Pensez le Futur.

A CROOKED TALE 2896

This is a story about barbarians who destroyed an unusual and much loved pub in the west midlands of England. I wrote this tale some months ago for my website, www.globerunner.blog. Recent news suggest that the barbarians, as my article suggests are going to be forced to rebuild The Crooked House! Locals of a demolished pub near where I was born can take heart from the story of a demolished pub near where I live now - one which was ordered to be rebuilt ‘brick-by-brick’. Judging by calls and emails I’ve had from folks who know that I’m a Black Country boy, the news of the recent burning and demolition of the Glynne Arms, aka the Crooked House near Dudley in the English west midlands must have gone around the world. I was born a mile or so away from what we locals knew as the Siden (side-on?) House, and as our local gang of kids grew up in the 1950s and 60s, the pub was a regular curiosity for us to view as we roamed the countryside around the disused pit workings that had contributed to the Crooked House’s subsidence. Later on, I'd often run past it on one of my training stints on the disused railway track which overlooked it. My father had been born even nearer to the pub, and as I grew into drinking age, it would be on our itinerary for an occasional pint, and the traditional rolling of a ball-bearing seemingly ‘uphill’ on the bar or the window sills. It was also a must-see for anyone visiting the area. Now living in north-west London, the last time I was there was four years years ago, showing the place off to some French visitors who’d come to the family home to celebrate my mother’s 100th birthday. The story of the pub’s demise last weekend has been across the national news for days. Originally built as a farmhouse in the late 18th century, it had been a pub since the 1830s. Despite a campaign to preserve it as such, it was sold two weeks ago, apparently to be repurposed. The building then burned down last weekend in circumstances that the neighbourhood websites have universally described as SUSPICIOUS. The fire service arrived to find its way blocked by mounds of earth on the access road. The delays in getting high pressure fire hoses close enough to the blaze meant that the building had already been gutted by the time that fire was extinguished. Then, to pile anguish onto injury for the locals, bull-dozers were brought in the next day, to reduce the place to rubble. Drinkers, devotees and dignitaries across the West Midlands are up in arms, demanding explanation and restoration. They might take heart from the tale of the Carlton Tavern in Maida Vale, a couple of miles from where I live now. In 2015, the Carlton, which had been rebuilt as a pub in 1921, was bought by a company who turned out to be developers. An immediate application from them to build flats was turned down by Westminster Council; and alert locals sought a Grade II listing from Historic England, to prevent further threat to the pub. But two days before the listing was to be awarded, the new bosses gave staff a day off, allegedly for stock-taking, and avoiding the inconvenience of a fire in a residential area, the bulldozers were drafted in and reduced the pub to a shell within a few hours. Cue mayhem! But, as the Guardian reported two years ago on its reopening, ‘… the Carlton’s story did not follow the usual plot, where the developer presents the fait accompli to the local authority and pays a fine before pressing ahead with the redevelopment and counting their profits.’ Over 5000 locals, including councillors had mobilised to set up a campaign entitled Rebuild The Carlton Tavern. They pressured Westminster Council, not noted for its public spirit, and not only did the council turn down the developers’ further application for flats, they ordered the company to rebuild the Carlton ‘brick by brick’. That was a pleasant surprise for James Watson, the pub protection adviser for the Campaign for Pubs, who advised the Carlton group. “I never imagined that I would see a planning inspector order a developer to put back what he’d just knocked down, to look exactly as it was. I thought the developer would get a slap on the wrist, a £6,000 fine. But I was flabbergasted – and it has set an incredibly useful precedent. Other planning inspectors will remember it, and so will developers”. With hundreds of locals descending on the site of the former Crooked House in the last two days to bemoan and complain of its passing (and to take away a souvenir brick), pressure is only going to grow around the Black Country and West Midlands for something to be done about the wanton destruction of such an unusual historic landmark.  Roger Lees, the leader of South Staffordshire council has already confirmed it is investigating planning breaches, and the over-zealous destruction of the property, which his body had not authorised. Council and aggrieved locals could do worse than study the case of the resurrected Carlton Tavern. Could the Crooked House yet rise from the ashes?
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Pat01Butcher

Pat01Butcher

Pat Butcher has been one of the leading authorities on Track & Field Athletics for over 40 years.


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Afrique, la part du sport dans l'économie 1150

Il est difficile d’évaluer la véritable part du sport dans le PIB sur l’ensemble du continent africain, comme il est clair que cette part varie beaucoup d’un pays à un autre. Au Maroc par exemple cette part est estimée à 1%. L’étude des parts de marché dans le business du sport montre aussi que l’Afrique ne ramasse que des miettes. L’Afrique est à peine présente dans les statistiques mondiales. Le continent subit la mondialisation mais n’en profite que très peu. L’Afrique ne joue que le rôle de la réserve de talents ; une sorte de pépinière. La faiblesse du poids de l’Afrique dans l’économie mondiale se trouve ici criarde. Le continent ne profite que peu de la manne financière du sport, exactement comme elle ne profite que peu de la valeur juste des richesses qu’elle offre « généreusement » à l’économie mondiale. La nature même de l’activité sportive génère cette situation anachronique. Le sport en Amérique ou en Europe et de plus en plus en Asie également, vit en partie grâce aux talents que seule l’Afrique peut fournir au plan génétique et phénotypique. De très nombreux sports et notamment les plus populaires et les plus porteurs économiquement, requièrent des qualités particulières et un potentiel humain qui cadrent parfaitement avec le type de jeunes dont l’Afrique regorge. C’est quasiment le seul continent à offrir cette particularité. Il y a aussi l’économie informelle qui s’est installée comme un palliatif salvateur pour les jeunes puisque leur permet de bénéficier d’équipements sportifs bon marché. Même contrefait ou de seconde main, ces équipements notamment individuels permettent tout de même une certaine pratique à un certain niveau. Cette activité informelle, si encouragée et guidée, peut constituer les bases d’une économie sportive locale et passer dans le formel. Aziz Daouda

