Guerre d'Ukraine: l’Europe considère Volodymyr comme européen et pas Vladimir
Pourtant coché quelques heures plutôt par un sénateur républicain, le Président Ukrainien a raté le coche. Il s’est fait remballer comme un mal propre, prié de libérer le plancher.
Les choses pouvaient elles pas se passer différemment ?
Trump allait il recevoir Zelensky, s’il n’y eut l’insistance du britannique Stramer et du français Macron ?
Les deux protagonistes étaient-ils vraiment prêts à discuter paisiblement ?
Rien n’est moins sûr.
D’emblée on était mal embarqué. Se présenter à la Maison Blanche en jogging et chaussures de sport est un impair visuel grave. Alors que Trump cherche des partenaires pour la paix, Zelensky est dans un attifement à peine voilé de guerrier. C’est la même erreur que faisait Arafat aussi, sans s’en rendre compte. Le syrien Ahmed Achara, pourtant vrai guerrier lui, a vite compris en changeant d’accoutrement ; même s’il est un peu mal à l’aise dans sa tenue occidentale mal ajustée.
Outre la tenue, mal kiffée, Zelensky avait aussi une coiffure d’adolescent. Ses tempes portaient des traces bien fraiches de rasoir. C’est tout de même peu habituel au bureau ovale.
Beaucoup de tension dans l’air. Atmosphère tendue.
Sachant que Trump ne l’avait pas en bonne estime, il lui a été dit de ne pas trop l’irriter mais celui-ci, fort mal à l’aise dans son anglais approximatif, prononcera les propos que l’américain ne voulait pas entendre. Les mots qu'il ne fallait pas oser, des termes injurieux à l’égard de Poutine. La paix se fait toujours avec des ennemis qu’on s’abstient malgré tout d’insulter. Qualifier Poutine de meurtrier dans le bureau ovale et en public ne pouvait pas passer. Si Trump avait acquiescé sans riposter alors, il donnerait un mauvais signal au russe avec lequel il a entamé un véritable rapprochement.
Trump stoppa net l’ukrainien pour propos bellicistes, prenant l’assistance à témoin : 'Il a tellement de haine en lui qu’on ne peut pas avoir d’accord de paix dans ce cas, retorqua t-il en substance.
Altercation vive.
Plus tard sur son réseau Truth social, il écrira : «j’ai déterminé que le Président Zelensky n’est prêt pour la paix que si l’Amérique est impliquée parce qu’il pense que notre implication lui donne un grand avantage dans les négociations. Je ne veux pas d’avantage, je veux la paix». En d’autres termes il dit à Zelensky : tu veux me rouler. Ne lui a-t-il pas dit séance tenante par deux fois: tu joues à une troisième guerre mondiale.
Dans les yeux globuleux, fatigués de l’ukrainien, ramené ainsi à la dimension que voulait lui donner l’Amérique nouvelle, on pouvait lire le désarroi et le désespoir. l’Ukraine a résisté avant tout à coup d’armements et de milliards américains. Trump à l’inverse de son prédécesseur qu’il qualifie : «de type qui ne réfléchissait pas bien» ne veut pas faire durer la mascarade.
Le monde a changé. La donne a changé et sans que Zelensky ne soit consulté. Il ne comprend pas encore le nouvel état des choses, grisé par des accolades transpirant l’hypocrisie.
Quand Vance sarcastique se mêle à la danse, il est d’une virulence inouïe. Il traite Volodymyr d’ingrat, le somme de s’excuser et de remercier l’Amérique.
A force de propos pompeux des européens, Zelensky est rentré jusqu’au cou dans un personnage de Héros de la résistance et commençait surement à y croire. Trump lui rappelle de manière cynique qu’il avait perdu la guerre.
Le constat est dure. Les yeux de Zelensky se ternissent. Il exsude la défaite et se rend compte qu’il doit l’accepter. Il résiste mais les sanglots ne sont pas loin.
Le Héros des supranationalistes européens s’est écroulé, lui qui inconscient est possiblement encouragé dans son entreprise pour servir l’émergence et la consolidation d’un front européen commun, aux dépens des nationalités séculaires et des identités millénaires.
