Pensez le Futur.

You Graduated and Don’t Know What to Focus On for a PhD Position? 2643

I assume you’ve just earned your master’s degree. You might be feeling a bit lost. You’ve started applying for opportunities — Industry or Academia — but you’re still waiting for that interview opportunity. No one is answering your emails. I get it. You might be feeling frustrated, maybe even battling imposter syndrome. You’re thinking about enrolling in new courses to acquire enough skills to be ready for any opportunity, but you still feel very lost. Let me tell you exactly what I would do if I were in your place three years ago. Please read this article until the end. You will enjoy it, and I made it especially for you as a source of motivation, giving you exactly what you should focus on. Let’s assume first that you want to enroll in a good PhD program. Whenever I apply for an opportunity, I put myself in the interviewer’s shoes — in this case, your future supervisor. What does your future supervisor want from you? What’s your added value to their lab? Why should they recruit you? Your supervisor wants you to be the greatest version of yourself, wants to be proud of you, and wants your success to be their success as well. First, they want you to avoid distractions and focus on your PhD, producing great, interesting results, and discoveries that lead to high-quality publications. They want you to step out of your comfort zone, present at international conferences, bring added value to the lab, be a great representative, and never outshine them. Control your ego, be easygoing with the team — not a toxic presence — and remember, they don’t expect perfection, but they do expect you to do your best. I know you can be like that, but there are a few things you can do to make your application stand out. When writing emails to potential supervisors, have you read some of their most interesting, highly cited articles? Did you do some research beforehand and address specific points within your email? What did you accomplish during your master’s degree? Were you just an average student who passed exams, or did you do something exceptional that made you unique compared to most students? If yes, then mention it, talk about it, and sell it to your supervisor in your application. Show that you are unique. When writing an email, motivation letter, or research proposal, stop using templates or AI-generated content. Your supervisor is smarter than you think, and they will spot that because they’ve seen a ton of applications. They want originality; they want to know who you are and what you can do. Be original. You don’t have to make it perfect, just be yourself. I want you to create a unique application that will impress any professor who reads it. Make it stand out. Use your own creativity — you’ve graduated, which means your brain is still fresh, and you are smart. SHOW THEM THAT! Don’t apply for just one position — make different plans. You gotta be smart about it. Reach out to your previous professors, especially those whose work you found impressive, and gently ask them for a recommendation letter. Use your contacts, and take your time to make different plans, because this step is a big one toward your future goals. Be wise about it. This isn’t just about getting one position; it’s about setting up a foundation for your future. Different plans give you options, and options give you control over your path. Last but not least, if I were you, I would focus on reading a bunch of review papers in the field I’m interested in. Start doing the things your future supervisor would expect you to do in your first year: identify the scientific question that interests you, find your unique approach, and start working on answering it. It’s your mission to find the gap in your field and fill it. You can begin working on that right now, while also doing the things I mentioned above. I’m not going to dig into the details here because I’ve kept this article a bit general, but if you have any questions, feel free to ask them directly.
Anas Bedraoui

Anas Bedraoui

Anas Bedraoui is a PhD candidate at FMS, UM6P, Morocco. He is a member of the Early Career Advisory Group at eLife, Cambridge, UK. Anas is interested in writing about science, research, and psychology. He loves the BLUWR community.


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La gouvernance du sport en Afrique 1090

