Pensez le Futur.

Agence Marocaine Antidopage: Vivement une seconde caravane. 103

Il n’est pas question pour moi ni de définir le dopage, ni de parler des techniques de dopage, ni d’en sérier les conséquences, ni ou encore de m’attarder sur les techniques ou les procédures de lutte contre ce phénomène qui n'entache plus le sport d’élite en particulier mais qui est devenu un phénomène de société tant il est avéré que nombreux sont les jeunes qui ont recours à certains produits afin pensent-ils d'accélérer les effets de l'entrainement sur le musculature et apparence physique. D’autres le font beaucoup mieux que moi. Le dopage est un phénomène qui n’est pas nouveau. Certains disent qu’il a accompagné l’humanité depuis que la compétition sportive existe. Le premier cas avéré dans les temps moderne, remonte à 1865 et depuis le dopage n’a jamais cessé d’exister. Le dopage dans le sport a été toléré des décennies durant, sans doute par méconnaissance de ses conséquences sur la santé, par manque de prise de conscience de son immoralité, et par le fait qu’il a longtemps été à la base de politiques sportives pour certains états puissants dotés de moyens mais avant tous maitrisant certaines techniques, les dessous de la technologie et d’autres aspects scientifiques pointus. De nos jours les choses sont clarifiées, la communauté internationale s’est toute rangée du même côté. Elle condamne le dopage. Elle l’a criminalisé et s’est fixé pour objectif de l’éradiquer. Tous les pays du monde et toutes les instances sportives internationales et nationales sont dans une même logique, celle de ne plus accepter le phénomène du dopage et de lutter contre. Il existe aujourd’hui une instance internationale à laquelle l’ensemble a adhéré et se réfère. Elle fixe le cap et dicte à tous la voie à suivre. Bon nombre de pays dont le Maroc sont allés encore plus loin et ont criminalisé le dopage en inscrivant le recours, l’usage et le commerce de produits dits dopant dans leur droit pénal, avec des sanctions lourdes. Tous les pays du monde se sont dotés d’instances indépendantes dont la seule mission est de lutter contre le dopage. Mieux encore les états et les comités olympiques nationaux sont dans l’obligation de financer, d’épauler et de garantir l’indépendance totale des agences nationales de lutte contre le dopage. Les techniques de dépistage ont tellement évolué que personne ne peut plus échapper à la sanction. La communauté sportive internationale est allée jusqu’à préserver pour très longtemps les échantillons prélevés sur les sportifs, pour revenir à leur analyse des années plus tard, avec des techniques chaque jour plus sophistiquées, chaque jour plus précises. Aujourd’hui des sportifs sont confondus de dopage et sanctionnés sur la base d’échantillons prélevés huit années auparavant. D’autres sont sanctionnés sur la base de variations anormales constatées sur leurs passeports biologiques. C’est dire que la lutte est totale. Seulement s'attaquer au dopage chez les sportifs connus et reconnus et chose aisée. Ils sont identifiés et à portée de main pour les agences. Reste posée la possibilité et l'efficacité du système chez les jeunes et moins jeunes qui eux ne sont ni inscrits dans un club affilié à une fédération ni n'ont pour ambition de participer à une quelconque compétition. Beaucoup ont recours à des produits dopants ou simplement à des suppléments ou compléments alimentaires qui peuvent être contaminés par des molécules dopantes. L’Agence Marocaine AMAD a eu l’idée géniale d’organiser une caravane de sensibilisation à l'adresse du public le plus large et des jeunes. Elle a visité l’ensemble des douze régions du territoire nationale. Pendant plus d’une année, ses équipes, son staff, accompagnés d’experts et de personnalités sportives n’ont eu de cesse d’informer de rappeler et de faire prendre conscience non point des aspects juridiques seulement mais aussi des méfaits et conséquences du recours à certains produits, à certains suppléments ou compléments alimentaires, sur la santé de l'individu et partant à un niveau de santé publique. L’objectif était de faire prendre conscience aux jeunes des conséquences catastrophiques du dopage sur leur santé physique et mentale, sur leur vie en société, sur leur réputation et celle de leur pays pour les sportifs. Je suis certain que tous le comprennent aisément. Mais la compréhension et l’adhésion de chacun dans son petit coin n’est pas suffisante. Nos sportifs et l'ensemble de nos dirigeants sportifs, nos enseignants d'EPS et nos encadrants sportifs doivent tous contribuer dans cette lutte que le Royaume mène inlassablement contre le dopage. Ils doivent être des relais pour contrecarrer ce qui se dit et se fait ici dans leurs clubs, dans leurs écoles et quartiers. S’il n’est pas avéré qu’avec un quelconque produit on devient un grand champion, il est par contre certain que le dopage nuit automatiquement à la santé de l'individu et le fait basculer dans la criminalité. On peut aller jusqu'à devenir la honte de sa famille et entacher la réputation de son pays. Le Comité National Olympique Marocain ne ménage aucun effort pour contribuer à cet élan novateur qui prend naissance aujourd’hui et se développe. Notre mission à nous citoyens est d’être là, présents, à côté des Fédérations Royales Marocaines Sportives, du Ministère des Sports et bien évidement au côté de l’agence nationale de lutte contre le dopage, AMAD. Le Maroc est aujourd’hui un modèle dans cette lutte. Il s’est doté d’un arsenal juridique fort et d’une instance efficace et compétente de lutte contre le dopage et nous nous en félicitons. L'expérience marocaine est scrutée avec intérêt et sa coopération souhaitée dans mout pays africains entre autres. Cette confiance fait que tout récemment la Présidente de l'AMAD, Dr Fatima Abouali a gagné la confiance de ses pairs africains qui l'ont élue présidente de l'UAMS: Union Africaine de Médecine du Sport. Le dopage est notre ennemi à tous et ceux qui le pratiquent, en font commerce ou incitent nos jeunes à y recourir se placent volontairement en marge de la société. Le sport, se sont avant tout des valeurs d’honnêteté.
amad.ma