Il tente en vain de rappeler quelques faits historiques récents, accusant Poutine de ne pas respecter ses engagements. Il irrite davantage ses hôtes et oublie au passage de dire que lui aussi et ses sponsors n’ont peut-être pas respecté les leurs. Il cherche à dire que la diplomatie ne réussit pas avec le Russe et pose la question de quelle diplomatie il s’agit et Vance de lui rétorquer l’index pointé et menaçant : « je parle de la diplomatie qui mettra fin à la destruction de ton pays». Pour JD Vance, Zelensky fait de la propagande en amenant des dirigeants européens dans des tournées douteuses. Il l’accuse indirectement de manipulation et lui fait savoir qu’il est irrespectueux de le faire dans le Bureau Ovale, devant la presse.
Le clash passe à la vitesse grand V.
Le ton monte encore d’un cran quand l’ukrainien, le souffle haletant, en manque d’inspiration, rétorque aux américains qu’ils se trompent dans leur approche et que bientôt ils allaient sentir les répercussions des comportements présumés de Poutine. Il s’offre ainsi en punchingball. Les mots fusent. La Paix s’éloigne. La visite est en train de foirer. Tour à tour Le président et son vice-président ne se gênent plus. Ils cognent sans ménagement. Vlodymyr Zelensky, héros européen de la résistance et mis KO.
En back office il est prié d’évacuer les lieux. Il aura appris que jouer dans la cour des grands n’est pas aisé, voire périlleux. Il est reparti les mains vides alors que son hôte comme si de rien n’était, s’envole pour sa Floride chérie et sa partie de golf.
Dans la nuit, un sénateur républicain des plus avertis et influents, Lindsey Graham dira sur Fox News: Zelensky doit démissionner ou trouver quelqu’un d’autre pour négocier au nom de l’Ukraine. Mike Waltz, conseiller à la sécurité le répètera en des termes patibulaires. Les américains sont convaincus :Zelensky est un mal propre qui a manqué de respect à leur idole.
L’appui diplomatique apporté par le président français et le prime-minister britannique s’est effondré en l’espace d’une entrevue. Dans la nuit, le français s’agitera maladroitement et perd un peu le nord. Ses propos sont belliqueux et injurieux envers Poutine. C’est pourtant avec lui qu’il faudra composer pour sauver le soldat Zelensky. Le Britannique exprime sa solidarité, reçoit Zelensky, dans la foulée le lendemain matin. Il lui prête 2.5 milliards de pounds au passage. Il devra bien sûr les rembourser. Le faire recevoir par le Roi Charles c’est quand même osé.
Georgia Meloni peut être mieux inspirée que d’habitude propose un sommet Amérique, Europe et alliés. Chacun y va selon son positionnement. Tous ressentent que l’heure est grave.
l’Europe qui considère Volodymyr comme européen et pas Vladimir se réunit en sommet pour la sécurité , sommet dans lequel est venu s’incruster un certain Trudeau partant. Ils montrent une fébrilité sans doute exagérée. De quoi et de qui ont-ils véritablement peur ? Pensent-ils vraiment que la Russie allait les envahir? En tout cas Trump observe et n’apprécie certainement pas la présence de son voisin du nord dans cette galère. Il vient de décider de suspendre les aides à l’Ukraine et Zelensky de vite répliquer : Je veux négocier.
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Pourtant coché quelques heures plutôt par un sénateur républicain, le Président Ukrainien a raté le coche. Il s’est fait remballer comme un mal propre, prié de libérer le plancher.
Les choses pouvaient elles pas se passer différemment ?
Trump allait il recevoir Zelensky, s’il n’y eut l’insistance du britannique Stramer et du français Macron ?
Les deux protagonistes étaient-ils vraiment prêts à discuter paisiblement ?
Rien n’est moins sûr.
D’emblée on était mal embarqué. Se présenter à la Maison Blanche en jogging et chaussures de sport est un impair visuel grave. Alors que Trump cherche des partenaires pour la paix, Zelensky est dans un attifement à peine voilé de guerrier. C’est la même erreur que faisait Arafat aussi, sans s’en rendre compte. Le syrien Ahmed Achara, pourtant vrai guerrier lui, a vite compris en changeant d’accoutrement ; même s’il est un peu mal à l’aise dans sa tenue occidentale mal ajustée.
