Pensez le Futur.

C'est l'asile des fous dans le tennis marocain!!!! 3559

Comme chaque année les organisateurs du GP Hassan II (FRMT) donnent 3 Wild Cards à des joueurs mal classés afin de pouvoir participer au tournoi de tennis de rang ATP250. Dans ce cas de figure, comme partout dans le monde, la préférence nationale est de vigueur. ◆On a donné la 1ere WC à Elliot Benchetrit, numéro 2 marocain et classé 661 dans l'ATP avec 48pts ◆Le numéro 1 marocain, Yassine Dlimi classé 609 dans l'ATP avec 56pts a refusé la WC car en prétextant qu'il a mieux à faire avec son université américaine en participant à des contests non reconnu par l'ATP. Va comprendre le professionnalisme de ce joueur. ◆Le phénomène marocain Reda Bennani 19eme chez les juniors et 1200 en ATP avec 6pts est toujours snobé et ignoré par la fédération à cause d'un conflit avec ses parents. Donc pas de WC pour lui. ◆Le numéro 3 marocain Adam Moundir, seul tennisman boursier du comité olympique avec 3500dhs mensuel. Je vous rappelle que le président du CNOM est au président de la FRMT et président de la SNRT. On se demande s'il maitrise aussi le clonage. Donc Adam Moundir, 760eme ATP avec 31pts est porté disparu sur le circuit depuis Octobre 2023!!! Il n'a pas recu de WC lui aussi, compréhensible quand même mais bon pourquoi il est tjrs boursier??? Un petit peu absurde!!! ◆Le numéro 4 marocain Younes Lalami Laaroussi, encore 1098eme en ATP avec 9pts, a du je crois abandonner carrément le tennis après avoir déclaré forfait comme un lâche devant un tennisman israélien. En fin de compte la FRMT a donné ses 2 dernières WC au tunisien Aziz Dougaz 234eme ATP et au jordanien Abdullah Shelbayh 229eme ATP alors qu'il n'y a pas de tournoi majeurs dans ses 2 pays pour qu'ils rendent la pareille à nos joueurs marocains. Impossible de dissocier le panarabisme de nos chibanis toujours au pouvoir au Maroc.
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Saad M

Saad M

Interest in Economics, Geopolitics, History and Sports.


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La gouvernance du sport en Afrique 1153

A chaque fois que la question du sport en Afrique est soulevée, son développement, ses réalisations, ses déboires, son ascension et le plus souvent à l’occasion de ses débâcles, la question de sa gouvernance est simultanément posée, avec ce qui s’en suit comme débats et problématique liée au concept de bonne gouvernance ; en opposition tacite à ce qui serait une mauvaise gouvernance. Ce concept de bonne gouvernance est en fait évoqué dès lors que la question à traiter est complexe et ou insuffisamment comprise. Le concept de bonne gouvernance est évoqué à chaque fois qu’il est difficile d’expliquer un résultat jugé décevant, à chaque fois que l’on cherche en fait à cacher l’incompréhension d’une situation et peut être même à dissimuler une probable incompétence à traiter d’une problématique donnée. En fait au lieu d’aller creuser et déterrer les raisons profondes, les explications plausibles, les atouts et les faiblesses du sport africain pour d’abord le comprendre et ensuite raisonner avec des données tangibles, on va se contenter au mieux de faire du benchmark, et de façon très simpliste dire que le sport africain souffre d’une seule et unique flétrissure : la mauvaise gouvernance. La question est bien plus complexe à partir même du fait que le concept sport est généralement lui-même mal défini et que le cœur des métiers du sport se trouve peu ou pas défini, peu ou pas compris et pris en compte ; il s’agit bien évidement de la performance sportive, ses déterminants et ses facteurs favorisants ou bloquants. L’Afrique, ses particularités géographiques, historiques et démographiques, ses spécificités sociologiques et politiques multiples, sont rarement prises en compte quand on évoque la question sportive. Le continent est vu comme un tout linéaire sans relief. Pour expliquer un résultat sportif, le lien est rarement fait avec un bon nombre de facteurs sou jacents voir déterminants. L’Afrique, compte tenu de la déformation de sa représentation géographique imagée, la montrant beaucoup plus petite qu’elle ne l’est en fait dans la réalité, à l’échelle du globe, est regardée exactement comme le continent européen surement beaucoup plus petit mais surdimensionné. Peu sont ceux qui évoquent les dimensions géographiques réelles de l’Afrique et ce qu'elle induit, ses diversités démographiques et ethnographiques, sa grande richesse culturelle due justement à cette diversité. Son histoire récente ayant lourdement impacté son évolution politique, la géographie des pays qui la composent, souvent incohérente ; son fonctionnement économique conséquence d’un passé colonial récent, ne sont jamais mis à l’avant et sont rarement évoqués comme des facteurs limitant ou favorisant l’évolution du sport en Afrique. Or c’est l’ensemble des ces facteurs et d’autres encore qui impactent les activités sportives africaines. D’ailleurs on ne devrait pas parler de Sport africain mais plutôt de Sport en Afrique, tellement les problématiques sont diverses d’une région à l’autre. C’est ainsi qu’il y a lieu tout d’abord, pour cerner aussi précisément que possible la question sportive en Afrique, de revenir à certains fondamentaux, de définir correctement les concepts pour ensuite pouvoir évoquer les pistes d’éventuelles meilleures politiques, meilleures gestions et peut être meilleures gouvernances. C’est sans doute l’unique voie pour entrevoir des plans de développement plus efficients. Cette approche est nécessaire et incontournable pour pouvoir échafauder et concevoir de véritables stratégies de développement, qui de surcroit, devraient s’imbriquer obligatoirement dans des stratégies globales de développement de l’humain. Aziz Daouda

Conversations et monologues 1330

Un soir, l'idée a commencé à germer... Cela faisait déjà des années que j'avais cette idée qui revenait régulièrement. Pourquoi pas un livre... ou du moins un recueil de textes?! C'est vrai, aprrès tout, pourquoi pas? Loin de moi la vie trépidante à la Indiana Jones ou à son homonyme féminine Bridget, ma vie a quand-même eu son lot de déconvenues aussi bien que d'instants de grâce qui méritent d'être partagés. Si j'écris, c'est pour que les jeunes (et les moins jeunes) demoiselles se disent "pourquoi pas?"... Inspirer une personne, la tirer vers le haut, faire en sorte qu'elle en veuille plus, plus que ce que la société veut bien lui donner comme rôle, comme place, plus que ce que son entourage veut bien lui donner comme importance... Rebattre les cartes de sa vie pour atteindre les sommets. Non, ces textes ne sont pas un énième papier de motivation à l'américaine, un enième bouquin de coaching sur comment mieux aimer ma vie, ou comment devenir quelqu'un... Non, ces textes sont des parcelles de vie racontées de manière vraie, parfois avec des mots crus. Mais ce partage peut réveiller les consciences, et créer le déclic... Donc oui, finalement, pourquoi pas un livre...