Ces nouveau défenseurs des libertés et de la démocratie... Partie: 1 120

Avec l'autorisation de mon ami Aziz Boucetta, je me permets ici de partager avec les lecteurs de Bluwr, le billet qu'il a publié dans Panorapost.com, un organe de presse qu'il dirige avec compétence et responsabilité. le titre est édifiant et la raison de sa colère évidente. Le paysage journalistique et celui des réseaux est aujourd'hui submergé, inondé pollué au point de devenir nauséabond. Il est probablement temps de se prononcer et que chacun prenne ses responsabilités mais aussi d’agir en contradicteur de l’imbécilité et de l’indécence. Le lien de la source est au bas de la page. Voici ici le texte tel que signé Aziz Boucetta le 29 janvier 2025. Partie: 1 Aujourd’hui, aucune personne sensée ne peut plus mettre en doute cette vérité que nous vivons dans un monde dangereux. Instable, incertain, et donc dangereux. Dans cette planète mondialisée où l’humanité est réduite à un petit village grand ouvert, nous assistons à ce paradoxe qui voit tous les pays se fermer sur eux-mêmes, procéder à des introversions sur eux-mêmes. Les Etats se défendent désormais contre les menaces extérieures qui les affaiblissent et les attaques intérieures qui les rongent. Mais ce qu’on oublie, c’est la nécessité d’avoir un Etat fort… un Etat fort qui rende des comptes certes, qui doit les rendre, mais qui doit également être protégé et préservé. Or, que voyons-nous, dans le monde entier, et au Maroc en particulier ? Des gens qui rappellent cette pensée d’Umberto Eco : « Les réseaux sociaux ont donné le droit de parole à des légions d'imbéciles qui avant, ne parlaient qu'au bar et ne causaient aucun tort à la collectivité. On les faisait taire tout de suite. Aujourd'hui, ils ont le même droit de parole qu'un prix Nobel ». Ces gens alimentent les colères rentrées des gens et les agrègent, surfent sur leurs mécontentements, profitent de leur naïveté et de leur crédulité, abondent dans leur sens, mentent au besoin, mentent souvent. On les appelle youtoubeurs, influenceurs… ils se choisissent des noms de scène, faciles à retenir, soigneusement marketés, où ils s’affublent de titres universitaires, souvent abusifs, docteur, professeur, maître… Et ils portent et promènent leurs paroles sur les réseaux sociaux qui leur sont si favorablement ouverts, et dans lesquels ils trouvent des gens si facilement convaincables et influençables. Un Etat fonctionne à sa manière, et c’est partout la même ; les méthodes sont universelles mais leurs déclinaisons restent nationales. Dans tous les pays, les Etats à travers leurs institutions renferment des gens douteux, procèdent à des activités pas toujours légales, entreprennent des actions parfois liberticides, se lancent dans des opérations moralement répréhensibles… Et c’est pour cela qu’il existe des contre-pouvoirs, et qu’il en faut. Jusqu’à récemment, ces contre-pouvoirs étaient institutionnels et, souvent, ils ne suffisaient pas, et ne suffisent toujours pas. Les réseaux sociaux ont apporté une nouvelle puissance à ces contre-pouvoirs. Désormais, tout un chacun peut anonymement dénoncer un passe-droit, un abus, une irrégularité, voire un crime financier. Et c’est là où les choses peuvent déraper, c’est là qu’elles dérapent. Et c’est là qu’il faut savoir raison garder, et ramener les choses à leur endroit. Première vérité : L’Etat n’est pas un ennemi. Il gère, légifère réglemente, contrôle, sanctionne, taxe, dépense, régule, prévoit… L’Etat est nécessaire, et l’affaiblir est dangereux. Jadis, l’Etat versait systématiquement, ou presque, dans des abus de tous ordres. Aujourd’hui, la tentation est la même, mais la prudence est devenue de mise. Tout acte répréhensible ou abusif est susceptible d’être dénoncé, rapporté à l’opinion publique, avec preuves à l’appui. Les réseaux sociaux sont là pour ça, les dirigeants le savent et agissent en conséquence. Deuxième vérité : Tout le monde ne peut pas être « justicier » et personne ne peut prétendre détenir la vérité, même les plus bruyants, même les plus « talentueux » sur Facebook, Youtube et autres plateformes. Troisième vérité : L’expression et l’opinion doivent être libres, cela ne fait aucun doute, mais cette liberté est encadrée, réglementée. On ne peut tout dire sous le toit de la liberté d’expression, qui glisse souvent en diffamation, en calomnie, en désinformation. La liberté d’expression, c’est aussi une obligation, on l’oublie bien souvent. Au Maroc, comme ailleurs, ces « justiciers » sont pléthore. Certains, les « intellectuels », font des analyses, agissent de manière en apparence « rationnelle », développent leurs arguments ; ils sont sur leurs chaînes personnelles, ou agissent au nom d’ONG connues et souvent donneuses de leçons (orientées et sélectives, comme on le sait désormais depuis Gaza), à la manière des années 70 du siècle dernier, alors que le monde a changé. Ils sont connus, pour avoir exercé des responsabilités au Maroc ou pour y avoir porté des titres, mais ils sont souvent expatriés. Leur problème est que leurs logiciels de pensées sont restées figés au début des années 2000, et pour certains plus haut encore dans l’histoire, dans le cadre tracé par John Waterbury à la fin des années 60 du siècle dernier ; et alors que le Maroc est aujourd’hui tourné vers l’avenir, ils persistent à ressasser les anciennes critiques, sur la monarchie, sur la démocratie, sur les libertés, sur le monde arabe comme ensemble homogène ou l’espace maghrébin comme espace hétérogène… A suivre en partie 2.