Outre la tenue, mal kiffée, Zelensky avait aussi une coiffure d’adolescent. Ses tempes portaient des traces bien fraiches de rasoir. C’est tout de même peu habituel au bureau ovale.
Beaucoup de tension dans l’air. Atmosphère tendue.
Sachant que Trump ne l’avait pas en bonne estime, il lui a été dit de ne pas trop l’irriter mais celui-ci, fort mal à l’aise dans son anglais approximatif, prononcera les propos que l’américain ne voulait pas entendre. Les mots qu'il ne fallait pas oser, des termes injurieux à l’égard de Poutine. La paix se fait toujours avec des ennemis qu’on s’abstient malgré tout d’insulter. Qualifier Poutine de meurtrier dans le bureau ovale et en public ne pouvait pas passer. Si Trump avait acquiescé sans riposter alors, il donnerait un mauvais signal au russe avec lequel il a entamé un véritable rapprochement.
Trump stoppa net l’ukrainien pour propos bellicistes, prenant l’assistance à témoin : 'Il a tellement de haine en lui qu’on ne peut pas avoir d’accord de paix dans ce cas, retorqua t-il en substance.
Altercation vive.
Plus tard sur son réseau Truth social, il écrira : «j’ai déterminé que le Président Zelensky n’est prêt pour la paix que si l’Amérique est impliquée parce qu’il pense que notre implication lui donne un grand avantage dans les négociations. Je ne veux pas d’avantage, je veux la paix». En d’autres termes il dit à Zelensky : tu veux me rouler. Ne lui a-t-il pas dit séance tenante par deux fois: tu joues à une troisième guerre mondiale.
Dans les yeux globuleux, fatigués de l’ukrainien, ramené ainsi à la dimension que voulait lui donner l’Amérique nouvelle, on pouvait lire le désarroi et le désespoir. l’Ukraine a résisté avant tout à coup d’armements et de milliards américains. Trump à l’inverse de son prédécesseur qu’il qualifie : «de type qui ne réfléchissait pas bien» ne veut pas faire durer la mascarade.
Le monde a changé. La donne a changé et sans que Zelensky ne soit consulté. Il ne comprend pas encore le nouvel état des choses, grisé par des accolades transpirant l’hypocrisie.
Quand Vance sarcastique se mêle à la danse, il est d’une virulence inouïe. Il traite Volodymyr d’ingrat, le somme de s’excuser et de remercier l’Amérique.
A force de propos pompeux des européens, Zelensky est rentré jusqu’au cou dans un personnage de Héros de la résistance et commençait surement à y croire. Trump lui rappelle de manière cynique qu’il avait perdu la guerre.
Le constat est dure. Les yeux de Zelensky se ternissent. Il exsude la défaite et se rend compte qu’il doit l’accepter. Il résiste mais les sanglots ne sont pas loin.
Le Héros des supranationalistes européens s’est écroulé, lui qui inconscient est possiblement encouragé dans son entreprise pour servir l’émergence et la consolidation d’un front européen commun, aux dépens des nationalités séculaires et des identités millénaires.
Il tente en vain de rappeler quelques faits historiques récents, accusant Poutine de ne pas respecter ses engagements. Il irrite davantage ses hôtes et oublie au passage de dire que lui aussi et ses sponsors n’ont peut-être pas respecté les leurs. Il cherche à dire que la diplomatie ne réussit pas avec le Russe et pose la question de quelle diplomatie il s’agit et Vance de lui rétorquer l’index pointé et menaçant : « je parle de la diplomatie qui mettra fin à la destruction de ton pays». Pour JD Vance, Zelensky fait de la propagande en amenant des dirigeants européens dans des tournées douteuses. Il l’accuse indirectement de manipulation et lui fait savoir qu’il est irrespectueux de le faire dans le Bureau Ovale, devant la presse.
Le clash passe à la vitesse grand V.
