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L'athlétisme sport le plus représentatif du continent africain


L'athlétisme sport le plus représentatif du continent africain

L’une des instances sportives africaines les plus dynamiques est la confédération africaine d’athlétisme. Ce dynamisme est bien évidement la résultante du fait qu’elle gère le sport le plus représentatif du continent, mais il vient aussi de ses composantes qui sont bien évidement les fédérations nationales dont la CAA est simplement l’émanation. Son rôle est de susciter de canaliser et de coordonner les efforts de développement de l’athlétisme sur le continent. L’athlétisme est le sport qui a rapporté, qui rapporte et qui rapportera pour longtemps encore le plus de titres et de gloires pour le continent. Pour cela de grands efforts de développement sont menés par la CAA sous la houlette de son président Hamad Kalkaba Malboum. Elle a réussi à mettre sur pied un premier plan stratégique de dix années dont les objectifs ont été quasiment tous atteints : notamment dynamiser les fédérations nationales les plus précaires et développer la pratique à partir des jeunes en introduisant des compétitions régionales et continentales pour les U18. Ce plan visait la vulgarisation et les aspects plutôt quantitatifs : nombre de pays et d’athlètes participants aux compétitions africaines, nombre de pays et d’athlètes africains présents aux compétitions mondiales. Le 2ème plan lancé en 2019 également de dix années, vise-lui la consolidation des acquis et leur renforcement en allant un peu plus vers la qualité de l’activité dans sa globalité, en réduisant les disparités entre les membres et les régions. Consciente de l’importance des aspects scientifiques pour le développement de l’athlétisme; La CAA a basé une part importante de sa stratégie sur la collaboration avec les universités dans chacun des pays membres : pour la formation des cadres et pour la recherche développement en matière de gouvernance et de management. Si l’Afrique participe pour plus de 35% dans l’athlétisme mondiale, c’est qu’elle a aussi des relations étroites avec l’instance mondiale ce qui se fait en parfaite harmonie. Il y a bien évidement des points de discorde que les deux parties tentent de dépasser pour une parfaite complémentarité. World Athlétique a délégué à la CAA un ensemble de prérogatives dont notamment les aspects de développement. Cette politique de décentralisation marche plutôt bien à la satisfaction des deux parties. L’autre partenaire important de la CAA est l’ACNOA (Association des Comités Nationaux olympiques et sportifs) avec laquelle une grande collaboration est en train de se mettre en place. L’ACNOA est le bras du CIO sur le continent. Cette instance qui impacte beaucoup l’activité sportive sur le continent, notamment depuis qu’elle est en charge des Jeux Africains, a confié la mission de développement du sport en Afrique à M. Hamad Kalkaba Malboum président de la CAA. Le modèle de développement de l’athlétisme inspire ainsi l’intégralité des sports en Afrique. Une grande coopération est aussi entreprise avec l’Unité Africaine liée à la CAA par une convention fort importante dont les objectifs sont multiples. Bien évidement la CAA ne réussira pas son pari sans une collaboration avec ses membres, leurs gouvernements respectifs et les CNO respectifs. Le financement reste le défi majeur. Difficile d’avancer des chiffres dans la mesure où il est impossible de compiler la totalité de ce qui est dépensé ou investit en athlétisme. Nous avons l’intervention des collectivités locales, des gouvernements, des CNO et celle certainement très importante des individus et de la société civile par les associations et clubs. Si aujourd'hui l’athlétisme se pratique dans les 54 pays d’Afrique et que tous participent aux compétitions continentales, c’est que ceci est accompagné de budgets conséquents. Mais il en faut encore et davantage. Paradoxalement il y a des pays sans les nommer qui mettent annuellement plus de 10 millions de dollars dans le fonctionnement de leur fédération d’athlétisme et des centaines de millions dans l’infrastructure, malheureusement peu nombreux. D’autres ne dépassent pas les 20 ou 30 milles USD comme