Ces nouveaux défenseurs des libertés et de la démocratie.... Partie 2 127

Avec l'autorisation de mon ami Aziz Boucetta, je me permets ici de partager avec les lecteurs de Bluwr, le billet qu'il a publié dans Panorapost.com, un organe de presse qu'il dirige avec compétence et responsabilité. le titre est édifiant et la raison de sa colère évidente. Le paysage journalistique et celui des réseaux est aujourd'hui submergé, inondé pollué au point de devenir nauséabond. Il est probablement temps de se prononcer et que chacun prenne ses responsabilités mais aussi d’agir en contradicteur de l’imbécilité et de l’indécence. Le lien de la source est au bas de la page. Voici ici le texte tel que signé Aziz Boucetta le 29 janvier 2025. Partie 2: D’autres, de ces « justiciers », sont vulgaires et grossiers : ils braillent, insultent, menacent, s’en prennent aux institutions habituellement ciblées (monarchie, services de sécurité, justice), et promettent des révélations qui ne viennent jamais, parce qu’elles n’existent pas. Dans cette catégorie, il y a les aigris qui veulent compenser des échecs, et attaquent tout et tous, et il y a les mercantiles qui le font pour l’argent (« plus j’insulte, plus je parais prendre des risques, et plus je suis regardé et écouté, et plus j’engrange de l’argent, directement sur les plateformes ou en ‘monnayant’ mon audience »). Ils utilisent les institutions marocaines, tour à tour la monarchie, les services de sécurité, la justice, comme des produits d’appel pour attirer le chaland. Le plus souvent, ils agissent de l’étranger, forts de leurs doubles citoyennetés, et le plus souvent aussi, ils sont en délicatesse avec les justices de leurs pays d’accueil : Dounia Filali en France, Zakaria Moumni ou Jrindo au Canada, Mohamed Hajib en Allemagne. Ils sont passés des attaques contre la monarchie, (c’est toujours payant) aux accusations contre les services qui menaceraient cette même monarchie, et, ce faisant, ils se sont transformé en défenseurs de la monarchie, car c’est désormais encore plus payant !… Souvent, ils sont davantage dans l’extorsion de fonds ou la monétisation de leurs audiences, affichant de grands desseins politiques pour masquer leurs petits calculs financiers. Enfin, une troisième catégorie est celle de ceux qui agissent directement du Maroc. Ils ont au moins la cohérence de critiquer l’environnement dans lequel ils vivent. Mais ceux-là, militants, historiens, journalistes revenants, universitaires (ils ne sont pas si nombreux) pèchent par une sorte de haine du pays et de déni de tout ce qu’il a pu construire et édifier en 50 ans. A leurs yeux, rien de ce qui se fait au Maroc n’est bon ; pour eux, la démocratie reste occidentale ou n’est pas. Pour eux, nous serions tous et toujours en danger si notre système reste le même et, bien évidemment, notre police est une Stasi du 21ème siècle et une Savak en devenir. Certains critiquent et dénoncent tout, régionalisation, industrialisation, normalisation, tout… Ils sont dans l’abus systématique et, bien heureusement, restent dans la confidentialité numérique. L’objectif de tous ces gens ou presque est d’affaiblir l’Etat, ce en quoi ils auraient réussi si l’Etat était faible ou si leurs accusations étaient vraies, étayées et prouvées. Ce qui n’est pas le cas. Mais, pour autant, et en dépit d’une baisse vertigineuse de leurs audiences – les internautes comprenant de plus en plus leurs objectifs –, il est important de protéger et de sauvegarder l’Etat. En outre, le Maroc ne semble pas avoir besoin de ces « lanceurs d’alerte » qui font de l’attaque personnelle une vérité et de la punchline une doctrine ; cette fonction est parfaitement remplie par les journalistes, les vidéastes et surtout les jeunes, les jeunes et encore les jeunes, qui interviennent et corrigent ce qui doit l’être, dénonçant au besoin des travers ou des dysfonctionnements ; la Cour des comptes existe et elle travaille, le HCP est là pour tirer les sonnettes d’alarme, Bank al-Maghrib s’alarme et parfois s’insurge… Les institutions, les corps élus, les services, tout le monde doit pouvoir être critiqué, surveillé, mais dans les règles et dans le respect de la loi et de la justice et de ses jugements, et quand les verdicts sont abusifs, ils sont aussi dénoncés et souvent, corrigés en appel. En effet, il est important de le rappeler, dans un monde où Trump déboule, où l’Europe se cherche mais se perd dans l’intervalle, où Chine et Russie sont de plus en plus intrusives, où la menace de pandémie guette désormais, où l’argent coule à flots et où l’argent n’a plus de limites, les Etats, dont celui du Maroc, reçoivent des coups, mais résistent. Il est important de prendre conscience que dans ce monde, les peuples ont besoin d’Etats forts, stables et visionnaires. Et c’est, bien heureusement, le cas de l’Etat marocain. Pour ceux qui pourraient être amenés à en douter, souvenons-nous de l’action résolue pendant la crise Covid et comparons aux centaines de milliers de morts en Europe et aux Etats-Unis, au nombre effarant de décès dans des pays non structurés, et à la vitesse de réaction et d’anticipation des Marocains ; constatons aussi le nombre d’attentats ici et ailleurs (cette semaine, la DGST a démantelé une cellule terroriste à Had Soualem)… Comme le disait le Nouveau modèle de développement, une société forte et un Etat fort. Il faut le dire et s’en réjouir, puis en prendre conscience, s’en convaincre, et agir en conséquence. Une fois cela établi, il n’est aucunement question d’accorder un chèque en blanc à toutes les institutions ciblées ; elles sont suivies dans leurs actions, lesquelles actions doivent être décortiquées, soumises à l’épreuve de la loi, et le cas échéant dénoncées, critiquées, poursuivies en justice. En définitive, ce sport national qui consiste à mettre à bas tout ce qui est institutionnel doit cesser ; il n’apporte rien au débat national et n’apporte rien à cette mouvance gauchiste qui a vécu et que ces nouveaux « militants », numériques, essaient de ressusciter. Jadis, il fallait protéger les militants dénués de moyens de communication contre un Etat censeur, brutal et liberticide ; aujourd’hui, face à tous ces coups de boutoir, inutiles et intéressés, il importe de protéger l’Etat, tout en surveillant son action, avec les moyens légaux. Aziz Boucetta.

