Pensez le Futur.

Man, people and humanity 3202

People have always aspired to freedom and prosperity. They always wanted to live from their work. Their pleasure is to see their offspring play, learn and prosper. People have always wanted peace as a way of life. Living in peace…a whole concept, a chimera. Alas It has never been completely like this. Except for brief, precious and rare moments that history could not remember. These moments remain exceptional, they were brief, even ephemeral. People have always sought to not be exploited by anyone, all the while they tend to exploit others. Sometimes, unfortunately, by dehumanizing with immeasurable cruelty. A history of exploitation while giving yourself a clear conscience. In fact, peoples are groups of humans with common traits. People are formed over time and coalesce around common interests. To defend himself and his interests, man can only live in community among a people. Man aspires to freedom and peace; humans say they have values but humanity does not care. The course of history unfortunately demonstrates this. Humanity imagined a way to aspire to this freedom to live in harmony: Involve everyone in the decision and give man the impression that he is part of his destiny. Nothing better than a word with Greek etymology to make it serious and credible: Democracy. This sounds very good. Yes, Democracy is there in principle to free us and make our voices heard. To realize our desires and respond to our need to live in peace. To live together. To respect others in their human dimension. To limit ourselves to our rights without encroaching on those of others. Democracy is a sort of safeguard for each and every one. At least that is how it was perhaps imagined and designed. It allows us, in theory, to express ourselves, defend and assert our rights from the most basic to the most sophisticated. Democracy is sold to us as the one and only model for the prosperity of people and their moral and material well-being. Now democracy is playing a dirty trick on us: handing over with tied hands the most mediocre among us, the most ferocious, the hungriest, the most bloodthirsty; to those who rejoice when graves are dug, when blood flows, when a child cries or a woman cries. Downside... I was born in a moment of peace, one of the few, just a few years after a cruel war started by Europeans. At the beginning they killed each other. They will then involve poor Africans as cannon fodder. Absolute cruelty for years. Millions of innocent people thrown underground. The break will be short. Without wasting time, humanity will experience the Korean War, that of Vietnam, that of Iraq, that of the Falklands, lots of squabbles in Africa and so on...The instigators and authors are always the same. Each time it's good versus evil...Each time democracy is involved, rightly or wrongly. The democratic world against the other...A democratic world which defines itself in absolute, total, integral contentment, with double standards as the only alternative of "reasoning" and "judgment" too; eliminating all others from the good square at will. Each time, genocide, each time cruelty, each time dehumanization. Each time faced with the helplessness of the man who only wants to live in peace. As for whether humanity ever existed. Will it exist one day... You understand, I don't want to talk about Palestine, the wound is still fresh and the criminals are still alive. Aziz Daouda
Aziz Daouda

Aziz Daouda

Directeur Technique et du Développement de la Confédération Africaine d'Athlétisme. Passionné du Maroc, passionné d'Afrique. Concerné par ce qui se passe, formulant mon point de vue quand j'en ai un. Humaniste, j'essaye de l'être, humain je veux l'être. Mon histoire est intimement liée à l'athlétisme marocain et mondial. J'ai eu le privilège de participer à la gloire de mon pays .


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La gouvernance du sport en Afrique 1164

