Pensez le Futur.

Obésité et Tabagisme des problématiques à prendre au sérieux. 1650

S’il est des problématiques dont on ne semble pas se soucier sérieusement malgré leur gravité et impact sur le devenir du pays, tout au moins selon ce qui filtre comme information et est publiées comme statistiques au Maroc, c’est celui du surpoids et de l’obésité, et celui du tabagisme. Aujourd’hui, au Maroc, près du quart de la population est touchée par le phénomène de surpoids. Ils seraient, selon l'Atlas Mondial de l'Obésité édition 2023, de la Fédération Mondiale de l’obésité, quelques 21,6% de citoyens marocains concernés. Plus grave encore ce pourcentage n’est pas figé, puisque selon les prévisions de la même instance, il passerait à 47,9% à horizon 2035, c’est-à-dire dans un avenir proche. Parmi cette population qui serait atteinte, près de 5 millions de citoyens seraient alors atteints d’obésité morbide, donc présenteraient des complications graves en termes de santé. Plus préoccupant encore, se sont les enfants qui seraient les plus concernés, puisque toujours en 2035, près de 30 % de nos enfants seraient atteints. Ils sont déjà quelques 20% aujourd’hui. Le gouvernement marocain semble être bien conscient de la complexité de la problématique et ses conséquences extrêmement grave sur la santé publique et partant sur l’économie et les budgets du pays. Mais a t'il opposé à la problématique des remèdes efficients? Le Ministère de la Santé Publique a bien mis au point une stratégie pour peser sur la tendance et l’inverser. Cette stratégie a même un objectif, celui de réduire le taux chez les enfants à 15% d’ici l’année prochaine, 2025… Sa stratégie est basée sur les mêmes armes et moyens que l’on retrouve un peu partout mais qui nulle part n’ont donné de véritables résultats. • Le Ministère entend s’attaquer au diagnostic précoce et à une meilleure offre de soins. On ne peut être plus imprécis. • Le Ministère entend aussi peser sur l’hygiène alimentaire, favorisant une alimentation saine et équilibrée, comme si c’était le ministère qui donnait directement à manger aux enfants et aux familles. • En fin ladite stratégie, toujours selon le Ministère, repose également sur des actions à même de peser et d’améliorer l’environnement qui induit ou favorise la prise de poids. On attendra fin 2024 pour voir si les chiffres vont véritablement s’améliorer et s’ils contredisent la tendance telle que projetée par la Fédération Mondiale de l’Obésité. Sans être excessivement septique, on sait ici le sort de toutes ces stratégies que l’on nous a servi dans tous les domaines sans jamais les évaluer. Un bon Powerpoint qui nous projette sur un horizon tellement lointain est le tour est joué. Le terme est tellement éloigné qu’on ne peut qu’oublier les objectifs, sinon oublier l'existence même des soi-disant stratégies, carrément. L’obésité est une problématique complexe, elle dépend du niveau de vie, des possibilités d’exercices physique, de l’urbanisme et de l’organisation de la vie. Les enfants issues de familles de niveau économique moyen et plus bas sont les plus exposés. L’alimentation à ce niveau de vie a tendance à être composée de beaucoup de matières grasses saturés et de sucre. Le pain véritable base de la nourriture de nos concitoyens c’est du sucre, par exemple. Il n’y a qu’à voir le nombre grandissant de fastfood de tout genre proliférer, notamment dans les quartiers populaires et les aliments conditionnés dans le commerce, comprenant énormément de sucre et autres composants nocifs, les habitudes alimentaires des jeunes, pour comprendre la tendance. Le plus étonnant est que l’exercice physique véritable moyen et sans doute le plus efficace pour limiter les dégâts n’est pas pris en compte dans la stratégie du gouvernement. Il n’est pas cité parmi les 5 piliers du nouveau modèle de santé mis en marche. Alors que le premier pilier de tout système de santé physique et mentale, d’ailleurs, doit être l’exercice physique. L’autre problématique absolument préoccupante est le tabagisme. C’est quasiment tout le continent africain qui se trouve aujourd’hui impacté car cible de grandes campagnes poussant à la consommation des tabacs manufacturés et au vapotage. Ils seraient quelques 3.500.000 fumeurs réguliers au Maroc. Soit quasiment 10 % de la population nationale, avec tous ce que cela induit comme conséquences sur la santé individuelle et partant pour la santé publique. Ailleurs en Afrique cela est encore plus grave comme par exemple en Egypte premier pays en consommation des tabacs manufacturées, suivie de l’Afrique du Sud, de l’Algérie et de la République Démocratique du Congo. Le Maroc lui est septième sur le continent. Là au moins les mesures et stratégies adoptées çà et là pour limiter les dégâts se sont avérées efficaces puis que 150 pays ont réussi à réduire la consommation des tabacs avec à leur tête le Brésil et les Pays Bas. Mais ils seraient tout de même 1.25 milliards de fumeurs adultes dans le monde…quand aux enfants ils se cachent pour fumer… L’Obésité comme la consommation des tabacs manufacturés sont sans doute aucun de véritables dangers pour la Santé Publique dont il va falloir s’occuper sérieusement. Au Maroc il y a bien une loi, par exemple, qui interdit de fumer dans les lieux publics…quant à son application…C’est une autre paire de manche. Mon ami Mustapha Guiliz me rappelle que les USA dépensent aujourd'hui 70 milliards US annuellement pour lutter contre l'obésité... Qu'en sera t il de nous dans une dizaine d'années...
Aziz Daouda