budget. Ceci est compréhensible au vu du PIB de certains pays ou du désintérêt de certains gouvernements à l’égard de l'athlétisme, alors qu’il est le sport de base par excellence. Le financement est rendu difficile dans bon nombre de pays par la faiblesse du tissu économique caractérisé par les monopoles, la faiblesse de la consommation et la mainmise de certaines multinationales qui ne font aucun effort dans le développement local et sont loin de soutenir l’épanouissement des jeunes par le sport. Il faut aussi comprendre et admettre est que ce n’est pas qu’une question de budget. Preuve en est que les pays qui dépensent le plus ne sont pas forcément les plus performants à l’échelle du continent ou du monde. La CAA a placé le développement de la jeunesse au cœur de sa stratégie. Elle en fait sa mission exclusive. Elle considère que le développement de l’athlétisme sur le continent doit être centré sur le pratiquant. Partant de cette philosophie, la formation des cadres est un levier fort important. Les jeunes doivent être encadrés par des cadres compétents. C’est ainsi qu’elle compte aujourd’hui huit centres dont la mission est de former des cadres mais également des athlètes. C’est ce qui est appelé AADC : African Athletics Development Centers. Et ça marche plutôt bien au point que de nouveaux centres sont en projet. Un centre vient justement d’être lancé à Abidjan courant 2023 et un autre est en passe de l’être à Praia au Cap Vert, au profit des pays lusophones. C’est ainsi que répond la CAA, ses partenaires et fédérations membres au besoin pressant de développement, en rapprochant davantage ses actions des bénéficiaires. La CAA a par ailleurs des conventions avec les fédérations des pays "nantis" en Afrique afin que leurs infrastructures et savoir-faire bénéficient aux "moins nantis". Elle a signé notamment une convention avec la Fédération Royale Marocaine et avec celles d’Ethiopie et d’Afrique du Sud. La CAA a par ailleurs crée des unités d’entrainement dans plus d’un pays. Il s’agit de groupe de jeunes talentueux qui s’entrainent sous la houlette d'entraineurs qualifiés désigné par la CAA. Le tout est financé par la CAA. Ceci notamment pour améliorer le niveau dans les épreuves les moins développées sur le continent ou pour aider les pays qui ont de la difficulté à mettre sur pied un bon système de formation des athlètes. La CAA considérant que les athlètes africains doivent avoir des possibilités de compétitions sur le continent et a ainsi assuré la pérennité et la continuité d'un système de compétition que Covid est malheureusement venu perturber. A côté des championnats d’Afrique dans trois catégories d’âge en crosscountry et en athlétisme, la CAA organise un African Tour de meeting d’un jour en trois catégories Gold, Silver et Bronze qui s’ajoutent à la Diamond League de Rabat, le Kip Keino Classic de Nairobi et le Botswana Golden de Gaborone. Aziz Daouda

L'athlétisme sport le plus représentatif du continent africain

L’une des instances sportives africaines les plus dynamiques est la confédération africaine d’athlétisme. Ce dynamisme est bien évidement la résultante du fait qu’elle gère le sport le plus représentatif du continent, mais il vient aussi de ses composantes qui sont bien évidement les fédérations nationales dont la CAA est simplement l’émanation. Son rôle est de susciter de canaliser et de coordonner les efforts de développement de l’athlétisme sur le continent. L’athlétisme est le sport qui a rapporté, qui rapporte et qui rapportera pour longtemps encore le plus de titres et de gloires pour le continent. Pour cela de grands efforts de développement sont menés par la CAA sous la houlette de son président Hamad Kalkaba Malboum. Elle a réussi à mettre sur pied un premier plan stratégique de dix années dont les objectifs ont été quasiment tous atteints : notamment dynamiser les fédérations nationales les plus précaires et développer la pratique à partir des jeunes en introduisant des compétitions régionales et continentales pour les U18. Ce plan visait la vulgarisation et les aspects plutôt quantitatifs : nombre de pays et d’athlètes participants aux compétitions africaines, nombre de pays et d’athlètes africains présents aux compétitions mondiales. Le 