Le ton monte encore d’un cran quand l’ukrainien, le souffle haletant, en manque d’inspiration, rétorque aux américains qu’ils se trompent dans leur approche et que bientôt ils allaient sentir les répercussions des comportements présumés de Poutine. Il s’offre ainsi en punchingball. Les mots fusent. La Paix s’éloigne. La visite est en train de foirer. Tour à tour Le président et son vice-président ne se gênent plus. Ils cognent sans ménagement. Vlodymyr Zelensky, héros européen de la résistance et mis KO.
En back office il est prié d’évacuer les lieux. Il aura appris que jouer dans la cour des grands n’est pas aisé, voire périlleux. Il est reparti les mains vides alors que son hôte comme si de rien n’était, s’envole pour sa Floride chérie et sa partie de golf.
Dans la nuit, un sénateur républicain des plus avertis et influents, dira sur Fox News: Zelensky doit démissionner ou trouver quelqu’un d’autre pour négocier au nom de l’Ukraine. Mike Waltz, le conseiller à la sécurité le répètera en des termes patibulaires. Les américains sont convaincus : Zelensky est un mal propre qui a manqué de respect à leur idole.
L’appui diplomatique apporté par le président français et le prime-minister britannique s’est effondré en l’espace d’une entrevue. Dans la nuit, le français s’agitera maladroitement et perd un peu le nord. Ses propos sont belliqueux et injurieux envers le président russe. C’est pourtant avec lui qu’il faudra composer pour sauver le soldat Zelensky. Le Britannique exprime sa solidarité, reçoit Zelensky, dans la foulée le lendemain matin. Il lui prête 2.5 milliards de pounds au passage. Il devra bien sûr les rembourser. Le faire recevoir par le Roi Charles c’est quand même osé.
Georgia Meloni peut être mieux inspirée que d’habitude propose un sommet Amérique, Europe et alliés. Chacun y va selon son positionnement. Tous ressentent que l’heure est grave.
l’Europe qui considère Volodymyr comme européen et pas Vladimir se réunit en sommet pour la sécurité , sommet dans lequel est venu s’incruster un certain Trudeau partant. Ils montrent une fébrilité sans doute exagérée. De quoi et de qui ont-ils véritablement peur ? Pensent-ils vraiment que la Russie allait les envahir? En tout cas Trump observe et n’apprécie certainement pas la présence de son voisin du nord dans cette galère. Il vient de décider de suspendre les aides à l’Ukraine et Zelensky de vite répliquer : Je veux négocier.
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Pourtant coché quelques heures plutôt par un sénateur républicain, le Président Ukrainien a raté le coche. Il s’est fait remballer comme un mal propre, prié de libérer le plancher.
Les choses pouvaient elles pas se passer différemment ?
Trump allait il recevoir Zelensky, s’il n’y eut l’insistance du britannique Stramer et du français Macron ?
Les deux protagonistes étaient-ils vraiment prêts à discuter paisiblement ?
Rien n’est moins sûr.
D’emblée on était mal embarqué. Se présenter à la Maison Blanche en jogging et chaussures de sport est un impair visuel grave. Alors que Trump cherche des partenaires pour la paix, Zelensky est dans un attifement à peine voilé de guerrier. C’est la même erreur que faisait Arafat aussi, sans s’en rendre compte. Le syrien Ahmed Achara, pourtant vrai guerrier lui, a vite compris en changeant d’accoutrement ; même s’il est un peu mal à l’aise dans sa tenue occidentale mal ajustée.
Outre la tenue, mal kiffée, Zelensky avait aussi une coiffure d’adolescent. Ses tempes portaient des traces bien fraiches de rasoir. C’est tout de même peu habituel au bureau ovale.
Beaucoup de tension dans l’air. Atmosphère tendue.
Sachant que Trump ne l’avait pas en bonne estime, il lui a été dit de ne pas trop l’irriter mais celui-ci, fort mal à l’aise dans son anglais approximatif, prononcera les propos que l’américain ne voulait pas entendre. Les mots qu'il ne fallait pas oser, des termes injurieux à l’égard de Poutine. La paix se fait toujours avec des ennemis qu’on s’abstient malgré tout d’insulter. Qualifier Poutine de meurtrier dans le bureau ovale et en public ne pouvait pas passer. Si Trump avait acquiescé sans riposter alors, il donnerait un mauvais signal au russe avec lequel il a entamé un véritable rapprochement.