Aziz Daouda

Directeur Technique et du Développement de la Confédération Africaine d'Athlétisme. Passionné du Maroc, passionné d'Afrique. Concerné par ce qui se passe, formulant mon point de vue quand j'en ai un. Humaniste, j'essaye de l'être, humain je veux l'être. Mon histoire est intimement liée à l'athlétisme marocain et mondial. J'ai eu le privilège de participer à la gloire de mon pays .


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Le tourisme marocain en 2025 : une croissance spectaculaire, mais des défis persistants 46

Le tourisme marocain traverse une phase très favorable depuis 2024. Les recettes touristiques ont atteint près de 50 milliards de dirhams dès le premier trimestre de l'année en cours, confirmant une reprise robuste après la crise sanitaire mondiale. Cette embellie est le fruit d’une conjonction de facteurs que l’on peut analyser sous plusieurs angles. Certes, la levée progressive des restrictions sanitaires dans le monde a permis un retour massif des visiteurs internationaux, notamment européens, mais aussi de voyageurs venus d’autres régions du globe. Avec sa richesse culturelle unique, son histoire, ses médinas animées, ses paysages diversifiés allant des montagnes de l’Atlas jusqu’aux plages atlantiques et méditerranéennes, son soleil, ses couleurs et son artisanat inégalable, sa cuisine raffinée et la bonhomie des Marocains, leur sourire, leur capacité à rapidement sympathiser avec l'autre et leur tolérance, le Royaume a su séduire une clientèle en quête d’expériences authentiques et variées. Après deux années difficiles, cette forte reprise reflète bien l’intérêt renouvelé des touristes pour la destination. Selon le gouvernement, la montée en puissance du secteur touristique est liée à une stratégie, une politique soutenue d’investissement dans les infrastructures : hôtels de classe mondiale, amélioration des réseaux de transport, modernisation des aéroports, développement des lignes aériennes. Ces efforts ont certainement permis d’améliorer considérablement l’accessibilité du pays, ainsi que le confort et la sécurité des visiteurs, éléments désormais incontournables pour rester compétitif sur un marché international très concurrentiel. Le Royaume a aussi beaucoup investi dans sa visibilité à l’échelle mondiale à travers des campagnes de promotion "bien calibrées", une présence régulière dans les grands salons internationaux, et des partenariats stratégiques avec des acteurs clés du tourisme. Cette stratégie marketing "réfléchie" a permis d’attirer une clientèle diversifiée, amplifiant l’effet d’un « branding » national fort. Le développement de l’offre touristique joue un rôle crucial dans cette dynamique. En plus des traditionnelles escapades culturelles et balnéaires qui font la renommée du pays, le Maroc mise désormais sur des segments en croissance : tourisme d’aventure, randonnées dans le désert, sports extrêmes, écotourisme, parcs naturels, zones protégées, et événements culturels, festivals internationaux et expositions. Cette diversification est là pour attirer différents profils de touristes toute l’année et éviter la saisonnalité excessive. L'événement exceptionnel qu'a été la Coupe du Monde de 2022, à travers la prestation de l'équipe nationale marocaine et aussi celle de son public nombreux, dans le stade et dans les rues de Doha, ont eu un effet amplificateur sur la visibilité mondiale et l’image du Royaume. Cette compétition a positionné le pays sur la carte touristique internationale, attirant un afflux important de visiteurs et créant un coup de projecteur immédiat sur ses atouts. Conséquence directe, en 2024, le Maroc a dépassé en 2024 son objectif initial de 17,5 millions de touristes prévus pour 2026. Performance