2ème plan lancé en 2019 également de dix années, vise-lui la consolidation des acquis et leur renforcement en allant un peu plus vers la qualité de l’activité dans sa globalité, en réduisant les disparités entre les membres et les régions. Consciente de l’importance des aspects scientifiques pour le développement de l’athlétisme; La CAA a basé une part importante de sa stratégie sur la collaboration avec les universités dans chacun des pays membres : pour la formation des cadres et pour la recherche développement en matière de gouvernance et de management. Si l’Afrique participe pour plus de 35% dans l’athlétisme mondiale, c’est qu’elle a aussi des relations étroites avec l’instance mondiale ce qui se fait en parfaite harmonie. Il y a bien évidement des points de discorde que les deux parties tentent de dépasser pour une parfaite complémentarité. World Athlétique a délégué à la CAA un ensemble de prérogatives dont notamment les aspects de développement. Cette politique de décentralisation marche plutôt bien à la satisfaction des deux parties. L’autre partenaire important de la CAA est l’ACNOA (Association des Comités Nationaux olympiques et sportifs) avec laquelle une grande collaboration est en train de se mettre en place. L’ACNOA est le bras du CIO sur le continent. Cette instance qui impacte beaucoup l’activité sportive sur le continent, notamment depuis qu’elle est en charge des Jeux Africains, a confié la mission de développement du sport en Afrique à M. Hamad Kalkaba Malboum président de la CAA. Le modèle de développement de l’athlétisme inspire ainsi l’intégralité des sports en Afrique. Une grande coopération est aussi entreprise avec l’Unité Africaine liée à la CAA par une convention fort importante dont les objectifs sont multiples. Bien évidement la CAA ne réussira pas son pari sans une collaboration avec ses membres, leurs gouvernements respectifs et les CNO respectifs. Le financement reste le défi majeur. Difficile d’avancer des chiffres dans la mesure où il est impossible de compiler la totalité de ce qui est dépensé ou investit en athlétisme. Nous avons l’intervention des collectivités locales, des gouvernements, des CNO et celle certainement très importante des individus et de la société civile par les associations et clubs. Si aujourd'hui l’athlétisme se pratique dans les 54 pays d’Afrique et que tous participent aux compétitions continentales, c’est que ceci est accompagné de budgets conséquents. Mais il en faut encore et davantage. Paradoxalement il y a des pays sans les nommer qui mettent annuellement plus de 10 millions de dollars dans le fonctionnement de leur fédération d’athlétisme et des centaines de millions dans l’infrastructure, malheureusement peu nombreux. D’autres ne dépassent pas les 20 ou 30 milles USD comme budget. Ceci est compréhensible au vu du PIB de certains pays ou du désintérêt de certains gouvernements à l’égard de l'athlétisme, alors qu’il est le sport de base par excellence. Le financement est rendu difficile dans bon nombre de pays par la faiblesse du tissu économique caractérisé par les monopoles, la faiblesse de la consommation et la mainmise de certaines multinationales qui ne font aucun effort dans le développement local et sont loin de soutenir l’épanouissement des jeunes par le sport. Il faut aussi comprendre et admettre est que ce n’est pas qu’une question de budget. Preuve en est que les pays qui dépensent le plus ne sont pas forcément les plus performants à l’échelle du continent ou du monde. La CAA a placé le développement de la jeunesse au cœur de sa stratégie. Elle en fait sa mission exclusive. Elle considère que le développement de l’athlétisme sur le continent doit être centré sur le pratiquant. Partant de cette philosophie, la formation des cadres est un levier fort important. Les jeunes doivent être encadrés par des cadres compétents. C’est ainsi qu’elle compte aujourd’hui huit centres dont la mission est de former des cadres mais également des athlètes. C’est ce qui est appelé AADC : African Athletics Development Centers. Et ça marche plutôt bien au point que de nouveaux centres sont en projet. Un centre vient justement d’être lancé à Abidjan courant 2023 et un autre est en passe de l’être à Praia