Journal de voyage #5: Indonésie 127

Le vol de Brisbane à Denpasar en Indonésie a été une formalité comparé au trajet précédent. Ce n’est pas sans nous déplaire. Nous passons juste une Nuit dans la région de Kuta sur l’île de Bali puis prenons un ferry pour la petite île de Nusa Penida où nous planifions de rester une semaine. Nos lectures ne nous ont pas induit en erreur, c’est effectivement une petite île très agréable, même si un peu plus cher que Bali. En marchant le long d’une route nous passons devant une toute petite boutique indiquant des activités touristiques comme plongée masque et tuba, visite de sites, location de scooter. Une très belle rencontre s’en suit. C’est en fait un petit entrepreneur local qui propose ses services. Nous réservons notre scooter familiale pour le lendemain, une visite de l’est de l’île et une excursion en bateau avec plongée masque et tuba. Cette dernière est un des moments les plus mémorables du voyage. Nager dans l’océan, proche d’une falaise, dans des houles d’un mètre de haut et pour couronner le tout, une dizaine de raies manta dansant sous nos yeux. Comme je l’ai mentionné à la fin de l’article précédent, c’est la saison des pluies ici. Cependant, aucune de nos activités n’a été gâchée par la météo. Il a plu de temps en temps, des pluies fines, des torrents par moments mais nous trouvions toujours un moment pour aller nous promener sur une plage, une falaise, faire un tour en scooter. Nous avons notamment visité Cristal Bay qui semblait être une des plages a ne pas manquer. Selon moi elle n’en vaut pas la peine. La plage est sale et en arrière beaucoup de boutiques et de warungs (petits restaurants/boutiques pas chers) gâchant le paysage. Si l’on n’observe que l’océan et les rocher par contre c’est effectivement magnifique. Ce n’est pas le seul endroit où, pour en profiter et apprécier le paysage, il faut faire abstraction d’un certain nombre de déchets ou constructions dédiées aux touristes à la course aux belles photos surfaites et artificielles (balançoires, nids et coeurs en bois, bancs sculptés etc.). C’est dommage… Tous les endroits ne sont heureusement pas affectés. Un matin, nous discutons de nos plan quelques minutes avec la personne a la réception. Il nous indique un coin un peu moins touristique mais qui vaut un léger détour sur notre chemin: Tembeling Beach. Nous visitons Broken Beach, selon nos plans en premier. Pour ce deuxième arrêt, la portion finale du trajet se transforme en terre avec des pentes très raides. On fait du scooter tout terrain! Nous finissons a pied, en descendant des escaliers pendant un peu moins de 15min. Quel spectacle! une plage cachée entre les falaises avec certains rochers arrivant proche de l’eau formant une piscine d’eau douce au bout d’une rivière. Cette piscine est semi naturelle car on voit quelques tuyaux dirigeants l’eau de la rivière précisément vers elle et quelques consolidation de rochers. Cet endroit est magnifique et nous n’y croisons pas plus de quelques personnes. Arrive ensuite la veille de Noel. Un de nos derniers jours sur Nusa Penida. Pour la première fois depuis longtemps nous décidons de ne rien faire du tout. Une fois de temps en temps ça ne fait pas de mal. Un peu de planification de voyage, des jeux, un film en famille, baignade dans la piscine et un restaurant en bord de falaise le soir avec un coucher de soleil fabuleux. Nous devions ensuite aller visiter l’île de Lombok. En discutant avec les locaux, toujours de bon conseils jusque là, nous avons changé les plans. Sans visiter Bali, nous manquerions selon eux une chance de découvrir tout un pan de la culture. Lombok offrant principalement les mêmes activités que Nusa Penida, sur une plus grande surface. C’est à dire: plages, falaises, randonnées et sorties de plongée. Nous traversons donc vers Bali avec le même ferry qu’à l’aller. Nous réservons une guest house pour 6 jours à Ubud. Une superbe maisons chez l’habitant en retrait de la route principale. Le taxi ne peut pas nous y amener, nous finissons a pied dans une ruelle, puis le long d’une petite rizière sur un chemin pavé avant d’arriver dans une maison constituée de plusieurs bâtiments. Les chambres sont assez isolées et les salles de bains sont ornées de moulures. Les petits déjeuners offerts sont plus que copieux, a tel point que nous n’avons presque rien mangé les midis tout le long de notre séjour. Une journée nous suffit pour découvrir les zones d’intérêts de la ville à pied: temples, boutiques, marchés etc. Les autres jours nous louons des scooters pour aller visiter les environs. Des rizières, la forêt de macaques à longue queue de Sangeh, des chutes d’eaux et des temples. Les premiers jours, la ville fourmille de touristes qui s’agitent à l’approche du nouvel an. Une fois le nouvel an passé les embouteillages diminuent. Le scooter familiale restera une de mes activités préférées peu importe les conditions (embouteillages, pluies). La prochaine étape de notre voyage est à nouveau une guest house à Munduk, plus dans les terres à côté du mont Batukaru. C’est justement pour lui que nous venons, nous planifions une journée de randonnée pour l’aller-retour au sommet. Il y a plusieurs points de départ. Sur internet nous trouvons une randonnée d’environ 5h30 qui fait justement le trajet jusqu’au sommet. Nous n’avons pas été déçus! Une des randonnées les plus difficiles de ma vie. un peu plus de 3km aller et 1100m de dénivelé positif. Le reste de la famille s’est arrêté à un peu plus de la moitié mais mon orgueil me pousse à aller jusqu’au bout. Je laisse le pique nique et l’eau, prenant simplement mon poncho en cas de grosse pluie. Je finis par les rejoindre un peut avant leur arrivée. La vue d’en haut étant assez jolie mais partiellement couverte. Les photos ne sont pas exceptionnelles mais ce n’était pas la raison de mon ascension. Ça faisait longtemps que je n’avais pas eu l’occasion d’être poussé à mes limites pour un effort physique. Et ça fait du bien! Nous finissons par quelques jours au sud de Tanah Lot. Le temple est très beau mais, tout comme le reste des activités touristiques gâché par des artefacts pour touristes superficiels. Nous avons trouvé un hôtel à dix minutes de marche de l’océan, dans la région de Canggu. C’est un gros changement de cadre tout de même. Des salles de sport et restaurants surfaits, visant toujours un certain type de tourisme, qui ne nous correspond pas du tout. Je ne voudrais pas finir sur cette note négative par contre. Notre séjour à Nusa Penida et Bali a été une expérience extrêmement enrichissante. Nous avons fait de très belles rencontres avec des locaux. Des échanges toujours très agréables. Les paysages sont également époustouflants, a condition de sortir un peu des destinations touristiques en vogue. Il n’y aura pas de prochaine destination avant au moins quelques mois puisque nous sommes maintenant rentrés chez nous. C’est la fin de notre aventure en famille mais loin d’être la fin de nos voyages!

Parlement Européen : deux votes imbéciles... 254

Le récent vote pour une résolution européenne appelant à la libération de l’écrivain Boualem Sansal a fini par dévoiler ce qu’est une certaine gauche en France; ce qu’elle pense, ses tendances doctrinaires, son héritage idéologique sa philologie et surtout l’idée qu’elle se fait de la liberté d’expression et de l’humanisme. Deux députées françaises, donc représentant le pays des lumières et de la déclaration des droits de l’homme, n’ont rien trouvé de plus intelligent, pour se distinguer aux yeux des européens, que d’aller à contre-courant de ce que toute personne sensée puisse penser : l’une s’est abstenue et l’autre a carrément voté contre la résolution. Il s’agit là de la position de la mouvance politique qu’elle représente et point d’une posture personnelle. L’une est connue pour n’avoir pas grand-chose à faire valoir sinon qu’elle soit une rentière de la politique par son héritage. L’autre brille par des positionnements bizarres, valsant au grès des vents entre des idées d'extrême gauche et d'extrême droite pèle mêle. C'est à donner le tournis. Peu importe, ce qui compte est qu'elle trouve échos dans les médias et tous les jours. On ne lui a pas appris que la valeur et la bonification viennent avec la rareté et non par la profusion et l'abondance. Elle est par exemple la seule à savoir où se trouve la Mecque des libertés et des révolutionnaires sur la carte du monde. Ainsi pour ces deux turbulions de la politique, les 553 députés qui ont voté pour la résolution se sont probablement trompés. Par leurs votes, les deux exciteuses ont défendu l’emprisonnement arbitraire d’un vieux de 75 ans ; un intellectuel qui dans une émission de télévision a rappelé simplement des faits historiques et géographiques, sans appeler à quoi que ce soit, ou plaider pour quoi que ce soit. Le vrai visage d’une certaine gauche française est ainsi dévoilé ; Toujours Nostalgique des régimes totalitaires du bloc de l'est... Fondamentalement Nostalgique de la seule vérité qui soit celle du parti unique. Mais ça, ils ne le disent pas aux Français ; ils le pratiquent. Mais ne sont-elles pas, elles-mêmes, très jeunes qu'elles sont, les victimes d’un endoctrinement gauchiste d'un autre temps ; ayant engendré un endormissement de leurs esprits ; ayant inhibé chez elles les neurones du discernement et de la lucidité. Elles ont toujours vécu dans un environnement où le bon sens se trouve être la cible quotidienne d'une propagande révolue, héritage d'un autre temps ; temps qui s'est essoufflé sous nos yeux mais auquel elles sont restées simplement fidèles. L’idéologie imbécile finit toujours par tuer... Ainsi l'humain ne compte pas pour elles, le droit encore moins... Faut-il oublier qu'elles et leurs acolytes ne sont que la digression contemporaine de Ceausescu, de Tito ou de Brejnev et leurs partis, pour ne pas remonter jusqu'à Staline and co... Leurs noms ne sont pas mentionnés dans ce texte comme prélude au fait que l’histoire ne les retiendra surement pas. Elles sont l'illustration de l'imbécilité et rien d'autre. Leurs votes n'ont pas pesé.

