Pensez le Futur.

Hermeticism 4950

Hermeticism, also known as the Hermetic tradition, is a spiritual and philosophical system rooted in writings attributed to Hermes Trismegistus, a mythical figure who embodies a syncretism of the Egyptian god Thoth and the Greek god Hermes. Emerging during the early centuries of the Common Era—particularly in Hellenistic Egypt—Hermeticism offered a vision of the cosmos where divinity, nature, and the human soul were inextricably connected. Its teachings have profoundly shaped Western esotericism, influencing fields as diverse as alchemy, astrology, Christian mysticism, Renaissance magic, and modern occult revival movements. At its core, Hermeticism teaches that all things originate from the One, a supreme and ineffable source that manifests through successive emanations. This belief in a single, all-encompassing divine principle aligns Hermeticism with Neoplatonism and other monistic philosophies. The Hermetic universe is a living, intelligent whole—a macrocosm reflected in the human microcosm. This principle is famously summarized in the maxim from the Emerald Tablet: “As above, so below; as below, so above.” It suggests a profound correspondence between all levels of reality, from the divine to the material, and frames the Hermetic path as one of gnosis—spiritual knowledge attained through contemplation, revelation, and the alignment of the self with the divine order. The Corpus Hermeticum, a collection of Greek philosophical texts compiled between the 1st and 4th centuries CE, forms the foundation of Hermetic thought. These texts, particularly the Poimandres and the Asclepius, present dialogues between Hermes Trismegistus and divine or angelic beings who reveal metaphysical truths. Themes include the origin of the universe, the nature of the soul, the process of spiritual rebirth, and the goal of apotheosis—the return of the soul to the divine source. we can say that unlike the abstract metaphysics of contemporary philosophy, Hermeticism is devotional, combining intellectual insight with religious practice. Hermeticism also places strong emphasis on human potential. The human being is portrayed as a divine spark encased in flesh, capable of either sinking into the ignorance of material existence or awakening to its true nature as a child of the cosmos. This optimistic anthropology, where the human soul is not inherently sinful but potentially divine, distinguishes Hermeticism from more dualistic or pessimistic systems like Gnosticism. Nevertheless, it shares with Gnosticism a sense of estrangement from the material world and the conviction that salvation lies in inner enlightenment rather than external authority. Throughout history, Hermetic ideas have surfaced in powerful ways. During the Renaissance, rediscovery of the Corpus Hermeticum—initially believed to predate Moses—led thinkers like Marsilio Ficino and Giordano Bruno to integrate Hermetic philosophy into Christian theology, art, and science. Alchemists such as Paracelsus adopted Hermetic cosmology to frame their experimental practices as spiritual transformations. In modern times, Hermeticism remains central to many esoteric systems, including the Hermetic Order of the Golden Dawn, Thelema, and modern Hermetic Qabalah. In conclusion, Hermeticism is more than a historical current—it is a timeless worldview grounded in the unity of all existence and the transformative power of divine knowledge. Its enduring appeal lies in its synthesis of philosophy, mysticism, and science, offering seekers a path of inner alchemy that aspires not merely to understand the cosmos, but to become one with it.
Tupan

Tupan

I have several interests (too many to list here) and I would like to write about some experiences I've had and ideas about them.


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Afrique, la part du sport dans l'économie 1248

Il est difficile d’évaluer la véritable part du sport dans le PIB sur l’ensemble du continent africain, comme il est clair que cette part varie beaucoup d’un pays à un autre. Au Maroc par exemple cette part est estimée à 1%. L’étude des parts de marché dans le business du sport montre aussi que l’Afrique ne ramasse que des miettes. L’Afrique est à peine présente dans les statistiques mondiales. Le continent subit la mondialisation mais n’en profite que très peu. L’Afrique ne joue que le rôle de la réserve de talents ; une sorte de pépinière. La faiblesse du poids de l’Afrique dans l’économie mondiale se trouve ici criarde. Le continent ne profite que peu de la manne financière du sport, exactement comme elle ne profite que peu de la valeur juste des richesses qu’elle offre « généreusement » à l’économie mondiale. La nature même de l’activité sportive génère cette situation anachronique. Le sport en Amérique ou en Europe et de plus en plus en Asie également, vit en partie grâce aux talents que seule l’Afrique peut fournir au plan génétique et phénotypique. De très nombreux sports et notamment les plus populaires et les plus porteurs économiquement, requièrent des qualités particulières et un potentiel humain qui cadrent parfaitement avec le type de jeunes dont l’Afrique regorge. C’est quasiment le seul continent à offrir cette particularité. Il y a aussi l’économie informelle qui s’est installée comme un palliatif salvateur pour les jeunes puisque leur permet de bénéficier d’équipements sportifs bon marché. Même contrefait ou de seconde main, ces équipements notamment individuels permettent tout de même une certaine pratique à un certain niveau. Cette activité informelle, si encouragée et guidée, peut constituer les bases d’une économie sportive locale et passer dans le formel. Aziz Daouda