remarquable. Cependant, sans contester les chiffres annoncés, cette éclaircie ne doit pas masquer certains défis. À approfondir le regard sur les statistiques, la réalité est toute autre. Une part importante des touristes recensés, environ 50%, sont des Marocains Résidant à l’Étranger (MRE), qui visitent le pays principalement pour des raisons familiales, plus que pour un intérêt touristique lié aux stratégies gouvernementales. Il ne faut cependant pas passer sous silence le fait que ces mêmes MRE dénoncent avec ardeur des problèmes récurrents et en premier lieu le coût élevé du transport aérien avec la Royal Air Maroc, pourtant lourdement subventionnée par des deniers publics. La surcharge des prix dans les hôtels et la restauration, surtout l'été, est également dénoncée. Ces difficultés impactent la fidélisation des visiteurs internationaux aussi, l’indice de retour étant très bas. Le fait que les opérateurs, à tous les niveaux, pratiquent outrageusement des augmentations excessives en haute saison, n'est pas loin de ternir l'image du pays et de décourager les visiteurs. Séjourner au Maroc coûte abusivement cher pour des raisons obscures. En effet, rares sont les touristes qui reviennent plusieurs fois après une première visite. Ce ci questionne la qualité de l’expérience client et la compétitivité de la destination. Si l'on excepte les MRE et les visiteurs pour raisons professionnelles, le nombre d'étrangers visitant le Maroc par choix délibéré n'est donc pas si élevé que cela. La question se pose donc quant à l'efficacité des subventions très importantes accordées au secteur et surtout quant l'efficience des campagnes de promotion. Le Ministère du Tourisme et l’Office National du Tourisme attribuent le succès enregistré à leur politique proactive, mais la réalité montre que cette croissance repose en grande partie sur l’attachement au pays des MRE, un facteur moins contrôlable par les pouvoirs publics. La dynamique post-Coupe du Monde et le capital sympathie engendré pourront-ils se prolonger durablement ? Il est difficile de jauger avec précision quelle est la part de la conjoncture Coupe du Monde dans l'embellie et quel est l'impact véritable des politiques publiques, notamment des subventions et aides allouées au secteur. Cet impact ne peut être tout de même ignoré. Pour maintenir le cap et assurer une croissance pérenne du secteur, il est indispensable que le Maroc poursuive et approfondisse ses efforts : continuité des investissements et innovation dans l’offre touristique. Mais le grand chantier reste tout de même en urgence la maîtrise des coûts délirants pour les visiteurs. Le silence du gouvernement à ce sujet risque de faire très mal. Le soleil de cet été coûte trop cher. Il est temps pour l'ensemble de la filière de ne plus se comporter en prédateur, et que l'arnaque et l'extorsion soient à jamais bannies rapidement. L'autre chantier reste l'intégration d’une politique de développement durable pour préserver les ressources naturelles et culturelles dans le cadre plus global d'un développement inclusif de toutes les régions du pays. Il est impératif aussi d'inclure la conscientisation du citoyen et l'éducation, dans la vision. Les plages et les sites pollués ou délabrés, l'incivilité incommodante et les comportements gênants sont un autre défi à relever. Le tourisme se doit de rester l’un des moteurs majeurs de l’économie marocaine, générant emplois et richesses, tout en affirmant le rayonnement du pays sur la scène internationale. Attendons tout de même la fin de la campagne pour porter un jugement final, notamment sur la trajectoire des chiffres et l'efficacité des mesures annoncées dans la stratégie de développement du secteur et surtout pour tirer les leçons qui s'imposeront.