Président Trump: les premières décisions. Part 1 204

Le soir même de son investiture, le 20 janvier 2025, le président Donald Trump a, comme promis, procédé à la signature de pas moins de 77 décrets. Nombreuses sont les décisions qui ont simplement abrogé celles de son prédécesseur et les politiques du camp adverse. Il assoit ainsi les premiers jalons de sa politique future telle qu’il l’avait annoncé. Voici ici la liste des « President acts » qu’il a signé dans une mise en scène véritablement revancharde. Partie 1: 1. Abrogation de 78 décrets de l'administration Biden : Annulation de mesures concernant la baisse du prix de certains médicaments, les programmes de lutte contre les discriminations et les sanctions contre certains colons en Cisjordanie. 2. Déclaration d'une urgence nationale à la frontière mexicaine : Autorisation du déploiement de troupes américaines pour renforcer la sécurité frontalière. 3. Retrait des États-Unis de l'Accord de Paris sur le climat : Marque une rupture avec les engagements environnementaux internationaux. 4. Retrait des États-Unis de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) : Coup d'arrêt à la collaboration avec l'OMS. 5. Grâce présidentielle pour plus de 1 500 personnes impliquées dans l'émeute du 6 janvier 2021 : Pardons accordés aux partisans impliqués dans l'assaut du Capitole. 6. Suspension du télétravail pour les employés fédéraux : Encouragement au retour au travail en présentiel. 7. Déclaration d'une urgence énergétique nationale : Augmentation de la production de pétrole et de gaz, retrait des subventions aux véhicules électriques et abandon de l'Accord de Paris. 8. Reconnaissance officielle de deux genres biologiques : Limitation des politiques de diversité et inclusion, reconnaissance uniquement des genres masculin et féminin. 9. Désignation des cartels de la drogue comme organisations terroristes : Renforcement des mesures contre les cartels et sanctions accrues. 10. Prolongation du délai pour TikTok : Suspension temporaire de l'interdiction de TikTok, accordant 75 jours supplémentaires pour se conformer aux réglementations américaines. 11. Fin des programmes de diversité, équité et inclusion dans les agences gouvernementales : Suppression des initiatives visant à promouvoir la diversité au sein des institutions fédérales. 12. Création du Service des Revenus Extérieurs : Établissement d'une nouvelle agence chargée de la perception des tarifs et droits de douane. 13. Renommage du Golfe du Mexique en Golfe d'Amérique : Changement symbolique de nom pour affirmer la souveraineté américaine. 14. Rétablissement du nom de Mont McKinley pour le Denali : Retour à l'appellation traditionnelle de la montagne en Alaska. 15. Gel des embauches fédérales : Suspension des nouvelles embauches au sein du gouvernement fédéral, à l'exception des postes liés à la sécurité nationale. 16. Révocation du mandat de véhicules électriques : Annulation de l'obligation de transition vers les véhicules électriques. 17. Fin de la citoyenneté par droit du sol : Suppression de l'acquisition automatique de la citoyenneté pour les enfants nés sur le sol américain de parents étrangers. 18. Réintégration des militaires renvoyés pour non-conformité vaccinale : Rétablissement des membres des forces armées licenciés pour avoir refusé la vaccination, avec paiement rétroactif. 19. Interdiction de la censure gouvernementale : Mise en place de mesures pour protéger la liberté d'expression et empêcher la suppression de discours politiques. 20. Création du Département de l'Efficacité Gouvernementale : Nomination d'Elon Musk à la tête d'un nouveau département chargé de réduire le gaspillage et d'améliorer l'efficacité des agences fédérales. 21. Retrait des sanctions contre les colons israéliens en Cisjordanie : Annulation des mesures punitives à l'encontre des implantations israéliennes. 22. Réintégration de Cuba sur la liste des États soutenant le terrorisme : Rétablissement de Cuba en tant qu'État sponsor du terrorisme, entraînant des sanctions économiques. 23. Transfert du siège du Commandement spatial des États-Unis en Alabama : Déplacement du quartier général du Commandement spatial à Huntsville, Alabama. 24. Mise en œuvre de l'annexe F : Réduction des protections d'emploi pour des milliers d'employés fédéraux, facilitant leur licenciement. 25. Réévaluation de l'aide étrangère : Réduction ou suppression des financements aux pays jugés hostiles aux intérêts américains ou ne soutenant pas les initiatives des États-Unis dans les organisations internationales, avec une priorité pour les alliés stratégiques. 26. Interdiction des programmes d'éducation critique sur la race : Suppression des financements pour les écoles promouvant la théorie critique de la race. 27. Expansion des forages pétroliers et gaziers : Autorisation de nouveaux permis pour l'extraction dans les zones protégées. 28. Annulation des subventions pour les énergies renouvelables : Suppression des incitations fiscales pour les énergies éoliennes et solaires. 29. Création d'une commission sur la fraude électorale : Lancement d'une enquête nationale sur les irrégularités électorales de 2020. 30. Suspension des visas pour les citoyens de plusieurs pays du Moyen-Orient : Rétablissement d'un « Muslim Ban » modifié. 31. Rétablissement de la politique « rester au Mexique » : Les demandeurs d'asile doivent attendre au Mexique pendant le traitement de leur dossier. 32. Fin du financement fédéral pour les villes sanctuaires : Suppression des subventions pour les juridictions qui protègent les immigrants illégaux. 33. Augmentation des taxes à l'importation sur les produits chinois : Renforcement des droits de douane pour protéger les industries américaines. 34. Protection des monuments historiques : Interdiction de la destruction ou du déboulonnement de statues fédérales. 35. Encouragement au Made in USA : Renforcement des exigences d'approvisionnement local pour les agences gouvernementales. 36. Réduction des droits syndicaux pour les employés fédéraux : Limitation des négociations collectives dans la fonction publique. 37. Suppression des limites sur les donations politiques : Assouplissement des restrictions sur les financements électoraux. 38. Proclamation du jour de la liberté énergétique : Célébration nationale des industries pétrolières et gazières américaines. 39. Création d'un fonds pour les victimes du crime : Augmentation des ressources pour les victimes d'actes criminels, particulièrement ceux perpétrés par des immigrants illégaux. 40. Suppression des normes fédérales sur les toilettes transgenres : Rétablissement des lois définissant les toilettes par le sexe biologique.

