Pensez le Futur.

Gnosticism 1418

Gnosticism (from the Greek γνῶσις, gnosis, meaning “knowledge” or “insight”) refers to a diverse set of spiritual movements that emerged in the early centuries of the Common Era, primarily within the Greco-Roman world. These traditions share a central conviction: that the human soul contains a divine spark exiled in a flawed or fallen material world, and that salvation comes not through faith alone, but through direct, experiential knowledge of spiritual truths. Gnostic cosmology, at its core, shows a clear dualism between spirit and matter, light and darkness, knowledge and ignorance. The cosmos is depicted as the creation not of the highest God—Ἀγαθός Θεός (Agathos Theos, the Good God)—but of a lesser, ignorant, or even malevolent power often termed the Demiurge (Greek Δημιουργός, Demiourgos, meaning “artisan” or “builder”). This Demiurge, sometimes identified with the god of the Old Testament in certain Gnostic sects, fashions the material world as a prison or illusion, veiling the true divine realm. In Gnostic thought, the true God resides beyond the material cosmos, in the fullness of divine being known as the Pleroma (Greek Πλήρωμα). From this realm of light emanate spiritual beings or Aeons (Greek Αἰῶνες, Aiones) in harmonious pairs, representing aspects of divine mind, love, and will. A disruption in this celestial order—often symbolized by the fall or error of an Aeon such as Sophia (Greek Σοφία, Sophia, meaning “Wisdom”)—leads to the creation of the material universe and the entrapment of divine sparks within human souls. Salvation in Gnosticism is not achieved through external rites or adherence to dogma, but through gnosis itself: a deep inner awakening, in which the soul remembers its true origin and destiny. This knowledge is both intellectual and mystical, a direct experience of the hidden God and the realization of one’s divine nature. Thus, the Gnostic path involves a journey of inner revelation, often guided by a redeemer figure who descends from the Pleroma—whether portrayed as the Logos (Λόγος), the true Christ, or another messenger of light. Gnosticism often emphasizes the rejection of the material world's illusions and corruptions, while seeking purity of spirit and alignment with the divine order. Yet, the diversity of Gnostic schools means that some embraced asceticism, avoiding bodily pleasures as snares of the Demiurge, while others saw no harm in engaging with the world’s forms, recognizing them as ultimately empty of true substance. Gnostic scriptures, many of which were lost or suppressed for centuries, survive today in collections such as the Nag Hammadi library discovered in 1945. Several texts like the Gospel of Thomas and the Apocryphon of John offer rich and symbolic teachings, blending different elements into a vision of spiritual liberation. Throughout history, Gnosticism has influenced mystical and esoteric traditions, from Manichaeism and Hermeticism to modern currents of Theosophy and some aspects of psychology. At its core, Gnosticism invites the seeker to look beyond appearances, to pierce the veil of the world’s illusions, and to remember the divine origin of the soul. In this way, it calls the human being not to blind belief, but to awakening—through gnosis—to an aspect of truth hidden at the heart of existence. being.
Tupan

Tupan

I have several interests (too many to list here) and I would like to write about some experiences I've had and ideas about them.


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La gouvernance du sport en Afrique 1057