Discours du trône de Sa Majesté le Roi: l'Algérie saisira t'elle sa dernière chance pour sauver la face... 33

Le discours de Sa Majesté le Roi, prononcé le 28 juillet 2025 à l’occasion de la fête du Trône, revêt une signification particulière dans un contexte diplomatique certes nouveau mais se construisant depuis longtemps déjà. Les circonstances rapprochées sont marquées par la tournée de Massad Boulos, père de l’un des gendres de Donald Trump et envoyé spécial du président dans la région. Elles sont aussi accentuées par les propos devant le Congrès américain de l’ambassadeur nouvellement désigné à Rabat et très proche du président. Richard Duke Buchan III n'y est pas passé par quatre chemins. Le Sahara est marocain. Il connaît bien la région pour avoir été ambassadeur en Espagne. Cette situation en dit long sur la dynamique actuelle du conflit autour du Sahara marocain et sur la posture en désarroi de l’Algérie face à cet enjeu. Dans son discours largement suivi et repris par les Marocains, la parole de Sa Majesté étant rare et très attendue, le Roi du Maroc met l’accent sur la « main tendue » répétée par Rabat. Il insiste sur la fraternité entre les peuples marocain et algérien, tout en soulignant la constance de sa position. L’objectif est de peser moralement et diplomatiquement, en donnant une image de responsabilité et d’ouverture, tout en dénonçant implicitement l’obstruction algérienne. Cette rhétorique offre en réalité une porte de sortie à une Algérie isolée sur la scène internationale. S'adressant au peuple algérien, Sa Majesté le prend à témoin en fait. En valorisant explicitement les soutiens grandissants à sa proposition, notamment ceux récents du Royaume-Uni et du Portugal, Sa Majesté envoie un message à double lecture : - *Le Maroc bénéficie d’un appui croissant pour sa proposition d’autonomie, ce qui légitime sa position largement soutenue par l’Occident, le monde arabe, ainsi que par la majorité des pays africains et d’autres régions ;* - *Dans le même temps, l’Algérie se trouve de plus en plus isolée diplomatiquement, comme le confirme le silence gêné autour de la question du Sahara dans les communiqués officiels, notamment après la visite de l’envoyé spécial américain.* Le discours fait fi de la nouvelle donne et passe directement à une proposition constructive de dialogue dans un cadre fraternel. De l'autre côté, l’absence de mention du Sahara occidental dans les déclarations officielles algériennes, suite à la rencontre de Boulos avec le président Teboune, est particulièrement lourde de sens. S'ajoute à cela la récente déclaration du président libanais, faite devant Teboune et son entourage rapproché dans le haut lieu du pouvoir algérien. Il remercia les Royaumes d'Arabie Saoudite et du Maroc pour leur implication dans la résolution de la crise politique dans son pays, et pas un mot sur le Sahara. Le timbre de voix de Joseph Aoun fait mal au tympan de la garde alignée. Les visages sont crispés. Cela reflète une volonté ou une impossibilité politique de l’Algérie à aborder publiquement ce sujet sous la pression internationale, sinon en présence de pays marginaux. Il y a également un embarras ou une divergence entre la réalité politique régionale et la communication diplomatique d’Alger. Le fait que l’envoyé spécial américain poursuive sa tournée, avec pour mission claire, selon Trump, « d’en finir avec ce conflit artificiel », témoigne de la détermination internationale à favoriser une résolution privilégiant la proposition marocaine. En tous