Pensez le Futur.

The origin(s) of Solutions 9224

Does it ever happen to you to be hit by a very deep question while enjoying you morning coffee? Each time it happens, I am here sharing that specific thought that probably emerged following the effect of caffeine. How do we think about solutions? Before thinking about this question, I feel that it’s a must to present its context in order to understand more my perspective. The day before, I wanted to stretch my brains neurons by trying to solve a puzzle, in other words a problem, a necessary element for the existence of solutions. The puzzle, or the problem I wanted to solve was a coding problem by LeetCode, in which I need to develop a code to recognize Palindrome numbers. Palindrome numbers possess the very unique property of being symmetric, meaning that you can read them from both sides. One famous example is 121, you can think of 1111, 2222, and the list goes on. The goal is not to dive in this amazing world land of Palindromes, perhaps we can do it later, but to illustrate an important point. I thought of two solutions, each one is relative to a different approach. I noticed that this applied to other problems too. I generally think of two types of solutions: 1) A domain knowledge based solution 2) A technical based solution The first category are solutions that come as a result of a domain expertise. Let’s take the example of the Palindrome numbers problem. One first reflex I had is to assess all mathematical properties that these numbers might have before putting my hands on the keyboard to translate those thoughts into code. The domain here is Mathematics, it could be any domain. One origin of solutions is the expertise ones gather through domain knowledge. This is what Data models try to imitate by capturing the hidden patterns given a set of features that are chosen, based on statistical measures yet they make sense from a domain knowledge point of view. The second category is relative to each domain. One easy way to recognize a Palindrome number is to convert it to a string, reverse it and then compare it with the original string. This is a technical solution brought up by the world of coding. Similar solutions exist in many domains, and if they are coupled with domain knowledge they can solve numerous problems. This type of solutions require the discipline’s domain knowledge which can be different from the problem’s domain knowledge, especially for a category of disciplines that are suppliers of tools (Coding, Statistics…). These two categories tell us about the origins of solutions. In every problem, there are two layers that we need to be aware of, the domain and the tool, both can offer a solution. A lot may argue that it’s not true in all cases, but we will assume it is possible to develop a solution following both methods, as numerous discoveries shape everyday reality and change the meaning of what is impossible. Quantum physics stun the world at their emergence, Information theory, and many other so called impossible things at a certain time. From a tool perspective, it is possible to merge tools that seems different yet they share a common point, no wonder why we see some domains interfering in many other domains like Data Science. Once we define clearly the roles of each layer it is possible to craft an ingenious solution to all problems, or we might end up realizing that we need to outsource an additional layer to help craft a more sophisticated solution that finds a way around the previous limitations. When I talk about origins, I place myself from a procedural perspective. This is one way to see it and not the only one. “ Genius Takes Time and Extraordinary Effort “
Elmahdi Elbakkar Elmahdi Elbakkar

Elmahdi Elbakkar


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La gouvernance du sport en Afrique 1770

A chaque fois que la question du sport en Afrique est soulevée, son développement, ses réalisations, ses déboires, son ascension et le plus souvent à l’occasion de ses débâcles, la question de sa gouvernance est simultanément posée, avec ce qui s’en suit comme débats et problématique liée au concept de bonne gouvernance ; en opposition tacite à ce qui serait une mauvaise gouvernance. Ce concept de bonne gouvernance est en fait évoqué dès lors que la question à traiter est complexe et ou insuffisamment comprise. Le concept de bonne gouvernance est évoqué à chaque fois qu’il est difficile d’expliquer un résultat jugé décevant, à chaque fois que l’on cherche en fait à cacher l’incompréhension d’une situation et peut être même à dissimuler une probable incompétence à traiter d’une problématique donnée. En fait au lieu d’aller creuser et déterrer les raisons profondes, les explications plausibles, les atouts et les faiblesses du sport africain pour d’abord le comprendre et ensuite raisonner avec des données tangibles, on va se contenter au mieux de faire du benchmark, et de façon très simpliste dire que le sport africain souffre d’une seule et unique flétrissure : la mauvaise gouvernance. La question est bien plus complexe à partir même du fait que le concept sport est généralement lui-même mal défini et que le cœur des métiers du sport se trouve peu ou pas défini, peu ou pas compris et pris en compte ; il s’agit bien évidement de la performance sportive, ses déterminants et ses facteurs favorisants ou bloquants. L’Afrique, ses particularités géographiques, historiques et démographiques, ses spécificités sociologiques et politiques multiples, sont rarement prises en compte quand on évoque la question sportive. Le continent est vu comme un tout linéaire sans relief. Pour expliquer un résultat sportif, le lien est rarement fait avec un bon nombre de facteurs sou jacents voir déterminants. L’Afrique, compte tenu de la déformation de sa représentation géographique imagée, la montrant beaucoup plus petite qu’elle ne l’est en fait dans la réalité, à l’échelle du globe, est regardée exactement comme le continent européen surement beaucoup plus petit mais surdimensionné. Peu sont ceux qui évoquent les dimensions géographiques réelles de l’Afrique et ce qu'elle induit, ses diversités démographiques et ethnographiques, sa grande richesse culturelle due justement à cette diversité. Son histoire récente ayant lourdement impacté son évolution politique, la géographie des pays qui la composent, souvent incohérente ; son fonctionnement économique conséquence d’un passé colonial récent, ne sont jamais mis à l’avant et sont rarement évoqués comme des facteurs limitant ou favorisant l’évolution du sport en Afrique. Or c’est l’ensemble des ces facteurs et d’autres encore qui impactent les activités sportives africaines. D’ailleurs on ne devrait pas parler de Sport africain mais plutôt de Sport en Afrique, tellement les problématiques sont diverses d’une région à l’autre. C’est ainsi qu’il y a lieu tout d’abord, pour cerner aussi précisément que possible la question sportive en Afrique, de revenir à certains fondamentaux, de définir correctement les concepts pour ensuite pouvoir évoquer les pistes d’éventuelles meilleures politiques, meilleures gestions et peut être meilleures gouvernances. C’est sans doute l’unique voie pour entrevoir des plans de développement plus efficients. Cette approche est nécessaire et incontournable pour pouvoir échafauder et concevoir de véritables stratégies de développement, qui de surcroit, devraient s’imbriquer obligatoirement dans des stratégies globales de développement de l’humain. Aziz Daouda

Conversations et monologues 2065

Un soir, l'idée a commencé à germer... Cela faisait déjà des années que j'avais cette idée qui revenait régulièrement. Pourquoi pas un livre... ou du moins un recueil de textes?! C'est vrai, aprrès tout, pourquoi pas? Loin de moi la vie trépidante à la Indiana Jones ou à son homonyme féminine Bridget, ma vie a quand-même eu son lot de déconvenues aussi bien que d'instants de grâce qui méritent d'être partagés. Si j'écris, c'est pour que les jeunes (et les moins jeunes) demoiselles se disent "pourquoi pas?"... Inspirer une personne, la tirer vers le haut, faire en sorte qu'elle en veuille plus, plus que ce que la société veut bien lui donner comme rôle, comme place, plus que ce que son entourage veut bien lui donner comme importance... Rebattre les cartes de sa vie pour atteindre les sommets. Non, ces textes ne sont pas un énième papier de motivation à l'américaine, un enième bouquin de coaching sur comment mieux aimer ma vie, ou comment devenir quelqu'un... Non, ces textes sont des parcelles de vie racontées de manière vraie, parfois avec des mots crus. Mais ce partage peut réveiller les consciences, et créer le déclic... Donc oui, finalement, pourquoi pas un livre...