapter - not only because it is the freshest parts of the book within my mind as I read them the last, but also because most of its paragraphs had my highlights for the entire book. One of such paragraphs that is worth mentioning is Rahul’s take on how the future of AI should be embraced when it becomes more powerful than we currently know it, and more powerful than humanity could understand. “The advancement of AI forces us to re-evaluate what we value in being human. It pushes us to move beyond intelligence as the primary measure of worth”. Rahul makes the argument that as humans, we have always taken pride in our intelligence, and now we find ourselves at a point where we are creating minds that can become more intelligent than us. Rather than resisting the change, hoping for new careers from the change, or just adapting like we always do, there is a chance now for us to “re-evaluate what we value in being human.” This idea of using AI's advancement as an opportunity to re-evaluate our humanness gained more importance for me because in another section of the same final chapter on “The Future”, it said: “The information revolution inadvertently emphasized negative behaviors, as people found themselves ensnared by screens and engaging in rampant consumerism rather than being exclusively utilized for leisure. Free time was often channeled toward extending work hours”. This suggests that before the information age, somewhere before the 1980s, there were leisure hours which people spent wisely by visiting friends, doing hobbies, and generally performing more fulfilling activities than they are doing now. Going on social media in recent times also shows more people judging the 80s and 60s as some of the best times of their existence. People were generally happier in that era than they are now. If the information age made us lose general happiness, stable mental health, healthy work-life balance, a stronger world economy and a greater sense of contentment as a people, all for chasing more information, then AIs advancement offers us the opportunity to fix these things. If AI becomes more advanced, more leisure will be created because most jobs will be automated. Contrary to the information age, there will not be any value in seeking out more information and knowledge to stay ahead anymore. Rather, real and abundant leisure will be created. Looking on the brighter side of job losses, whatever those activities were in the 60s that made life more exciting, people would become unbridled from the constant thirst for information and do those things - and maybe life will have more meaning again.
THEJEDI

THEJEDI


1200

0

Quand Christopher Nolan illumine Dakhla, Dakhla sublime son film... 44

Christopher Nolan vient d’achever à Dakhla, joyau du sud marocain, le tournage d’une partie de son prochain film, "The Odyssey". C'est une adaptation cinématographique de l’épopée d’Ulysse. Parmi les lieux de tournage choisis, la spectaculaire Dune Blanche, située à une trentaine de kilomètres de Dakhla, un décor naturel exceptionnel mêlant sable blanc et lagune turquoise, qui a largement contribué à la richesse visuelle du film. Cette superproduction hollywoodienne réunit un casting prestigieux : Matt Damon y incarne Ulysse, aux côtés de Zendaya, Charlize Theron, Tom Holland, Robert Pattinson, Anne Hathaway et Lupita Nyong’o. La sortie mondiale du film est prévue pour le 15 juillet 2026. Avant de poser leurs caméras à Dakhla, l’équipe de Nolan avait filmé des séquences à Ouarzazate, notamment au Ksar Aït Ben Haddou, ainsi qu’en Italie. Initialement, Nolan envisageait des lieux comme les Bermudes ou l’Australie pour certaines scènes maritimes, mais le choix s’est finalement porté sur le sud du Royaume, reconnu pour la diversité et la qualité de ses paysages naturels. Le tournage à Dakhla est largement perçu comme une formidable opportunité pour la ville et pour le Maroc, renforçant leur visibilité sur la scène cinématographique internationale tout en valorisant l’industrie locale du film. Mais qui est Christopher Nolan dans le monde du cinéma ? En 2024, il a remporté deux Oscars majeurs : celui du meilleur réalisateur et du meilleur film pour Oppenheimer (2023). Il a également reçu le César d’honneur pour l’ensemble de sa carrière, le BAFTA du meilleur réalisateur, ainsi que plusieurs autres distinctions prestigieuses telles que les Golden Globes et les Directors Guild of America Awards toujours pour Oppenheimer. Ce bref aperçu atteste que Nolan n’est pas une figure ordinaire dans l'industrie du cinéma? C'est l'un des plus grands cinéastes au monde. Cependant, cette production a suscité étonnement des controverses, infondées et dénuées de rigueur. Le média Middle East Eye lui a consacrée un article condamnant le tournage à Dakhla, adoptant un ton sélectif et victimisant, s’appuyant sur une rhétorique de « décolonisation » et de prétendues « voix autochtones ». Cette critique, truffée d’inexactitudes historiques et d’un parti pris évident, révèle soit une ignorance profonde de l'histoire de ces contrées et de leur géographie physique et humaine, soit une volonté délibérée de déformer la réalité pour une quelconque contrepartie… Le tournage s’est déroulé dans une ville paisible et stable, dotée d’infrastructures modernes, où règne une souveraineté marocaine incontestable. Et c'est probablement cette stabilité qui dérange certains, notamment parce qu’elle met en lumière les succès du Royaume dans cette région de son territoire, contrastant avec la situation difficile générée par le Front Polisario qui avec sa tutelle, n’a apporté aux populations séquestrées dans les camps de Tindouf que désespoir et absence de dignité, depuis près de 50 ans. Alors que Middle East Eye accuse le Maroc de « normalisation culturelle », l'article omet de mentionner que l’Algérie exerce une véritable occupation sur les Sahraouis séquestrés dans les camps de la honte, où ces derniers, minoritaires par rapport aux sahraouis au Maroc, ne disposent ni de liberté de circulation, ni de nationalité, ni d’une presse indépendante. Ils ne bénéficient même pas du statut de réfugiés, les Nations unis étant empêchées par le pays hôte de les recenser . La vraie question demeure donc : qui est le véritable colonisateur dans ce contexte ? Les Sahraouis, majoritaires, vivant dans le Sahara marocain bénéficient d’un niveau de vie significativement supérieur à celui des populations des camps de Tindouf, voire du pays hôte toute région confondues. Ils participent aux processus démocratiques, dirigent leurs communes, villes et régions, participent à la vie politique du Royaume, occupent des postes de responsabilités à tous les niveaux de l'état, créent des entreprises, animent des associations, voyagent librement et produisent des œuvres culturelles enrichissante pour leur pays. Leurs enfants vont dans des écoles et des universités de qualité. Ils se soignent dans des hôpitaux haut de gamme et n’ont nul besoin qu’un média prétende parler à leur place. En réalité, cet article n’a rien à voir avec un journalisme sérieux, mais traduit une nostalgie d’un colonialisme inversé et une vision néo-orientaliste dépassée. Il s’agit d’une mise en scène idéologique orchestrée par un groupe d’activistes européens, utilisant les Sahraouis comme instruments d’une propagande déjà vue pour ne pas dire ridicule. L'objectif ici n’est ni la paix, ni l’autonomie réelle, mais la perpétuation d’un ressentiment artificiel, au service de leur chimère d’un État sahraoui indépendant. Un état qui n’existera jamais. Entre temps, l'équipe de tournage de "The Odyssey" , satisfaite de la qualité de l'accueil, de l'assistance et du soutien des autorités marocaines et du travail réalisé, est bel et bien rentrée aux USA à bord d'un avion Royal Air Maroc affrété pour l'occasion. Gageons que Christopher Nolan ne fera pas longtemps avant de revenir avec un autre projet et que la beauté des images de son film, pousseront d'autres grands du cinéma mondial à venir à Dakhla pour sublimer leurs œuvres prochaines.