Pensez le Futur.

Trump wants it so badly... and he will get it 6469

Greenland was otherwise known to me as ‘No Data Available’, or that land appearing bigger than Africa while it is actually 14 times smaller. Now the game has changed - actually a few decades ago already - but this topic has been democratized today by Trump. The end of the 2nd World War has marked the end of an era, and in two centuries the post WW2 era will be taught in history books as an entirely new epoch; for example: Postmodern Era (1945 – today). The Soviets and the US, once allies became foes, and they were not alone in this matter. Although USSR and USA were the major military powers, other powers FOMOed and wanted a slice of the pie, most recently China. Denmark, since the Viking era also plays a significant role as the sovereign owner; Canada, and the other Arctic states (Iceland, Norway), although less involved are also part of the discussion. Historically, the British and the Germans also got involved in the region, a statement to its strategic importance. Geostrategic importance of Greenland In 2025 there are 4 major stakeholders in Greenland: USA, China, Russia, and Denmark. That is, the 2 biggest economies, 3 biggest military powers and the Sovereign owner. The strategic importance is clear. The North Pole is flooding with resources (Rare Earth Minerals, Oil & Gas, Precious Metals, Other Metals, Diamonds, etc.). Although this is huge for the Economies, it is not the main reason for the territorial feud, rather a goodwill or a bonus. The ice is melting fast, and we could have by 2100 a small but significant melting of the ice sheet. (Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) Sixth Assessment Report (AR6)). This means that new trading routes will open and he who controls those routes will possess immense leverage. Another equally important aspect (maybe even more important in today's context) is the Military aspect. In simple terms, the USA wants their bases there but they do not wish for Russian or Chinese presence, and vice-versa. The routes might be complex/uncrossable for now, but governments do not have the same definition of Long-Term than you and me, and some more than others. In a negotiation with the British, Mao Zedong once said “We will see in the Long Term”; when asked “What is the Long Term?”, Mao answered “150 years”. What should happen & what will happen? “F*** Off Mr Trump” said Anders Vistisen, Dannish European Deputy. To which Mr Trump responded “They send two dog sleds and call it security, we are able to provide security for Greenland. This is not in the interest of the United States but in the interest of the free world. I am talking about protecting the free world.” In contrast, Habib Bourguiba’s position in 1966 with the Arab League was to ‘accept proposals’ and make concessions, that is because in wars you lose even if you win. Precisely when you are not the stronger power, not choosing military conflict is always the better option. If I had a say in Danish politics I would negotiate with Trump in an attempt to retain as much influence as I possibly can. Trump has been a major critic of NATO and has not ruled out using military force to achieve his goals in Greenland; that is against a NATO member. The best action plan for Denmark is to do the opposite of what is expected from the world and from Trump’s administration, and collaborate. They might lose sovereignty, but they might also enjoy a fine outcome if they negotiate right on friendly, win-win terms. If Denmark is kicked out of Greenland militarily, by an ally, and also lose sovereignty, that would be both a strategic loss and a credibility loss. The stakes One thing is clear, the faster we come to a consensus, the better it will be for the whole world because once the ice melts, new rules such as the UN Convention on the Law of the Sea UNCLOS will apply, making it a territorial waters dispute, and we all know how those go. PS: If you want a deeper understanding on the topic, I advise: - French: Arte - dessous des cartes (On Youtube) - English: Johnny Harris (Link below)
youtube.com/watch?v=sxRdKRORYoA&...
Aouani Khalil

Aouani Khalil


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La gouvernance du sport en Afrique 1095