Trump stoppa net l’ukrainien pour propos bellicistes, prenant l’assistance à témoin : 'Il a tellement de haine en lui qu’on ne peut pas avoir d’accord de paix dans ce cas, retorqua t-il en substance.
Altercation vive.
Plus tard sur son réseau Truth social, il écrira : «j’ai déterminé que le Président Zelensky n’est prêt pour la paix que si l’Amérique est impliquée parce qu’il pense que notre implication lui donne un grand avantage dans les négociations. Je ne veux pas d’avantage, je veux la paix». En d’autres termes il dit à Zelensky : tu veux me rouler. Ne lui a-t-il pas dit séance tenante par deux fois: tu joues à une troisième guerre mondiale.
Dans les yeux globuleux, fatigués de l’ukrainien, ramené ainsi à la dimension que voulait lui donner l’Amérique nouvelle, on pouvait lire le désarroi et le désespoir. l’Ukraine a résisté avant tout à coup d’armements et de milliards américains. Trump à l’inverse de son prédécesseur qu’il qualifie : «de type qui ne réfléchissait pas bien» ne veut pas faire durer la mascarade.
Le monde a changé. La donne a changé et sans que Zelensky ne soit consulté. Il ne comprend pas encore le nouvel état des choses, grisé par des accolades transpirant l’hypocrisie.
Quand Vance sarcastique se mêle à la danse, il est d’une virulence inouïe. Il traite Vlodymyr d’ingrat, le somme de s’excuser et de remercier l’Amérique.
A force de propos pompeux des européens, Zelensky est rentré jusqu’au cou dans un personnage de Héros de la résistance et commençait surement à y croire. Trump lui rappelle de manière cynique qu’il avait perdu la guerre.
Le constat est dure. Les yeux de Zelensky se ternissent. Il exsude la défaite et se rend compte qu’il doit l’accepter. Il résiste mais les sanglots ne sont pas loin.
Le Héros des supranationalistes européens s’est écroulé, lui qui inconscient est possiblement encouragé dans son entreprise pour servir l’émergence et la consolidation d’un front européen commun, aux dépens des nationalités séculaires et des identités millénaires.
Il tente en vain de rappeler quelques faits historiques récents, accusant Poutine de ne pas respecter ses engagements. Il irrite davantage ses hôtes et oublie au passage de dire que lui aussi et ses sponsors n’ont peut-être pas respecté les leurs. Il cherche à dire que la diplomatie ne réussit pas avec le Russe et pose la question de quelle diplomatie il s’agit et Vance de lui rétorquer l’index pointé et menaçant : « je parle de la diplomatie qui mettra fin à la destruction de ton pays». Pour JD Vance, Zelensky fait de la propagande en amenant des dirigeants européens dans des tournées douteuses. Il l’accuse indirectement de manipulation et lui fait savoir qu’il est irrespectueux de le faire dans le Bureau Ovale, devant la presse.
Le clash passe à la vitesse grand V.
Le ton monte encore d’un cran quand l’ukrainien, le souffle haletant, en manque d’inspiration, rétorque aux américains qu’ils se trompent dans leur approche et que bientôt ils allaient sentir les répercussions des comportements présumés de Poutine. Il s’offre ainsi en punchingball. Les mots fusent. La Paix s’éloigne. La visite est en train de foirer. Tour à tour Le président et son vice-président ne se gênent plus. Ils cognent sans ménagement. Vlodymyr Zelensky, héros européen de la résistance et mis KO.
En back office il est prié d’évacuer les lieux. Il aura appris que jouer dans la cour des grands n’est pas aisé, voire périlleux. Il est reparti les mains vides alors que son hôte comme si de rien n’était, s’envole pour sa Floride chérie et sa partie de golf.
Dans la nuit, un sénateur républicain des plus avertis et influents, dira sur Fox News: Zelensky doit démissionner ou trouver quelqu’un d’autre pour négocier au nom de l’Ukraine. Mike Waltz, le conseiller à la sécurité le répètera en des termes patibulaires. Les américains sont convaincus : Zelensky est un mal propre qui a manqué de respect à leur idole.