Président Trump: Les premières décisions. Part 2 207

Le soir même de son investiture, le 20 janvier 2025, le président Donald Trump a, comme promis, procédé à la signature de pas moins de 77 décrets. Nombreuses sont les décisions qui ont simplement abrogé celles de son prédécesseur et les politiques du camp adverse. Il assoit ainsi les premiers jalons de sa politique future telle qu’il l’avait annoncé. Voici ici la liste des « President acts » qu’il a signé dans une mise en scène véritablement revancharde. Partie 2: 41. Renforcement des contrôles à la frontière nord : Expansion des mesures de sécurité avec le Canada. 42. Évaluation des pratiques des médias sociaux : Lancement d'une commission pour examiner la censure des opinions conservatrices. 43. Suppression de la réforme Obamacare : Nouvelle tentative de démantèlement complet de la loi sur les soins de santé abordables. 44. Révocation des règles sur les logements sociaux : Suppression des exigences pour les zones résidentielles d'accepter des logements subventionnés. 45. Interdiction des partenariats public-privé avec la Chine : Blocage des investissements chinois dans les infrastructures critiques américaines. 46. Rétablissement des exécutions fédérales : Réactivation des exécutions pour les criminels fédéraux condamnés. 47. Annulation des restrictions sur les armes à feu : Révocation des lois fédérales limitant la possession d'armes semi-automatiques. 48. Fin des subventions aux entreprises soutenant des causes progressistes : Réduction des crédits fiscaux pour les initiatives liées au climat et à l'inclusion. 49. Promotion de la célébration de Noël dans les écoles : Obligation pour les établissements publics de reconnaître et promouvoir les traditions chrétiennes. 50. Assouplissement des règles de pollution pour les grandes industries : Réduction des normes sur les émissions pour relancer la compétitivité industrielle. 51. Reconnaissance des institutions chrétiennes dans les financements fédéraux : Priorité aux écoles confessionnelles pour les subventions éducatives. 52. Augmentation du budget pour les forces de l'ordre : Renforcement des dotations pour la police et les départements fédéraux de sécurité. 53. Réouverture de Guantanamo : Réactivation du centre de détention pour les terroristes étrangers présumés. 54. Renforcement des sanctions contre l'Iran : Retour aux sanctions économiques les plus strictes contre Téhéran. 55. Financement prioritaire des infrastructures rurales : Orientation des fonds publics vers les communautés rurales plutôt que les grandes villes. 56. Création d'un mur technologique avec des drones et des caméras : Déploiement de la technologie avancée pour surveiller la frontière sud. 57. Révision des quotas de réfugiés : Réduction significative du nombre annuel de réfugiés acceptés. 58. Fin des financements à l'ONU pour les projets climatiques : Suspension des contributions des États-Unis aux initiatives climatiques internationales. 59. Promotion des écoles à charte : Augmentation des fonds pour les établissements indépendants. 60. Mise en œuvre d'un programme national d'alphabétisation civique : Création d'un programme pour enseigner les valeurs et l'histoire américaine dans les écoles publiques. 61. Rétablissement des droits religieux dans les entreprises : Autorisation pour les entreprises de refuser certains services pour des raisons de croyances religieuses. 62. Encadrement des réglementations bancaires : Réduction des restrictions imposées aux banques par la loi Dodd-Frank. 63. Augmentation du budget militaire : Renforcement du financement pour la modernisation des équipements et la cybersécurité militaire. 64. Suppression des visas de travail pour les étrangers dans certaines industries : Réduction de l'immigration légale pour privilégier l'emploi national. 65. Rétablissement des sanctions économiques contre la Corée du Nord : Mesures plus strictes pour limiter les ressources financières du régime nord-coréen. 66. Financement des infrastructures pour l'armée : Priorisation des fonds pour améliorer les bases militaires et les logements des militaires. 67. Suspension des financements pour le planning familial : Suppression des subventions pour les services liés à l'avortement. 68. Promotion des partenariats public-privé dans les infrastructures : Encouragement des investissements privés pour moderniser les routes, ponts et aéroports. 69. Création d'une base de données nationale sur les migrants : Centralisation des informations sur les migrants pour faciliter le suivi et la sécurité nationale. 70. Déclaration du « Jour national du patriotisme » : Instauration d'un jour férié pour célébrer les valeurs américaines. 71. Restriction des activités des ONG internationales : Réduction des financements pour les organisations promouvant des idéaux progressistes à l'étranger. 72. Fin de la coopération scientifique avec la Chine : Suspension des échanges académiques et technologiques avec des institutions chinoises. 73. Expansion des programmes de formation professionnelle : Augmentation des fonds pour les apprentissages et les écoles techniques. 74. Encadrement des pratiques de Big Tech : Renforcement des régulations sur la collecte de données et la transparence algorithmique. 75. Réintégration des monuments confédérés dans les sites historiques nationaux : Restauration et préservation des monuments controversés. 76. Abrogation des restrictions sur les entreprises pétrolières dans l'Arctique : Réouverture des forages dans les zones polaires. 77. Promotion de la liberté académique : Interdiction pour les universités de sanctionner les opinions politiques de leurs enseignants et étudiants.