au Cap Vert, au profit des pays lusophones. C’est ainsi que répond la CAA, ses partenaires et fédérations membres au besoin pressant de développement, en rapprochant davantage ses actions des bénéficiaires. La CAA a par ailleurs des conventions avec les fédérations des pays "nantis" en Afrique afin que leurs infrastructures et savoir-faire bénéficient aux "moins nantis". Elle a signé notamment une convention avec la Fédération Royale Marocaine et avec celles d’Ethiopie et d’Afrique du Sud. La CAA a par ailleurs crée des unités d’entrainement dans plus d’un pays. Il s’agit de groupe de jeunes talentueux qui s’entrainent sous la houlette d'entraineurs qualifiés désigné par la CAA. Le tout est financé par la CAA. Ceci notamment pour améliorer le niveau dans les épreuves les moins développées sur le continent ou pour aider les pays qui ont de la difficulté à mettre sur pied un bon système de formation des athlètes. La CAA considérant que les athlètes africains doivent avoir des possibilités de compétitions sur le continent. Elle a ainsi assuré la pérennité et la continuité de son système de compétition que Covid est malheureusement venu perturber. A côté des championnats d’Afrique dans trois catégories d’âge en crosscountry et en athlétisme, la CAA organise un African Tour de meeting d’un jour en trois catégories Gold, Silver et Bronze qui s’ajoutent à la Diamond League de Rabat, le Kip Keino Classic de Nairobi et le Botswana Golden de Gaborone.

L'athlétisme sport le plus représentatif du continent africain

L’une des instances sportives africaines les plus dynamiques est la confédération africaine d’athlétisme. Ce dynamisme est bien évidement la résultante du fait qu’elle gère le sport le plus représentatif du continent, mais il vient aussi de ses composantes qui sont bien évidement les fédérations nationales dont la CAA est simplement l’émanation. Son rôle est de susciter de canaliser et de coordonner les efforts de développement de l’athlétisme sur le continent. L’athlétisme est le sport qui a rapporté, qui rapporte et qui rapportera pour longtemps encore le plus de titres et de gloires pour le continent. Pour cela de grands efforts de développement sont menés par la CAA sous la houlette de son président Hamad Kalkaba Malboum. Elle a réussi à mettre sur pied un premier plan stratégique de dix années dont les objectifs ont été quasiment tous atteints : notamment dynamiser les fédérations nationales les plus précaires et développer la pratique à partir des jeunes en introduisant des compétitions régionales et continentales pour les U18. Ce plan visait la vulgarisation et les aspects plutôt quantitatifs : nombre de pays et d’athlètes participants aux compétitions africaines, nombre de pays et d’athlètes africains présents aux compétitions mondiales. Le 2ème plan lancé en 2019 également de dix années, vise-lui la consolidation des acquis et leur renforcement en allant un peu plus vers la qualité de l’activité dans sa globalité, en réduisant les disparités entre les membres et les régions. Consciente de l’importance des aspects scientifiques pour le développement de l’athlétisme; La CAA a basé une part importante de sa stratégie sur la collaboration avec les universités dans chacun des pays membres : pour la formation des cadres et pour la recherche développement en matière de gouvernance et de management. Si l’Afrique participe pour plus de 35% dans l’athlétisme mondiale, c’est qu’elle a aussi des relations étroites avec l’instance mondiale ce qui se fait en parfaite harmonie. Il y a bien évidement des points de discorde que les deux parties tentent de dépasser pour une parfaite complémentarité. World Athlétique a délégué à la CAA un ensemble de prérogatives dont notamment les aspects de développement. Cette politique de décentralisation marche plutôt bien à la satisfaction des deux parties. L’autre partenaire important de la CAA est l’ACNOA (Association des Comités Nationaux olympiques et sportifs) avec laquelle une grande collaboration est en train de se mettre en place. L’ACNOA est le bras du CIO sur le continent. Cette instance qui impacte beaucoup l’activité sportive sur le continent, notamment depuis qu’elle est en charge des Jeux Africains, a confié la mission de