L’appui diplomatique apporté par le président français et le prime-minister britannique s’est effondré en l’espace d’une entrevue. Dans la nuit, le français s’agitera maladroitement et perd un peu le nord. Ses propos sont belliqueux et injurieux envers le président russe. C’est pourtant avec lui qu’il faudra composer pour sauver le soldat Zelensky. Le Britannique exprime sa solidarité, reçoit Zelensky, dans la foulée le lendemain matin. Il lui prête 2.5 milliards de pounds au passage. Il devra bien sûr les rembourser. Le faire recevoir par le Roi Charles c’est quand même osé.
Georgia Meloni peut être mieux inspirée que d’habitude propose un sommet Amérique, Europe et alliés. Chacun y va selon son positionnement. Tous ressentent que l’heure est grave.
l’Europe qui considère Volodymyr comme européen et pas Vladimir se réunit en sommet pour la sécurité , sommet dans lequel est venu s’incruster un certain Trudeau partant. Ils montrent une fébrilité sans doute exagérée. De quoi et de qui ont-ils véritablement peur ? Pensent-ils vraiment que la Russie allait les envahir? En tout cas Trump observe et n’apprécie certainement pas la présence de son voisin du nord dans cette galère. Il vient de décider de suspendre les aides à l’Ukraine et Zelensky de vite répliquer : Je veux négocier.
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Les choses pouvaient elles pas se passer différemment ?
Trump allait il recevoir Zelensky, s’il n’y eut l’insistance du britannique Stramer et du français Macon ?
Les deux protagonistes étaient-ils vraiment prêts à discuter paisiblement ?
Rien n’est moins sûr.
D’emblée on était mal embarqué. Se présenter à la Maison Blanche en jogging et chaussures de sport est un impair visuel grave. Alors que Trump cherche des partenaires pour la paix, Zelensky est dans un attifement à peine voilé de guerrier. C’est la même erreur que faisait Arafat aussi, sans s’en rendre compte. Le syrien Ahmed Achara, pourtant vrai guerrier lui, a vite compris en changeant d’accoutrement ; même s’il est un peu mal à l’aise dans sa tenue occidentale mal ajustée.
Outre la tenue, mal kiffée, Zelensky avait aussi une coiffure d’adolescent. Ses tempes portaient des traces bien fraiches de rasoir. C’est tout de même peut habituel au bureau ovale.
Beaucoup de tension dans l’air. Atmosphère tendue.
Sachant que Trump ne l’avait pas en bonne estime, il lui a été dit de ne pas trop l’irriter mais celui-ci, fort mal à l’aise dans son anglais approximatif, prononcera les propos que l’américain ne voulait pas entendre. Les mots qu'il ne fallait pas oser, des termes injurieux à l’égard de Poutine. La paix se fait toujours avec des ennemis qu’on s’abstient malgré tout d’insulter. Qualifier Poutine de meurtrier dans le bureau ovale et en public ne pouvait pas passer. Si Trump avait acquiescé sans riposter alors, il donnerait un mauvais signal au russe avec lequel il a entamé un véritable rapprochement.
Trump stoppa net l’ukrainien pour propos bellicistes, prenant l’assistance à témoin : Il a tellement de haine en lui qu’on ne peut pas avoir d’accord de paix dans ce cas, retorqua t-il en substance.
Altercation vive.
Plus tard sur son réseau Truth, il écrira : « j’ai déterminé que le Président Zelensky n’est prêt pour la paix que si l’Amérique est impliquée parce qu’il pense que notre implication lui donne un grand avantage dans les négociations. Je ne veux pas d’avantage, je veux la paix ». En d’autres termes il dit à Zelensky : tu veux me rouler. Ne lui a-t-il pas dit séance tenante par deux fois: tu joues à une troisième guerre mondiale.
Dans les yeux globuleux, fatigués de l’ukrainien, ramené ainsi à la dimension que voulait lui donner l’Amérique nouvelle, on pouvait lire le désarroi et le désespoir. l’Ukraine a résisté avant tout à coup d’armements et de milliards américains. Trump à l’inverse de son prédécesseur qu’il qualifie : «de type qui ne réfléchissait pas bien» ne veut pas faire durer la mascarade.