cas, on peut le comprendre à la lecture de la lettre de Trump à Sa Majesté à l'occasion de la fête du Trône. Sommes-nous proches d’un scénario similaire à celui du règlement du conflit entre le Rwanda et la RDC ? L’appel renouvelé de SM le Roi peut être vu comme un dernier recours, une offre finale d’apaisement : une opportunité pour l’Algérie de sortir de sa posture bornée sans perdre la face, en s’appuyant sur une proposition crédible et acceptée internationalement. Le Maroc a su montrer à la fois sa patience et sa fermeté. La suite dépend désormais du choix algérien. Malheureusement, au lieu d'une réponse officielle, les autorités d’Alger ont communiqué indirectement par l’intermédiaire de médias dont l’obscénité de certains propos laisse perplexe. Ils vont jusqu'à dire que le Roi du Maroc avait fini par jeter l’éponge devant l’intransigeance de l'Algérie. La bouée de sauvetage tendue par le Roi, à un régime languissant, est perçue comme une éponge par celui-là même qui en a besoin. Dommage. L’Algérie est désormais face à ses contradictions, confrontée à une contrainte complexe. Poursuivre le soutien au Polisario signifie l’enlisement et un isolement risqué, tant au plan régional qu’international, avec une menace d’affaiblissement politique encore plus forte en interne. Le pays est en proie à une crise économique sans précédent, limitant, par manque de devises, des importations pourtant vitales à l’économie et au peuple. Les coupures récurrentes d’électricité et surtout d’eau dans plusieurs régions n’arrangent rien. L'état de délabrement des villes laisse perplexe. Les entretiens rassurants de Teboune n’altèrent pas la soif d’une population aigrie. Saisir l’appel marocain permettrait à Alger de se repositionner politiquement sans perdre la face ; refuser explicitement le dialogue est de plus en plus coûteux et diplomatiquement insoutenable. L’Algérie risque de sombrer dans une crise qui ne profite ni à sa crédibilité internationale, ni à la stabilité régionale, et encore moins à sa stabilité domestique. L’intervention de l’envoyé spécial américain dans la région, la discrétion sur le dossier du Sahara dans les communiqués algériens, et le discours du Roi du Maroc convergent vers une même réalité : le statu quo ne peut plus durer. L’appel royal généreux et empreint de sagesse est effectivement une dernière chance offerte à l’Algérie pour sortir de l’impasse, éviter l’embarras politique international et préserver une certaine dignité à ses dirigeants. En optant pour le dialogue, Alger sauverait également la face en interne, vis-à-vis d’un peuple qui, depuis cinq décennies, a été nourri à la haine du Royaume et sacrifié pour une cause qui ne lui a apporté que misère et désappointement. Que ressent le peuple quand il voit des mercenaires occuper une partie de son territoire et se pavaner à ses frais, se faisant passer pour les leaders d’une « république » de pacotille. Le contexte international, avec des acteurs majeurs clairement engagés pour une résolution pragmatique, réduit les marges de manœuvre algériennes. L’Algérie saura-t-elle profiter de cette opportunité pour réorienter sa politique, ou choisira-t-elle la poursuite d’une stratégie coûteuse et potentiellement délétère ? Dans ce cas, il n’y aura qu’un seul perdant : l’Algérie. La dynamique régionale et internationale s’accélère chaque jour un peu plus en faveur de la proposition marocaine. C’est dans ce sens, et uniquement dans ce sens, qu’il faut entendre le discours du Trône du Roi du Maroc, et pas autrement.