La gouvernance du sport en Afrique 1084

A chaque fois que la question du sport en Afrique est soulevée, son développement, ses réalisations, ses déboires, son ascension et le plus souvent à l’occasion de ses débâcles, la question de sa gouvernance est simultanément posée, avec ce qui s’en suit comme débats et problématique liée au concept de bonne gouvernance ; en opposition tacite à ce qui serait une mauvaise gouvernance. Ce concept de bonne gouvernance est en fait évoqué dès lors que la question à traiter est complexe et ou insuffisamment comprise. Le concept de bonne gouvernance est évoqué à chaque fois qu’il est difficile d’expliquer un résultat jugé décevant, à chaque fois que l’on cherche en fait à cacher l’incompréhension d’une situation et peut être même à dissimuler une probable incompétence à traiter d’une problématique donnée. En fait au lieu d’aller creuser et déterrer les raisons profondes, les explications plausibles, les atouts et les faiblesses du sport africain pour d’abord le comprendre et ensuite raisonner avec des données tangibles, on va se contenter au mieux de faire du benchmark, et de façon très simpliste dire que le sport africain souffre d’une seule et unique flétrissure : la mauvaise gouvernance. La question est bien plus complexe à partir même du fait que le concept sport est généralement lui-même mal défini et que le cœur des métiers du sport se trouve peu ou pas défini, peu ou pas compris et pris en compte ; il s’agit bien évidement de la performance sportive, ses déterminants et ses facteurs favorisants ou bloquants. L’Afrique, ses particularités géographiques, historiques et démographiques, ses spécificités sociologiques et politiques multiples, sont rarement prises en compte quand on évoque la question sportive. Le continent est vu comme un tout linéaire sans relief. Pour expliquer un résultat sportif, le lien est rarement fait avec un bon nombre de facteurs sou jacents voir déterminants. L’Afrique, compte tenu de la déformation de sa représentation géographique imagée, la montrant beaucoup plus petite qu’elle ne l’est en fait dans la réalité, à l’échelle du globe, est regardée exactement comme le continent européen surement beaucoup plus petit mais surdimensionné. Peu sont ceux qui évoquent les dimensions géographiques réelles de l’Afrique et ce qu'elle induit, ses diversités démographiques et ethnographiques, sa grande richesse culturelle due justement à cette diversité. Son histoire récente ayant lourdement impacté son évolution politique, la géographie des pays qui la composent, souvent incohérente ; son fonctionnement économique conséquence d’un passé colonial récent, ne sont jamais mis à l’avant et sont rarement évoqués comme des facteurs limitant ou favorisant l’évolution du sport en Afrique. Or c’est l’ensemble des ces facteurs et d’autres encore qui impactent les activités sportives africaines. D’ailleurs on ne devrait pas parler de Sport africain mais plutôt de Sport en Afrique, tellement les problématiques sont diverses d’une région à l’autre. C’est ainsi qu’il y a lieu tout d’abord, pour cerner aussi précisément que possible la question sportive en Afrique, de revenir à certains fondamentaux, de définir correctement les concepts pour ensuite pouvoir évoquer les pistes d’éventuelles meilleures politiques, meilleures gestions et peut être meilleures gouvernances. C’est sans doute l’unique voie pour entrevoir des plans de développement plus efficients. Cette approche est nécessaire et incontournable pour pouvoir échafauder et concevoir de véritables stratégies de développement, qui de surcroit, devraient s’imbriquer obligatoirement dans des stratégies globales de développement de l’humain. Aziz Daouda

Conversations et monologues 1252

Un soir, l'idée a commencé à germer... Cela faisait déjà des années que j'avais cette idée qui revenait régulièrement. Pourquoi pas un livre... ou du moins un recueil de textes?! C'est vrai, aprrès tout, pourquoi pas? Loin de moi la vie trépidante à la Indiana Jones ou à son homonyme féminine Bridget, ma vie a quand-même eu son lot de déconvenues aussi bien que d'instants de grâce qui méritent d'être partagés. Si j'écris, c'est pour que les jeunes (et les moins jeunes) demoiselles se disent "pourquoi pas?"... Inspirer une personne, la tirer vers le haut, faire en sorte qu'elle en veuille plus, plus que ce que la société veut bien lui donner comme rôle, comme place, plus que ce que son entourage veut bien lui donner comme importance... Rebattre les cartes de sa vie pour atteindre les sommets. Non, ces textes ne sont pas un énième papier de motivation à l'américaine, un enième bouquin de coaching sur comment mieux aimer ma vie, ou comment devenir quelqu'un... Non, ces textes sont des parcelles de vie racontées de manière vraie, parfois avec des mots crus. Mais ce partage peut réveiller les consciences, et créer le déclic... Donc oui, finalement, pourquoi pas un livre...