Le monde a changé. La donne a changé et sans que Zelensky ne soit consulté. Il ne comprend pas encore le nouvel état des choses, grisé par des accolades transpirant l’hypocrisie.
Quand Vance sarcastique se mêle à la danse, il est d’une virulence inouïe. Il traite Vlodymyr d’ingrat, le somme de s’excuser et de remercier l’Amérique.
A force de propos pompeux des européens, Zelensky est rentré jusqu’au cou dans un personnage de Héros de la résistance et commençait surement à y croire. Trump lui rappelle de manière cynique qu’il avait perdu la guerre.
Le constat est dure. Les yeux de Zelensky se ternissent. Il exsude la défaite et se rend compte qu’il doit l’accepter. Il résiste mais les sanglots ne sont pas loin.
Le Héros des supranationalistes européens s’est écroulé, lui qui inconscient est possiblement encouragé dans son entreprise pour servir l’émergence et la consolidation d’un front européen commun, aux dépens des nationalités séculaires et des identités millénaires.
Il tente en vain de rappeler quelques faits historiques récents, accusant Poutine de ne pas respecter ses engagements. Il irrite davantage ses hôtes et oublie au passage de dire que lui aussi et ses sponsors n’ont peut-être pas respecté les leurs. Il cherche à dire que la diplomatie ne réussit pas avec le Russe et pose la question de quelle diplomatie il s’agit et Vance de lui rétorquer l’index pointé et menaçant : « je parle de la diplomatie qui mettra fin à la destruction de ton pays». Pour JD Vance, Zelensky fait de la propagande en amenant des dirigeants européens dans des tournées douteuses. Il l’accuse indirectement de manipulation et lui fait savoir qu’il est irrespectueux de le faire dans le Bureau Ovale, devant la presse.
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Le ton monte encore d’un cran quand l’ukrainien, le souffle haletant, en manque d’inspiration, rétorque aux américains qu’ils se trompent dans leur approche et que bientôt ils allaient sentir les répercussions des comportements présumés de Poutine. Il s’offre ainsi en punchingball. Les mots fusent. La Paix s’éloigne. La visite est en train de foirer. Tour à tour Le président et son vice-président ne se gênent plus. Ils cognent sans ménagement. Vlodymyr Zelensky, héros européen de la résistance et mis KO.
En back office il est prié d’évacuer les lieux. Il aura appris que jouer dans la cour des grands n’est pas aisé, voire périlleux. Il est reparti les mains vides alors que son hôte comme si de rien n’était, s’envole pour sa Floride chérie et sa partie de golf.
Dans la nuit, un sénateur républicain des plus avertis et influents, dira sur Fox News: Zelensky doit démissionner ou trouver quelqu’un d’autre pour négocier au nom de l’Ukraine. Mike Waltz, le conseiller à la sécurité le répètera en des termes patibulaires. Les américains sont convaincus : Zelensky est un mal propre qui a manqué de respect à leur idole.
L’appui diplomatique apporté par le président Français et le prime-minister britannique s’est effondré en l’espace d’une entrevue. Dans la nuit, le français s’agitera maladroitement et perd un peu le nord. Ses propos sont belliqueux et injurieux envers le président russe. C’est pourtant avec lui qu’il faudra composer pour sauver le soldat Zelensky. Le Britannique exprime sa solidarité, reçoit Zelensky, dans la foulée le lendemain matin. Il lui prête 2.5 milliards de pounds au passage. Il devra bien sûr les rembourser. Le faire recevoir par le Roi Charles c’est quand même osé.
Georgia Meloni peut être mieux inspirée que d’habitude propose un sommet Amérique, Europe et alliés. Chacun y va selon son positionnement. Tous ressentent que l’heure est grave.
Réunis en sommet pour la sécurité de l’Europe qui considère Vlodymyr comme européen et pas Vladimir, somment dans lequel est venu s’incruster un certain Trudeau, les européens montrent une fébrilité sans doute exagérée. De quoi et de qui ont-ils véritablement peur ? Pensent-ils vraiment que la Russie allait les envahir? En tous cas Trump observe et n’apprécie certainement pas la présence de son voisin du nord dans cette galère. Il vient de décider de suspendre les aides à l’Ukraine et Zelensky de vite répliquer : Je veux négocier.
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