Pensez le Futur.

About Humor, Memes, Memofacturing, and Humor Iq… 5869

I can’t unsee how big of a memes fan I am, I would recognize some classic memes from the first sight. I feel sorry for my friends as I flood them with many memes about almost everything. I keep quoting some famous memes. All these typical Gen Z activities made me realize something: everyone understands memes, they are universal. On top of that, they pass down messages efficiently as our average attention span is decreasing generation after generation due to the unlimited distraction sources. I can’t be the only one noticing these two essential points as marketing experts already did and are focused on leveraging the full potential of this new universal means of communication. The recent assassination attempt on Trump produced one of the most iconic pictures on the web. These pictures not only stayed in our pockets but made it to T-shirts as memes in almost no time. The memes industry paid the price of its success, the unlimited desire to monetize everything, saw us being surrounded by commercial memes based on a product, not an idea… Memes are ideas, not products. I made memes myself to express ideas on certain topics. I remember when our university decided to rebrand and change its logo. I found the design too simple for the announced duration of work compared to the old logo, it was super creative. A lot of people reacted to it and immediately grasped its meaning without me having to explain the meaning. We all agree that memes unveil a huge hidden potential. We can universally express ourselves: isn’t the dream of everyone? Isn’t that the most requested thing? Isn’t that the origin of generational conflicts? When thinking about writing this article, I did not intend to talk about memes only, but to detail mainly one notion: Humor iq. We usually see people posting memes and explaining the reference behind them, some people don’t get the idea initially but end up understanding it after the explanation, but some don’t get it at all. It’s not the case only with memes but with all humor content, making us think: Does understanding humor count as an intelligence type? We were all proud at a certain moment for making a funny joke or getting a meme, we can be prouder when googling the word “ Humor Iq” as the main idea appearing is the high correlation between the ability to produce humor and high intelligence. Humor, nowadays is audio-visual content, interfering often with more than two senses (recalling a previous taste or smell experience). Let us examine the 7 types of intelligence: - Linguistic intelligence - Logical-Mathematical intelligence - Spatial intelligence - Bodily-Kinesthetic intelligence - Musical intelligence - Interpersonal intelligence - Intrapersonal intelligence Humor content has words, the choice of words matters. Brilliant humorists know how to choose the exact words that will make sense and, eventually the essence of the joke. Good speakers rule the world… Some memes are complicated and require a certain analysis to decipher their logic, as there are also other memes about complex topics, it goes both ways: the content and the structure. Complexity induces a certain logic requiring logical intelligence to decipher the structure and the content. Some humor content requires imagination as the humorist takes us into an adventure guided by his or her descriptions usually to set up a scene required for the joke being made. Spatial intelligence is essential for a better understanding. We can go all day finding relationships between Humor intelligence and the 7 types of intelligence. I am not trying to prove that humor understanding requires different types of intelligence nor prove that all types of intelligence form humor intelligence. I am speculating on the status of humor intelligence: is it a type of intelligence? Does Humor intelligence induce the other types? If what we said about humor, being a human creation, is true, then it is for all human creations like music, poems… For each type, we can define intelligence and link to the other types. Are there seven types of intelligence, is this framework valid to describe all types of intelligence? What is the case for the spiritual and natural aspects? Can we define a valid framework to reflect on intelligence? This reflection gave me headaches as I, like philosophers, seek generality in the description, a theory of everything, but like consultants, I end up realizing that within the general there is a pinch of specific. Frameworks are an effort toward englobing certain notions but personal interpretation is always necessary. Life tends to be mechanical and requires some spice, and humor is one of a good spice. Far from the intelligence and framework speeches, Humor is human before all, some things are worth being enjoyed rather than complicating them. “ Genius takes time and extraordinary effort “
Elmahdi Elbakkar

Elmahdi Elbakkar


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Bienvenus sur Bluwr. 1221

Nous vous avions promis que Bluwr verrait le jour le 13 novembre 2023, et nous avons tenu notre promesse. Bluwr est une création unique, une source d'inspiration puisée dans des époques bien antérieures à l'avènement d'Internet. Il représente un pont entre passé et futur, un canal propice à la réflexion et à l'inspiration. Nous l'avons construit avec maturité et vision prospective, aspirant à la beauté et à la perfection. Une plateforme textuelle pour les temps à venir, où passé et futur fusionnent harmonieusement pour former quelque chose de plus grand. *Penser le futur.* - Bluwr.
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Afrique, la part du sport dans l'économie 851

Il est difficile d’évaluer la véritable part du sport dans le PIB sur l’ensemble du continent africain, comme il est clair que cette part varie beaucoup d’un pays à un autre. Au Maroc par exemple cette part est estimée à 1%. L’étude des parts de marché dans le business du sport montre aussi que l’Afrique ne ramasse que des miettes. L’Afrique est à peine présente dans les statistiques mondiales. Le continent subit la mondialisation mais n’en profite que très peu. L’Afrique ne joue que le rôle de la réserve de talents ; une sorte de pépinière. La faiblesse du poids de l’Afrique dans l’économie mondiale se trouve ici criarde. Le continent ne profite que peu de la manne financière du sport, exactement comme elle ne profite que peu de la valeur juste des richesses qu’elle offre « généreusement » à l’économie mondiale. La nature même de l’activité sportive génère cette situation anachronique. Le sport en Amérique ou en Europe et de plus en plus en Asie également, vit en partie grâce aux talents que seule l’Afrique peut fournir au plan génétique et phénotypique. De très nombreux sports et notamment les plus populaires et les plus porteurs économiquement, requièrent des qualités particulières et un potentiel humain qui cadrent parfaitement avec le type de jeunes dont l’Afrique regorge. C’est quasiment le seul continent à offrir cette particularité. Il y a aussi l’économie informelle qui s’est installée comme un palliatif salvateur pour les jeunes puisque leur permet de bénéficier d’équipements sportifs bon marché. Même contrefait ou de seconde main, ces équipements notamment individuels permettent tout de même une certaine pratique à un certain niveau. Cette activité informelle, si encouragée et guidée, peut constituer les bases d’une économie sportive locale et passer dans le formel. Aziz Daouda