développement du sport en Afrique à M. Hamad Kalkaba Malboum président de la CAA. Le modèle de développement de l’athlétisme inspire ainsi l’intégralité des sports en Afrique. Une grande coopération est aussi entreprise avec l’Unité Africaine liée à la CAA par une convention fort importante dont les objectifs sont multiples. Bien évidement la CAA ne réussira pas son pari sans une collaboration avec ses membres, leurs gouvernements respectifs et les CNO respectifs. Le financement reste le défi majeur. Difficile d’avancer des chiffres dans la mesure où il est impossible de compiler la totalité de ce qui est dépensé ou investit en athlétisme. Nous avons l’intervention des collectivités locales, des gouvernements, des CNO et celle certainement très importante des individus et de la société civile par les associations et clubs. Si aujourd'hui l’athlétisme se pratique dans les 54 pays d’Afrique et que tous participent aux compétitions continentales, c’est que ceci est accompagné de budgets conséquents. Mais il en faut encore et davantage. Paradoxalement il y a des pays sans les nommer qui mettent annuellement plus de 10 millions de dollars dans le fonctionnement de leur fédération d’athlétisme et des centaines de millions dans l’infrastructure, malheureusement peu nombreux. D’autres ne dépassent pas les 20 ou 30 milles USD comme budget. Ceci est compréhensible au vu du PIB de certains pays ou du désintérêt de certains gouvernements à l’égard de l'athlétisme, alors qu’il est le sport de base par excellence. Le financement est rendu difficile dans bon nombre de pays par la faiblesse du tissu économique caractérisé par les monopoles, la faiblesse de la consommation et la mainmise de certaines multinationales qui ne font aucun effort dans le développement local et sont loin de soutenir l’épanouissement des jeunes par le sport. Il faut aussi comprendre et admettre est que ce n’est pas qu’une question de budget. Preuve en est que les pays qui dépensent le plus ne sont pas forcément les plus performants à l’échelle du continent ou du monde. La CAA a placé le développement de la jeunesse au cœur de sa stratégie. Elle en fait sa mission exclusive. Elle considère que le développement de l’athlétisme sur le continent doit être centré sur le pratiquant. Partant de cette philosophie, la formation des cadres est un levier fort important. Les jeunes doivent être encadrés par des cadres compétents. C’est ainsi qu’elle compte aujourd’hui huit centres dont la mission est de former des cadres mais également des athlètes. C’est ce qui est appelé AADC : African Athletics Development Centers. Et ça marche plutôt bien au point que de nouveaux centres sont en projet. Un centre vient justement d’être lancé à Abidjan courant 2023 et un autre est en passe de l’être à Praia au Cap Vert, au profit des pays lusophones. C’est ainsi que répond la CAA, ses partenaires et fédérations membres au besoin pressant de développement, en rapprochant davantage ses actions des bénéficiaires. La CAA a par ailleurs des conventions avec les fédérations des pays "nantis" en Afrique afin que leurs infrastructures et savoir-faire bénéficient aux "moins nantis". Elle a signé notamment une convention avec la Fédération Royale Marocaine et avec celles d’Ethiopie et d’Afrique du Sud. La CAA a par ailleurs crée des unités d’entrainement dans plus d’un pays. Il s’agit de groupe de jeunes talentueux qui s’entrainent sous la houlette d'entraineurs qualifiés désigné par la CAA. Le tout est financé par la CAA. Ceci notamment pour améliorer le niveau dans les épreuves les moins développées sur le continent ou pour aider les pays qui ont de la difficulté à mettre sur pied un bon système de formation des athlètes. La CAA considérant que les athlètes africains doivent avoir des possibilités de compétitions sur le continent. Elle a ainsi assuré la pérennité et la continuité de son système de compétition que Covid est malheureusement venu perturber. A côté des championnats d’Afrique dans trois catégories d’âge en crosscountry et en athlétisme, la CAA organise un African Tour de meeting d’un jour en trois catégories Gold, Silver et Bronze qui s’ajoutent à la Diamond League de Rabat, aux étapes du World Challenge à Nairobi et à Gaborone.