Trump est bien là pour driver le monde vers d’autres horizons. 250

C’est fait l’empereur a été intronisé et béni par toutes les religions présentes sur le territoire ou presque. Tel un empereur romain, il est intronisé au sénat. Le Capitole est choisi pour des raisons de météo... Dieu le tout puissant en a décidé ainsi. Il fait froid et c’est à l’avantage du 47è président des USA. Il dit même que s’il n’a pas succombé à la tentative de meurtre qu’il a subi, c’est que Dieu le tout puissant avait décidé de le maintenir en vie pour la noble mission de rendre à l’Amérique sa grandeur. Comme dans une certaine mythologie, c’est à un descendant divin, à un messager que l’on a eu à faire et en bon prophète il a nous a gratifié de ses dix commandements. Quoi de plus normal que de commencer par dire aux américains et au monde que « aujourd’hui’ nous ouvrons (c’est lui qui parle) un nouveau chapitre où l’Amérique reprend sa place de leader, non par arrogance, mais par son destin d’excellence et de résilience ». C’est à se demander si un jour l’Amérique avait perdu le leader cheap du monde depuis qu’elle remporta ses premières batailles contre les espagnols en 1898 voilà quasiment trois siècles. Cette guerre avait sonné le glas de la puissance hispanique, qualifié alors de désastre par les ibériques. Dans un flegme on ne peut plus impérial, le seigneur des lieux poursuivi en annonçant à tous que « l’âge d’or de l’Amérique commence maintenant, car nous croyons que rien n’est trop grand pour ceux qui ont foi en leur pays et en eux-mêmes ». Quelle leçon à tous que de nous rappeler que la première richesse d’une nation est de croire en elle-même et en les siens. Une fois ces termes de grandeurs, d’ambition et de puissance prononcés, il fallait bien évidemment en venir à leurs déclinaisons ; et vlan « Nous déclarons une urgence nationale à la frontière sud, car protéger notre peuple est la première mission sacrée de ce gouvernement ». Le pays qui ne doit sa prospérité et sa puissance qu’à l’immigration va se fermer à la première source des flux humains qu’il dit l'inonder, celle qui lui vient de son flanc sud. L’Amérique ne veut pas s’hispaniser…Et pourtant elle doit énormément à ces bras qui lui sauvent l’agriculture et débarrasse sa jeunesse de tous les métiers astreignants, et de toutes les besognes auxquelles le jeune américain ne veut plus toucher. Il en fait une mission tintée de sacralité. Les familles américaines seraient inquiètes et doivent donc être rassurées et voilà qu’il leur sert un gage on ne peut plus clair et plus ambigu à la fois : « Nous combattrons les cartels qui détruisent des vies et divisent des familles. A partir d’aujourd’hui ils seront reconnus comme ce qu’ils sont : des ennemis de la paix ». De quels cartels il s’agit et de quel ennemi ? Le doute est ainsi semé et le spectre d’une chasse aux sorcières traversent les esprits. On aurait dit le président Truman ressuscité… Mais là la manœuvre n’est pas contre l’ennemi que constituait alors le communisme mais plutôt à l’encontre de cartels encore non identifiés. Les familles américaines sont-elles vraiment ainsi mise à l’abri des ennemis visés ; seul le temps va le démontrer. Changement climatique ou pas, les USA ne sont pas responsables, Ce sont les autres qui le sont, la Chine en premier. La pollution que son économie génère est le responsable de ce qui se passe sur terre et du coup l’Amérique se dédouane et peut gaiment se retirer des accords de Paris. « Nous choisissons de nous retirer des accords qui brident notre liberté économique, car nous croyons en l’innovation américaine, une innovation qui éclaire le monde » et il poursuit dans sa lancée : "Il n’y a pas de place pour l’ambiguïté : nous reconnaissons que la nature et le bon sens nous dictent – la beauté de nos différences, tout en célébrant notre humanité commune." Alors la salle se lève et applaudit. Elle est acquise et c’est normal. Les invités sont choisis et bien choisis. Ceux-là uniquement par obligation restent assis à vivre leur défaite ; Biden and co, les anciens présidents de l’autre bord et le peu de démocrates présents sont stoïques. Inertes, ils encaissent tels des boxeurs battus au coin d’un ring et d'un public hostile. « Ce jour marque notre volonté de rétablir notre souveraineté dans toutes les pièces du globe, et nous affirmons que les ressources qui enrichissent cette nation doivent d’abord servir son peuple. » Des termes on ne peut plus clairs dans la voix du souverainisme affichée, emprunte d’un égocentrisme on ne peut plus puissant. Mais n'est-ce pas là l'expression d'une quelconque menace... La liberté passe par un libéralisme outrancier ; tous les verrous vont sauter désormais « Nous mettons fin à tout programme qui compromet nos libertés fondamentales ou sacrifie nos valeurs sur l’autel des dogmes." Il parle de valeurs mais ne les définit pas. Lesquelles va-t-il mettre à l’avant ? surement pas celles défendues par ses ennemis politiques. Ceux à qui ils ne veut rien pardonner ; tout au long de la soirée, il n’arrêtera pas de leur envoyer des messages sournois et des piques sans rougir un instant. Et comme pour les rapetisser davantage, il leur sert le coup fatal : « l’Amérique n’est jamais aussi grande que lorsqu’elle rêve audacieusement, travaille avec acharnement et fait de l’impossible ce qu’elle fait de mieux ». Il leur dit clairement : vous manquez d’audace et de courage pour bien servir le peuple américain. Pour conclure ce premier moment de gloire, avant la série de signature des ‘President Orders’, moment qu’il choisit en premier devant ses troupes les plus populaires. Que c'est étonnant que de signer de tels actes dans une salle de sport, au milieu d'une foule au moteur surchauffé. Enfin, il ramène à la surface tous ses griefs contre une certaine presse et dit à tous « Nous restaurons un espace public où chaque voix peut s’élever librement, sans crainte de censure car notre liberté d’expression est le cœur battant de notre démocratie ». Chaque voix... entendons par là, chaque citoyen sur n’importe quel support et sans régulation aucune. Un véritable cadeau pour Marc Zuckerberg et indirectement pour Sundar Pichar. Jeff Bezos et Elon Musk en reçoive un de plus, le patron les encourage à aller sur Mars. Comme pour le réconforter de sa déconvenue avec l’un de ses enfants, le patron de Space x et de Tesla est heureux quand il l'entend dire que désormais aux USA, il n'y a plus que des hommes et des femmes. Le glas est sonné pour le wokisme. Tous ces Giga milliardaires étaient heureux d'être assis aux premières loges. Bien derrière on pouvait à peine apercevoir la tignasse du président de la FIFA. Voilà donc l’empereur des Amériques finalement intronisé, du coup le golfe du Mexique change de nom. Il est désormais appelé Golf de l’Amérique. Le canal de Panama redevient américain et le monde parfaitement averti : Trump est bien là pour driver le monde vers d’autres horizons.