Quoi de neuf dans la version 1.4 de Bluwr ? 44

Quoi de neuf dans la version 1.4 de Bluwr ? Bluwr continue d’évoluer pour améliorer votre expérience de lecture, de partage et d’organisation. Voici les nouveautés introduites dans la version 1.4 : ==**Quatre nouveautés majeures à découvrir**== __1- Séries : organisez vos articles en collections__ Vous publiez régulièrement sur un même sujet ? La nouvelle fonctionnalité *Séries* vous permet de regrouper vos articles dans des ensembles thématiques cohérents. Que ce soit un dossier documentaire, une fiction en épisodes ou un journal de bord, vous proposez désormais à vos lecteurs un parcours fluide et structuré. __2- Deux nouveaux thèmes de lecture__ Bluwr accueille deux nouvelles ambiances visuelles, en complément des thèmes existants *Mer Méditerranée* (le thème par défaut) et *Journal Vintage* (look vieux journal imprimé) : - **Confort** : conçu pour limiter l’exposition à la lumière bleue, il reste parfaitement lisible en extérieur, même en plein soleil. - **Mode Nuit** : idéal pour lire dans l’obscurité sans déranger les personnes proches. Vous pouvez à tout moment changer de thème dans les paramètres de votre profil. __3- Connexion persistante sur tous vos appareils__ Le bug de connexion a été résolu. Votre session reste désormais active, même en changeant de navigateur ou d’appareil. Cela signifie que vous pouvez utiliser Bluwr sur votre téléphone comme une véritable application, sans devoir vous reconnecter à chaque fois. __4- Améliorations générales et corrections__ Outre les nouveautés visibles, cette mise à jour apporte une série d’optimisations de l’interface et de l’ergonomie, pour une navigation plus fluide et intuitive. N’hésitez pas à explorer ces nouveautés dès aujourd’hui. L’équipe Bluwr continue d’affiner la plateforme, version après version.

Les QR Codes de Partage Bluwr 43

Qu’est-ce que les QR Codes de Partage Bluwr ? Les QR Codes de Partage Bluwr sont des codes d’accès rapide générés lorsque vous cliquez sur l’icône de partage d’un article ou sur l’icône d’information [i] d’un profil utilisateur sur Bluwr. Une fois scannés, ces codes vous dirigent instantanément vers l’article ou le profil concerné—éliminant tout obstacle et rendant le partage simple et immédiat. ==**Cinq utilisations pratiques des QR Codes de Partage Bluwr**== __1- Partage d’article sans effort__ Vous lisez quelque chose qui pourrait plaire à un ami ? Plutôt que de copier l’URL ou de chercher le lien dans une application de messagerie, faites-lui simplement scanner le QR code de l’article directement sur votre écran. Il accèdera instantanément au contenu, où qu’il soit—sans besoin d’email ou de messagerie. __2- Outil de personal branding__ Valorisez votre réseau : permettez à des clients potentiels, recruteurs ou partenaires de scanner le QR code de votre profil et de découvrir immédiatement vos compétences et votre expertise. Vous pouvez aussi afficher ce code sur une carte de visite, un panneau dans votre bureau, ou imprimer un QR code renvoyant vers un article qui met en avant votre expérience et vos services. __3- Valorisez vos présentations et posters__ Optimisez l’engagement lors de conférences ou de présentations en affichant un QR code qui mène à votre profil intervenant, à d'autres écrits ou à des ressources complémentaires. Les participants intéressés peuvent scanner pour accéder à une biographie détaillée, à des résumés ou à des ressources étendues en un seul scan. __4- Optimisez l’organisation de conférences et d’événements__ Réduisez les coûts d’impression et simplifiez l’accès à l’information en diffusant les programmes, biographies des intervenants et résumés de sessions sous forme de QR codes sur les livrets, posters ou badges. Par exemple, la présentation d’une session peut afficher le nom de l’intervenant, le sujet et un QR code pointant vers sa biographie et tous les détails du programme, pour rendre l’information complète accessible à chaque participant. __5- Distribution intelligente d’extraits de livres__ Éditeurs et auteurs indépendants peuvent héberger des extraits gratuits de leurs ouvrages sur Bluwr, tout en tirant profit de sa présence en ligne. Plutôt que d’imprimer de nombreux exemplaires papier, imprimez simplement des QR codes menant directement à ces extraits. Cette méthode réduit fortement les coûts et permet aux lecteurs de découvrir facilement plusieurs titres, tout en élargissant votre audience.