A chaque fois que la question du sport en Afrique est soulevée, son développement, ses réalisations, ses déboires, son ascension et le plus souvent à l’occasion de ses débâcles, la question de sa gouvernance est simultanément posée, avec ce qui s’en suit comme débats et problématique liée au concept de bonne gouvernance ; en opposition tacite à ce qui serait une mauvaise gouvernance. Ce concept de bonne gouvernance est en fait évoqué dès lors que la question à traiter est complexe et ou insuffisamment comprise. Le concept de bonne gouvernance est évoqué à chaque fois qu’il est difficile d’expliquer un résultat jugé décevant, à chaque fois que l’on cherche en fait à cacher l’incompréhension d’une situation et peut être même à dissimuler une probable incompétence à traiter d’une problématique donnée. En fait au lieu d’aller creuser et déterrer les raisons profondes, les explications plausibles, les atouts et les faiblesses du sport africain pour d’abord le comprendre et ensuite raisonner avec des données tangibles, on va se contenter au mieux de faire du benchmark, et de façon très simpliste dire que le sport africain souffre d’une seule et unique flétrissure : la mauvaise gouvernance. La question est bien plus complexe à partir même du fait que le concept sport est généralement lui-même mal défini et que le cœur des métiers du sport se trouve peu ou pas défini, peu ou pas compris et pris en compte ; il s’agit bien évidement de la performance sportive, ses déterminants et ses facteurs favorisants ou bloquants. L’Afrique, ses particularités géographiques, historiques et démographiques, ses spécificités sociologiques et politiques multiples, sont rarement prises en compte quand on évoque la question sportive. Le continent est vu comme un tout linéaire sans relief. Pour expliquer un résultat sportif, le lien est rarement fait avec un bon nombre de facteurs sou jacents voir déterminants. L’Afrique, compte tenu de la déformation de sa représentation géographique imagée, la montrant beaucoup plus petite qu’elle ne l’est en fait dans la réalité, à l’échelle du globe, est regardée exactement comme le continent européen surement beaucoup plus petit mais surdimensionné. Peu sont ceux qui évoquent les dimensions géographiques réelles de l’Afrique et ce qu'elle induit, ses diversités démographiques et ethnographiques, sa grande richesse culturelle due justement à cette diversité. Son histoire récente ayant lourdement impacté son évolution politique, la géographie des pays qui la composent, souvent incohérente ; son fonctionnement économique conséquence d’un passé colonial récent, ne sont jamais mis à l’avant et sont rarement évoqués comme des facteurs limitant ou favorisant l’évolution du sport en Afrique. Or c’est l’ensemble des ces facteurs et d’autres encore qui impactent les activités sportives africaines. D’ailleurs on ne devrait pas parler de Sport africain mais plutôt de Sport en Afrique, tellement les problématiques sont diverses d’une région à l’autre. C’est ainsi qu’il y a lieu tout d’abord, pour cerner aussi précisément que possible la question sportive en Afrique, de revenir à certains fondamentaux, de définir correctement les concepts pour ensuite pouvoir évoquer les pistes d’éventuelles meilleures politiques, meilleures gestions et peut être meilleures gouvernances. C’est sans doute l’unique voie pour entrevoir des plans de développement plus efficients. Cette approche est nécessaire et incontournable pour pouvoir échafauder et concevoir de véritables stratégies de développement, qui de surcroit, devraient s’imbriquer obligatoirement dans des stratégies globales de développement de l’humain. Aziz Daouda

Conversations et monologues 1267

Un soir, l'idée a commencé à germer... Cela faisait déjà des années que j'avais cette idée qui revenait régulièrement. Pourquoi pas un livre... ou du moins un recueil de textes?! C'est vrai, aprrès tout, pourquoi pas? Loin de moi la vie trépidante à la Indiana Jones ou à son homonyme féminine Bridget, ma vie a quand-même eu son lot de déconvenues aussi bien que d'instants de grâce qui méritent d'être partagés. Si j'écris, c'est pour que les jeunes (et les moins jeunes) demoiselles se disent "pourquoi pas?"... Inspirer une personne, la tirer vers le haut, faire en sorte qu'elle en veuille plus, plus que ce que la société veut bien lui donner comme rôle, comme place, plus que ce que son entourage veut bien lui donner comme importance... Rebattre les cartes de sa vie pour atteindre les sommets. Non, ces textes ne sont pas un énième papier de motivation à l'américaine, un enième bouquin de coaching sur comment mieux aimer ma vie, ou comment devenir quelqu'un... Non, ces textes sont des parcelles de vie racontées de manière vraie, parfois avec des mots crus. Mais ce partage peut réveiller les consciences, et créer le déclic... Donc oui, finalement, pourquoi pas un livre...