A chaque fois que la question du sport en Afrique est soulevée, son développement, ses réalisations, ses déboires, son ascension et le plus souvent à l’occasion de ses débâcles, la question de sa gouvernance est simultanément posée, avec ce qui s’en suit comme débats et problématique liée au concept de bonne gouvernance ; en opposition tacite à ce qui serait une mauvaise gouvernance. Ce concept de bonne gouvernance est en fait évoqué dès lors que la question à traiter est complexe et ou insuffisamment comprise. Le concept de bonne gouvernance est évoqué à chaque fois qu’il est difficile d’expliquer un résultat jugé décevant, à chaque fois que l’on cherche en fait à cacher l’incompréhension d’une situation et peut être même à dissimuler une probable incompétence à traiter d’une problématique donnée. En fait au lieu d’aller creuser et déterrer les raisons profondes, les explications plausibles, les atouts et les faiblesses du sport africain pour d’abord le comprendre et ensuite raisonner avec des données tangibles, on va se contenter au mieux de faire du benchmark, et de façon très simpliste dire que le sport africain souffre d’une seule et unique flétrissure : la mauvaise gouvernance. La question est bien plus complexe à partir même du fait que le concept sport est généralement lui-même mal défini et que le cœur des métiers du sport se trouve peu ou pas défini, peu ou pas compris et pris en compte ; il s’agit bien évidement de la performance sportive, ses déterminants et ses facteurs favorisants ou bloquants. L’Afrique, ses particularités géographiques, historiques et démographiques, ses spécificités sociologiques et politiques multiples, sont rarement prises en compte quand on évoque la question sportive. Le continent est vu comme un tout linéaire sans relief. Pour expliquer un résultat sportif, le lien est rarement fait avec un bon nombre de facteurs sou jacents voir déterminants. L’Afrique, compte tenu de la déformation de sa représentation géographique imagée, la montrant beaucoup plus petite qu’elle ne l’est en fait dans la réalité, à l’échelle du globe, est regardée exactement comme le continent européen surement beaucoup plus petit mais surdimensionné. Peu sont ceux qui évoquent les dimensions géographiques réelles de l’Afrique et ce qu'elle induit, ses diversités démographiques et ethnographiques, sa grande richesse culturelle due justement à cette diversité. Son histoire récente ayant lourdement impacté son évolution politique, la géographie des pays qui la composent, souvent incohérente ; son fonctionnement économique conséquence d’un passé colonial récent, ne sont jamais mis à l’avant et sont rarement évoqués comme des facteurs limitant ou favorisant l’évolution du sport en Afrique. Or c’est l’ensemble des ces facteurs et d’autres encore qui impactent les activités sportives africaines. D’ailleurs on ne devrait pas parler de Sport africain mais plutôt de Sport en Afrique, tellement les problématiques sont diverses d’une région à l’autre. C’est ainsi qu’il y a lieu tout d’abord, pour cerner aussi précisément que possible la question sportive en Afrique, de revenir à certains fondamentaux, de définir correctement les concepts pour ensuite pouvoir évoquer les pistes d’éventuelles meilleures politiques, meilleures gestions et peut être meilleures gouvernances. C’est sans doute l’unique voie pour entrevoir des plans de développement plus efficients. Cette approche est nécessaire et incontournable pour pouvoir échafauder et concevoir de véritables stratégies de développement, qui de surcroit, devraient s’imbriquer obligatoirement dans des stratégies globales de développement de l’humain. Aziz Daouda

Conversations et monologues 1338

Un soir, l'idée a commencé à germer... Cela faisait déjà des années que j'avais cette idée qui revenait régulièrement. Pourquoi pas un livre... ou du moins un recueil de textes?! C'est vrai, aprrès tout, pourquoi pas? Loin de moi la vie trépidante à la Indiana Jones ou à son homonyme féminine Bridget, ma vie a quand-même eu son lot de déconvenues aussi bien que d'instants de grâce qui méritent d'être partagés. Si j'écris, c'est pour que les jeunes (et les moins jeunes) demoiselles se disent "pourquoi pas?"... Inspirer une personne, la tirer vers le haut, faire en sorte qu'elle en veuille plus, plus que ce que la société veut bien lui donner comme rôle, comme place, plus que ce que son entourage veut bien lui donner comme importance... Rebattre les cartes de sa vie pour atteindre les sommets. Non, ces textes ne sont pas un énième papier de motivation à l'américaine, un enième bouquin de coaching sur comment mieux aimer ma vie, ou comment devenir quelqu'un... Non, ces textes sont des parcelles de vie racontées de manière vraie, parfois avec des mots crus. Mais ce partage peut réveiller les consciences, et créer le déclic... Donc oui, finalement, pourquoi pas un livre...