A chaque fois que la question du sport en Afrique est soulevée, son développement, ses réalisations, ses déboires, son ascension et le plus souvent à l’occasion de ses débâcles, la question de sa gouvernance est simultanément posée, avec ce qui s’en suit comme débats et problématique liée au concept de bonne gouvernance ; en opposition tacite à ce qui serait une mauvaise gouvernance. Ce concept de bonne gouvernance est en fait évoqué dès lors que la question à traiter est complexe et ou insuffisamment comprise. Le concept de bonne gouvernance est évoqué à chaque fois qu’il est difficile d’expliquer un résultat jugé décevant, à chaque fois que l’on cherche en fait à cacher l’incompréhension d’une situation et peut être même à dissimuler une probable incompétence à traiter d’une problématique donnée. En fait au lieu d’aller creuser et déterrer les raisons profondes, les explications plausibles, les atouts et les faiblesses du sport africain pour d’abord le comprendre et ensuite raisonner avec des données tangibles, on va se contenter au mieux de faire du benchmark, et de façon très simpliste dire que le sport africain souffre d’une seule et unique flétrissure : la mauvaise gouvernance. La question est bien plus complexe à partir même du fait que le concept sport est généralement lui-même mal défini et que le cœur des métiers du sport se trouve peu ou pas défini, peu ou pas compris et pris en compte ; il s’agit bien évidement de la performance sportive, ses déterminants et ses facteurs favorisants ou bloquants. L’Afrique, ses particularités géographiques, historiques et démographiques, ses spécificités sociologiques et politiques multiples, sont rarement prises en compte quand on évoque la question sportive. Le continent est vu comme un tout linéaire sans relief. Pour expliquer un résultat sportif, le lien est rarement fait avec un bon nombre de facteurs sou jacents voir déterminants. L’Afrique, compte tenu de la déformation de sa représentation géographique imagée, la montrant beaucoup plus petite qu’elle ne l’est en fait dans la réalité, à l’échelle du globe, est regardée exactement comme le continent européen surement beaucoup plus petit mais surdimensionné. Peu sont ceux qui évoquent les dimensions géographiques réelles de l’Afrique et ce qu'elle induit, ses diversités démographiques et ethnographiques, sa grande richesse culturelle due justement à cette diversité. Son histoire récente ayant lourdement impacté son évolution politique, la géographie des pays qui la composent, souvent incohérente ; son fonctionnement économique conséquence d’un passé colonial récent, ne sont jamais mis à l’avant et sont rarement évoqués comme des facteurs limitant ou favorisant l’évolution du sport en Afrique. Or c’est l’ensemble des ces facteurs et d’autres encore qui impactent les activités sportives africaines. D’ailleurs on ne devrait pas parler de Sport africain mais plutôt de Sport en Afrique, tellement les problématiques sont diverses d’une région à l’autre. C’est ainsi qu’il y a lieu tout d’abord, pour cerner aussi précisément que possible la question sportive en Afrique, de revenir à certains fondamentaux, de définir correctement les concepts pour ensuite pouvoir évoquer les pistes d’éventuelles meilleures politiques, meilleures gestions et peut être meilleures gouvernances. C’est sans doute l’unique voie pour entrevoir des plans de développement plus efficients. Cette approche est nécessaire et incontournable pour pouvoir échafauder et concevoir de véritables stratégies de développement, qui de surcroit, devraient s’imbriquer obligatoirement dans des stratégies globales de développement de l’humain. Aziz Daouda

Conversations et monologues 1259

Un soir, l'idée a commencé à germer... Cela faisait déjà des années que j'avais cette idée qui revenait régulièrement. Pourquoi pas un livre... ou du moins un recueil de textes?! C'est vrai, aprrès tout, pourquoi pas? Loin de moi la vie trépidante à la Indiana Jones ou à son homonyme féminine Bridget, ma vie a quand-même eu son lot de déconvenues aussi bien que d'instants de grâce qui méritent d'être partagés. Si j'écris, c'est pour que les jeunes (et les moins jeunes) demoiselles se disent "pourquoi pas?"... Inspirer une personne, la tirer vers le haut, faire en sorte qu'elle en veuille plus, plus que ce que la société veut bien lui donner comme rôle, comme place, plus que ce que son entourage veut bien lui donner comme importance... Rebattre les cartes de sa vie pour atteindre les sommets. Non, ces textes ne sont pas un énième papier de motivation à l'américaine, un enième bouquin de coaching sur comment mieux aimer ma vie, ou comment devenir quelqu'un... Non, ces textes sont des parcelles de vie racontées de manière vraie, parfois avec des mots crus. Mais ce partage peut réveiller les consciences, et créer le déclic... Donc oui, finalement, pourquoi pas un livre...