La gouvernance du sport en Afrique 813

A chaque fois que la question du sport en Afrique est soulevée, son développement, ses réalisations, ses déboires, son ascension et le plus souvent à l’occasion de ses débâcles, la question de sa gouvernance est simultanément posée, avec ce qui s’en suit comme débats et problématique liée au concept de bonne gouvernance ; en opposition tacite à ce qui serait une mauvaise gouvernance. Ce concept de bonne gouvernance est en fait évoqué dès lors que la question à traiter est complexe et ou insuffisamment comprise. Le concept de bonne gouvernance est évoqué à chaque fois qu’il est difficile d’expliquer un résultat jugé décevant, à chaque fois que l’on cherche en fait à cacher l’incompréhension d’une situation et peut être même à dissimuler une probable incompétence à traiter d’une problématique donnée. En fait au lieu d’aller creuser et déterrer les raisons profondes, les explications plausibles, les atouts et les faiblesses du sport africain pour d’abord le comprendre et ensuite raisonner avec des données tangibles, on va se contenter au mieux de faire du benchmark, et de façon très simpliste dire que le sport africain souffre d’une seule et unique flétrissure : la mauvaise gouvernance. La question est bien plus complexe à partir même du fait que le concept sport est généralement lui-même mal défini et que le cœur des métiers du sport se trouve peu ou pas défini, peu ou pas compris et pris en compte ; il s’agit bien évidement de la performance sportive, ses déterminants et ses facteurs favorisants ou bloquants. L’Afrique, ses particularités géographiques, historiques et démographiques, ses spécificités sociologiques et politiques multiples, sont rarement prises en compte quand on évoque la question sportive. Le continent est vu comme un tout linéaire sans relief. Pour expliquer un résultat sportif, le lien est rarement fait avec un bon nombre de facteurs sou jacents voir déterminants. L’Afrique, compte tenu de la déformation de sa représentation géographique imagée, la montrant beaucoup plus petite qu’elle ne l’est en fait dans la réalité, à l’échelle du globe, est regardée exactement comme le continent européen surement beaucoup plus petit mais surdimensionné. Peu sont ceux qui évoquent les dimensions géographiques réelles de l’Afrique et ce qu'elle induit, ses diversités démographiques et ethnographiques, sa grande richesse culturelle due justement à cette diversité. Son histoire récente ayant lourdement impacté son évolution politique, la géographie des pays qui la composent, souvent incohérente ; son fonctionnement économique conséquence d’un passé colonial récent, ne sont jamais mis à l’avant et sont rarement évoqués comme des facteurs limitant ou favorisant l’évolution du sport en Afrique. Or c’est l’ensemble des ces facteurs et d’autres encore qui impactent les activités sportives africaines. D’ailleurs on ne devrait pas parler de Sport africain mais plutôt de Sport en Afrique, tellement les problématiques sont diverses d’une région à l’autre. C’est ainsi qu’il y a lieu tout d’abord, pour cerner aussi précisément que possible la question sportive en Afrique, de revenir à certains fondamentaux, de définir correctement les concepts pour ensuite pouvoir évoquer les pistes d’éventuelles meilleures politiques, meilleures gestions et peut être meilleures gouvernances. C’est sans doute l’unique voie pour entrevoir des plans de développement plus efficients. Cette approche est nécessaire et incontournable pour pouvoir échafauder et concevoir de véritables stratégies de développement, qui de surcroit, devraient s’imbriquer obligatoirement dans des stratégies globales de développement de l’humain. Aziz Daouda

Conversations et monologues 936

Un soir, l'idée a commencé à germer... Cela faisait déjà des années que j'avais cette idée qui revenait régulièrement. Pourquoi pas un livre... ou du moins un recueil de textes?! C'est vrai, aprrès tout, pourquoi pas? Loin de moi la vie trépidante à la Indiana Jones ou à son homonyme féminine Bridget, ma vie a quand-même eu son lot de déconvenues aussi bien que d'instants de grâce qui méritent d'être partagés. Si j'écris, c'est pour que les jeunes (et les moins jeunes) demoiselles se disent "pourquoi pas?"... Inspirer une personne, la tirer vers le haut, faire en sorte qu'elle en veuille plus, plus que ce que la société veut bien lui donner comme rôle, comme place, plus que ce que son entourage veut bien lui donner comme importance... Rebattre les cartes de sa vie pour atteindre les sommets. Non, ces textes ne sont pas un énième papier de motivation à l'américaine, un enième bouquin de coaching sur comment mieux aimer ma vie, ou comment devenir quelqu'un... Non, ces textes sont des parcelles de vie racontées de manière vraie, parfois avec des mots crus. Mais ce partage peut réveiller les consciences, et créer le déclic... Donc oui, finalement, pourquoi pas un livre...