A chaque fois que la question du sport en Afrique est soulevée, son développement, ses réalisations, ses déboires, son ascension et le plus souvent à l’occasion de ses débâcles, la question de sa gouvernance est simultanément posée, avec ce qui s’en suit comme débats et problématique liée au concept de bonne gouvernance ; en opposition tacite à ce qui serait une mauvaise gouvernance. Ce concept de bonne gouvernance est en fait évoqué dès lors que la question à traiter est complexe et ou insuffisamment comprise. Le concept de bonne gouvernance est évoqué à chaque fois qu’il est difficile d’expliquer un résultat jugé décevant, à chaque fois que l’on cherche en fait à cacher l’incompréhension d’une situation et peut être même à dissimuler une probable incompétence à traiter d’une problématique donnée. En fait au lieu d’aller creuser et déterrer les raisons profondes, les explications plausibles, les atouts et les faiblesses du sport africain pour d’abord le comprendre et ensuite raisonner avec des données tangibles, on va se contenter au mieux de faire du benchmark, et de façon très simpliste dire que le sport africain souffre d’une seule et unique flétrissure : la mauvaise gouvernance. La question est bien plus complexe à partir même du fait que le concept sport est généralement lui-même mal défini et que le cœur des métiers du sport se trouve peu ou pas défini, peu ou pas compris et pris en compte ; il s’agit bien évidement de la performance sportive, ses déterminants et ses facteurs favorisants ou bloquants. L’Afrique, ses particularités géographiques, historiques et démographiques, ses spécificités sociologiques et politiques multiples, sont rarement prises en compte quand on évoque la question sportive. Le continent est vu comme un tout linéaire sans relief. Pour expliquer un résultat sportif, le lien est rarement fait avec un bon nombre de facteurs sou jacents voir déterminants. L’Afrique, compte tenu de la déformation de sa représentation géographique imagée, la montrant beaucoup plus petite qu’elle ne l’est en fait dans la réalité, à l’échelle du globe, est regardée exactement comme le continent européen surement beaucoup plus petit mais surdimensionné. Peu sont ceux qui évoquent les dimensions géographiques réelles de l’Afrique et ce qu'elle induit, ses diversités démographiques et ethnographiques, sa grande richesse culturelle due justement à cette diversité. Son histoire récente ayant lourdement impacté son évolution politique, la géographie des pays qui la composent, souvent incohérente ; son fonctionnement économique conséquence d’un passé colonial récent, ne sont jamais mis à l’avant et sont rarement évoqués comme des facteurs limitant ou favorisant l’évolution du sport en Afrique. Or c’est l’ensemble des ces facteurs et d’autres encore qui impactent les activités sportives africaines. D’ailleurs on ne devrait pas parler de Sport africain mais plutôt de Sport en Afrique, tellement les problématiques sont diverses d’une région à l’autre. C’est ainsi qu’il y a lieu tout d’abord, pour cerner aussi précisément que possible la question sportive en Afrique, de revenir à certains fondamentaux, de définir correctement les concepts pour ensuite pouvoir évoquer les pistes d’éventuelles meilleures politiques, meilleures gestions et peut être meilleures gouvernances. C’est sans doute l’unique voie pour entrevoir des plans de développement plus efficients. Cette approche est nécessaire et incontournable pour pouvoir échafauder et concevoir de véritables stratégies de développement, qui de surcroit, devraient s’imbriquer obligatoirement dans des stratégies globales de développement de l’humain. Aziz Daouda

Conversations et monologues 1218

Un soir, l'idée a commencé à germer... Cela faisait déjà des années que j'avais cette idée qui revenait régulièrement. Pourquoi pas un livre... ou du moins un recueil de textes?! C'est vrai, aprrès tout, pourquoi pas? Loin de moi la vie trépidante à la Indiana Jones ou à son homonyme féminine Bridget, ma vie a quand-même eu son lot de déconvenues aussi bien que d'instants de grâce qui méritent d'être partagés. Si j'écris, c'est pour que les jeunes (et les moins jeunes) demoiselles se disent "pourquoi pas?"... Inspirer une personne, la tirer vers le haut, faire en sorte qu'elle en veuille plus, plus que ce que la société veut bien lui donner comme rôle, comme place, plus que ce que son entourage veut bien lui donner comme importance... Rebattre les cartes de sa vie pour atteindre les sommets. Non, ces textes ne sont pas un énième papier de motivation à l'américaine, un enième bouquin de coaching sur comment mieux aimer ma vie, ou comment devenir quelqu'un... Non, ces textes sont des parcelles de vie racontées de manière vraie, parfois avec des mots crus. Mais ce partage peut réveiller les consciences, et créer le déclic... Donc oui, finalement, pourquoi pas un livre...