La gouvernance du sport en Afrique 1176

A chaque fois que la question du sport en Afrique est soulevée, son développement, ses réalisations, ses déboires, son ascension et le plus souvent à l’occasion de ses débâcles, la question de sa gouvernance est simultanément posée, avec ce qui s’en suit comme débats et problématique liée au concept de bonne gouvernance ; en opposition tacite à ce qui serait une mauvaise gouvernance. Ce concept de bonne gouvernance est en fait évoqué dès lors que la question à traiter est complexe et ou insuffisamment comprise. Le concept de bonne gouvernance est évoqué à chaque fois qu’il est difficile d’expliquer un résultat jugé décevant, à chaque fois que l’on cherche en fait à cacher l’incompréhension d’une situation et peut être même à dissimuler une probable incompétence à traiter d’une problématique donnée. En fait au lieu d’aller creuser et déterrer les raisons profondes, les explications plausibles, les atouts et les faiblesses du sport africain pour d’abord le comprendre et ensuite raisonner avec des données tangibles, on va se contenter au mieux de faire du benchmark, et de façon très simpliste dire que le sport africain souffre d’une seule et unique flétrissure : la mauvaise gouvernance. La question est bien plus complexe à partir même du fait que le concept sport est généralement lui-même mal défini et que le cœur des métiers du sport se trouve peu ou pas défini, peu ou pas compris et pris en compte ; il s’agit bien évidement de la performance sportive, ses déterminants et ses facteurs favorisants ou bloquants. L’Afrique, ses particularités géographiques, historiques et démographiques, ses spécificités sociologiques et politiques multiples, sont rarement prises en compte quand on évoque la question sportive. Le continent est vu comme un tout linéaire sans relief. Pour expliquer un résultat sportif, le lien est rarement fait avec un bon nombre de facteurs sou jacents voir déterminants. L’Afrique, compte tenu de la déformation de sa représentation géographique imagée, la montrant beaucoup plus petite qu’elle ne l’est en fait dans la réalité, à l’échelle du globe, est regardée exactement comme le continent européen surement beaucoup plus petit mais surdimensionné. Peu sont ceux qui évoquent les dimensions géographiques réelles de l’Afrique et ce qu'elle induit, ses diversités démographiques et ethnographiques, sa grande richesse culturelle due justement à cette diversité. Son histoire récente ayant lourdement impacté son évolution politique, la géographie des pays qui la composent, souvent incohérente ; son fonctionnement économique conséquence d’un passé colonial récent, ne sont jamais mis à l’avant et sont rarement évoqués comme des facteurs limitant ou favorisant l’évolution du sport en Afrique. Or c’est l’ensemble des ces facteurs et d’autres encore qui impactent les activités sportives africaines. D’ailleurs on ne devrait pas parler de Sport africain mais plutôt de Sport en Afrique, tellement les problématiques sont diverses d’une région à l’autre. C’est ainsi qu’il y a lieu tout d’abord, pour cerner aussi précisément que possible la question sportive en Afrique, de revenir à certains fondamentaux, de définir correctement les concepts pour ensuite pouvoir évoquer les pistes d’éventuelles meilleures politiques, meilleures gestions et peut être meilleures gouvernances. C’est sans doute l’unique voie pour entrevoir des plans de développement plus efficients. Cette approche est nécessaire et incontournable pour pouvoir échafauder et concevoir de véritables stratégies de développement, qui de surcroit, devraient s’imbriquer obligatoirement dans des stratégies globales de développement de l’humain. Aziz Daouda

Conversations et monologues 1354

Un soir, l'idée a commencé à germer... Cela faisait déjà des années que j'avais cette idée qui revenait régulièrement. Pourquoi pas un livre... ou du moins un recueil de textes?! C'est vrai, aprrès tout, pourquoi pas? Loin de moi la vie trépidante à la Indiana Jones ou à son homonyme féminine Bridget, ma vie a quand-même eu son lot de déconvenues aussi bien que d'instants de grâce qui méritent d'être partagés. Si j'écris, c'est pour que les jeunes (et les moins jeunes) demoiselles se disent "pourquoi pas?"... Inspirer une personne, la tirer vers le haut, faire en sorte qu'elle en veuille plus, plus que ce que la société veut bien lui donner comme rôle, comme place, plus que ce que son entourage veut bien lui donner comme importance... Rebattre les cartes de sa vie pour atteindre les sommets. Non, ces textes ne sont pas un énième papier de motivation à l'américaine, un enième bouquin de coaching sur comment mieux aimer ma vie, ou comment devenir quelqu'un... Non, ces textes sont des parcelles de vie racontées de manière vraie, parfois avec des mots crus. Mais ce partage peut réveiller les consciences, et créer le déclic... Donc oui, finalement, pourquoi pas un livre...