Pensez le Futur.

Memoirs of Atlantis II 5607

Poseidonis was the seat of Atlantis' power and culture, where the advanced technologies and spiritual knowledge of the Atlanteans were concentrated. It was there that the most powerful Atlantean priest-kings ruled, and where the division between the two dominant races—the more spiritually inclined and the more materially focused—contributed to the island’s eventual destruction. As Poseidonis faced inevitable doom, many of the wise initiates who lived there foresaw the coming cataclysm. These initiates, aware of their civilization’s fate, worked to gather and preserve as much of their knowledge as possible. This knowledge, stored in crystal technologies and sacred texts, was hidden in various places around the world for future generations. However, much of the technology needed to access this information was lost when Poseidonis sank, leaving behind only fragments that have been passed down through oral traditions and scattered texts. After Poseidonis was destroyed, the survivors spread around the globe, influencing the regions they reached. One of the most notable places believed to have received these refugees was Egypt, where Atlantean survivors played an important role in shaping early Egyptian civilization. Their influence, including sacred architectural knowledge, is thought to have contributed to the construction of the pyramids and the transmission of spiritual teachings. Edgar Cayce suggested that some of the lost knowledge of Atlantis might still be hidden beneath the Sphinx, in a "Hall of Records" yet to be discovered. In addition to Egypt, there are traditions linking the Atlanteans to other parts of the world, including the Americas. One of the most intriguing connections is with the legend of Ratanabá, an ancient and lost city believed to be hidden deep in the Amazon rainforest. According to esoteric accounts, Ratanabá was one of the great Atlantean cities founded long before the cataclysm that destroyed Poseidonis. It is said to have been a center of immense power and advanced technology, much like its parent civilization of Atlantis. Some believe that the ruins of Ratanabá still exist, hidden beneath the dense jungle, waiting to be rediscovered, and that it may hold clues to the lost knowledge of Atlantis and its survivors. Ratanabá, like Poseidonis, is said to have had connections to the wider Atlantean network of cities spread across the globe. According to some legends, the survivors of Poseidonis who reached South America carried with them sacred knowledge and technological expertise, establishing or reinvigorating cities like Ratanabá and Tiwanaku in Bolivia. These sites, with their advanced stonework and alignment with celestial events, are sometimes attributed to the technological prowess of Atlantean refugees. The legend of Shamballa, a hidden spiritual kingdom in Central Asia, also plays a role in this narrative. Some esoteric traditions suggest that the most spiritually advanced survivors of Poseidonis traveled to Shamballa, where they continued to safeguard their knowledge and spiritual teachings. Shamballa, described as a utopian society and a repository of ancient wisdom, is believed to have become a refuge for enlightened individuals from many cultures, including the Atlanteans. Poseidonis, Ratanabá, and Shamballa form part of a larger mythos connecting ancient advanced civilizations and the remnants of their wisdom. Although the physical locations of these cities may remain hidden or lost, their influence is believed to be felt across many early civilizations. Whether in Egypt, South America, or Central Asia, the legacy of Atlantis endures through the scattered remnants of its teachings, architecture, and technological achievements. Though Poseidonis was lost beneath the waves, and Ratanabá may be concealed in the depths of the Amazon, the legends surrounding these cities suggest that the survivors' knowledge and influence continue to shape the course of human history, waiting to be fully rediscovered.
Tupan

Tupan

I have several interests (too many to list here) and I would like to write about some experiences I've had and ideas about them.


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Afrique, la part du sport dans l'économie 1243

Il est difficile d’évaluer la véritable part du sport dans le PIB sur l’ensemble du continent africain, comme il est clair que cette part varie beaucoup d’un pays à un autre. Au Maroc par exemple cette part est estimée à 1%. L’étude des parts de marché dans le business du sport montre aussi que l’Afrique ne ramasse que des miettes. L’Afrique est à peine présente dans les statistiques mondiales. Le continent subit la mondialisation mais n’en profite que très peu. L’Afrique ne joue que le rôle de la réserve de talents ; une sorte de pépinière. La faiblesse du poids de l’Afrique dans l’économie mondiale se trouve ici criarde. Le continent ne profite que peu de la manne financière du sport, exactement comme elle ne profite que peu de la valeur juste des richesses qu’elle offre « généreusement » à l’économie mondiale. La nature même de l’activité sportive génère cette situation anachronique. Le sport en Amérique ou en Europe et de plus en plus en Asie également, vit en partie grâce aux talents que seule l’Afrique peut fournir au plan génétique et phénotypique. De très nombreux sports et notamment les plus populaires et les plus porteurs économiquement, requièrent des qualités particulières et un potentiel humain qui cadrent parfaitement avec le type de jeunes dont l’Afrique regorge. C’est quasiment le seul continent à offrir cette particularité. Il y a aussi l’économie informelle qui s’est installée comme un palliatif salvateur pour les jeunes puisque leur permet de bénéficier d’équipements sportifs bon marché. Même contrefait ou de seconde main, ces équipements notamment individuels permettent tout de même une certaine pratique à un certain niveau. Cette activité informelle, si encouragée et guidée, peut constituer les bases d’une économie sportive locale et passer dans le formel. Aziz Daouda

La gouvernance du sport en Afrique 1172

A chaque fois que la question du sport en Afrique est soulevée, son développement, ses réalisations, ses déboires, son ascension et le plus souvent à l’occasion de ses débâcles, la question de sa gouvernance est simultanément posée, avec ce qui s’en suit comme débats et problématique liée au concept de bonne gouvernance ; en opposition tacite à ce qui serait une mauvaise gouvernance. Ce concept de bonne gouvernance est en fait évoqué dès lors que la question à traiter est complexe et ou insuffisamment comprise. Le concept de bonne gouvernance est évoqué à chaque fois qu’il est difficile d’expliquer un résultat jugé décevant, à chaque fois que l’on cherche en fait à cacher l’incompréhension d’une situation et peut être même à dissimuler une probable incompétence à traiter d’une problématique donnée. En fait au lieu d’aller creuser et déterrer les raisons profondes, les explications plausibles, les atouts et les faiblesses du sport africain pour d’abord le comprendre et ensuite raisonner avec des données tangibles, on va se contenter au mieux de faire du benchmark, et de façon très simpliste dire que le sport africain souffre d’une seule et unique flétrissure : la mauvaise gouvernance. La question est bien plus complexe à partir même du fait que le concept sport est généralement lui-même mal défini et que le cœur des métiers du sport se trouve peu ou pas défini, peu ou pas compris et pris en compte ; il s’agit bien évidement de la performance sportive, ses déterminants et ses facteurs favorisants ou bloquants. L’Afrique, ses particularités géographiques, historiques et démographiques, ses spécificités sociologiques et politiques multiples, sont rarement prises en compte quand on évoque la question sportive. Le continent est vu comme un tout linéaire sans relief. Pour expliquer un résultat sportif, le lien est rarement fait avec un bon nombre de facteurs sou jacents voir déterminants. L’Afrique, compte tenu de la déformation de sa représentation géographique imagée, la montrant beaucoup plus petite qu’elle ne l’est en fait dans la réalité, à l’échelle du globe, est regardée exactement comme le continent européen surement beaucoup plus petit mais surdimensionné. Peu sont ceux qui évoquent les dimensions géographiques réelles de l’Afrique et ce qu'elle induit, ses diversités démographiques et ethnographiques, sa grande richesse culturelle due justement à cette diversité. Son histoire récente ayant lourdement impacté son évolution politique, la géographie des pays qui la composent, souvent incohérente ; son fonctionnement économique conséquence d’un passé colonial récent, ne sont jamais mis à l’avant et sont rarement évoqués comme des facteurs limitant ou favorisant l’évolution du sport en Afrique. Or c’est l’ensemble des ces facteurs et d’autres encore qui impactent les activités sportives africaines. D’ailleurs on ne devrait pas parler de Sport africain mais plutôt de Sport en Afrique, tellement les problématiques sont diverses d’une région à l’autre. C’est ainsi qu’il y a lieu tout d’abord, pour cerner aussi précisément que possible la question sportive en Afrique, de revenir à certains fondamentaux, de définir correctement les concepts pour ensuite pouvoir évoquer les pistes d’éventuelles meilleures politiques, meilleures gestions et peut être meilleures gouvernances. C’est sans doute l’unique voie pour entrevoir des plans de développement plus efficients. Cette approche est nécessaire et incontournable pour pouvoir échafauder et concevoir de véritables stratégies de développement, qui de surcroit, devraient s’imbriquer obligatoirement dans des stratégies globales de développement de l’humain. Aziz Daouda

Conversations et monologues 1350

Un soir, l'idée a commencé à germer... Cela faisait déjà des années que j'avais cette idée qui revenait régulièrement. Pourquoi pas un livre... ou du moins un recueil de textes?! C'est vrai, aprrès tout, pourquoi pas? Loin de moi la vie trépidante à la Indiana Jones ou à son homonyme féminine Bridget, ma vie a quand-même eu son lot de déconvenues aussi bien que d'instants de grâce qui méritent d'être partagés. Si j'écris, c'est pour que les jeunes (et les moins jeunes) demoiselles se disent "pourquoi pas?"... Inspirer une personne, la tirer vers le haut, faire en sorte qu'elle en veuille plus, plus que ce que la société veut bien lui donner comme rôle, comme place, plus que ce que son entourage veut bien lui donner comme importance... Rebattre les cartes de sa vie pour atteindre les sommets. Non, ces textes ne sont pas un énième papier de motivation à l'américaine, un enième bouquin de coaching sur comment mieux aimer ma vie, ou comment devenir quelqu'un... Non, ces textes sont des parcelles de vie racontées de manière vraie, parfois avec des mots crus. Mais ce partage peut réveiller les consciences, et créer le déclic... Donc oui, finalement, pourquoi pas un livre...