Bonne année..........Action, ça tourne 308

le générique de fin défile sur l écran un épisode s achève, commence un autre different sans entracte ni pub, la saison suivante débute résolutions , challenges et nouveaux buts l opportunité de réimaginer son propre scenario du stylo qui écrit son destin devenir le proprio Réalisateur, producteur….bref chef du tournage Mener le shooting avec determination et courage embaucher le meilleur ingé son pour désormais se faire entendre choisir le volume necessaire, sa vision savoir défendre casting inédit, seconds roles et figurants uniquement des acteurs inspirés et inspirants bien entendu, être soi-meme la star jouer le role de sa vie, viser l oscar une histoire avec suspens, tension et inévitablement drame mais un final heureux, tirant de vos spectateurs une larme un happy end comme les américains savent faire une dernière scene au paradis, après plusieurs passages en enfer Terrasser ses ennemis, désarmer ses bourreaux dans le film de son existence , être le super héros SPREAD LE 7OB

2024, Palme d'or au Kenya pour les records du monde. 401

2024 a sans doute été l’année des jeux Olympiques par excellence avec des moments palpitants, des compétitions inoubliables, de grandes performances et une ambiance des grands jours. Paris ne pouvait rêver mieux surtout avec l’adhésion remarquablement exceptionnelle des spectateurs. Le nombre y était et l’enthousiasme aussi. Le score record de 198 350 points dans le classement des compétitions de l’année de World Athletics est le meillféminineur résultat de tous les temps pour les compétitions de type Championnat. Les Américan Trials sont relégués à la seconde place et les championnats d'Europe d'athlétisme à la troisième. Mais l’année 2024 a été aussi celle des records du monde par excellence. On pensait 2023 une année exceptionnelle, pas du tout 2024 a été meilleure avec une part de lion pour les athlètes du Kenya; ce qui est tout à l’honneur du continent Africain en plein essor. A tout seigneur tout honneur et c'est au suédois Mondo Duplantis et ses trois records au saut à la perche que revient la palme d'or ainsi qu'à la galactique américaine Sydney McLaughlin-Levrone par deux fois recodwomen aux 400m haies cette année. Les deux Mega stars se sont distingués aussi parce qu'ayant amélioré des records pendant les compétitions des Jeux Olympiques. Au marathon féminin Ruth Chepngetich va pulvériser le record du monde dans une course mixte et Perez Jepchirchir, dans une course exclusivement féminine. Il y eu aux 1500m Faith Kipyegon et aux 10 000m la tonitruante Beatrice Chebet. L’un des records les plus inattendus de l’année fut réalisé au saut en hauteur féminin avec l’ukrainienne de 1m80, Yoroslava Mahuchikh, suivi au disque hommes avec Mykolas Alekna qui nous vient de Lituanie. Plus confidentiels mais non moins importants sont les records obtenus à la marche sur 35 km par le japonais Masatora Kawano chez les hommes et au relais mixte 4x400m par l’équipe des USA. Trois records du monde ont également été établis sur 2000 m féminin avec l’australiene Jessica Hull et aux 3000 m masculin avec le survolté norvégien Jacob Ingebrigtsen qui n'arrive pas à s'y prendre corectement pour le record des 1500m toujours en possession du légendaire Hicham El Guerrouj. D’autres records ont été battus dans les épreuves sur route, dans les 5 km et les 10 km par Agnes Ngetich encore une kenyane dans une course mixte. Dans le mile sur route le record masculin a été amélioré à deux reprises par un autre Kenyan Emanuel Wanyonyi et par le britanique Elliot Giles. Celui du semi-marathon a lui été battu par l’ethiopien Yomif Kejelcha. D'autres records du monde ont été établis dans les épreuves en salle également avec aux 60m haies féminin par deux fois la bahaméenne Devynne Charlton, record qui sera égalé par l’américaine Tia Jones. La hollandaise Femke Bol a amélioré le record du monde en salle des 400m par deux fois également, avant d’alller plus tard porter haut son pays aux jeux olympiques. Sur 60m haies masculin l’américain Grant Holloway va pulvériser le record en cette année 2024. Il y a eu également trois records du monde, sur des distance moins conventionnelles comme les 600m par la kenyane Mary Moraa, les 300m avec la révélation mondiale, le botswanais LetsileTebogo, élu par ailleurs meilleur athlète de l’année. Le record du double mile en salle fut également amélioré par celui qui est entrain de redorer le blason britanique au demi fond Joshua Kerr. A cela s'ajoutent 14 records du monde chez les U20 et six dans la catégorie des U18. Ces réalisations montrent parfaitement le caractère universel de l’athlétisme. La quasi totalité des continents est représentée sur la liste des nouveaux records du monde avec une domination certes africaine grâce notamment aux athlètes du Kenya.

Journal de voyage #4: Côte est Australienne en minivan 406

Comme je l’ai dit a la fin de l’article précédent, le voyage a été long, environ 35h, incluant 2 escales de 5h à Addis Abbeba et Singapour pour arriver à Melbourne. Nous avons prévu 3 nuits d’hôtel avant de louer un minivan pour notre road trip le long de la côte est Australienne. En plus du dépaysement arrivant dans une grande ville moderne en arrivant à l’hôtel, un perroquet blanc à crête jaune perché sur lampadaire nous montre qu’on est quand même loin de chez nous. Pendant notre repos nous prenons le temps de visiter Melbourne et de retrouver un collègue d’il y a presque 10 ans. Une superbe journée passée ensembles à visiter un musée, la bibliothèque, boire un verre en terrasse sur un toit et surtout bavarder! Il y a des personnes que l’on retrouve après des années avec la sensation qu’on s’était vu la veille… Le jours du départ du road trip est arrivé, nous prenons en main les clés de notre maison et moyen de transport pour le mois qui vient. C’est un minivan avec un petit étage couchette, ce qui permet a mon fils d’avoir un lit. C’est plus cher qu’une tente mais beaucoup moins pénible à transformer tous les soirs que de déployer une tente et ranger le lendemain. Et puis vu la réputation de l’Australie en tant que territoire assez hostile à l’humain, nous serons plus à l’aise dans le van qu’au sol. Les lits s’avèrent très confortables. Nous commençons par longer la côte au sud-ouest de Melbourne nommée Great Ocean Road. Elle porte bien son nom. Les bords de mer sont vallonnés et donnent des vues plongeantes magnifiques sur l’océan d’un bleu vif époustouflant. Dès le lendemain nous faisons connaissance avec la faune locale lors d’une randonnée à Kenneth River : koalas, wallabies et kangourous. En continuant sur la Great Ocean Road, nous visitons les falaises vertigineuses des Twelve Apostles. Nous repartons ensuite vers l’est de Melbourne pour passer deux nuis au Wilson Promontory. C’est une montagne en bord de mer, dans un parc national. Une randonnée relativement physique de 1h30 de dénivelé positif corsé nous offre une vue panoramique sur le parc. La côte alterne entre Montagnes et plages. Encore un point de vue à couper le souffle. Décidément nous sommes gâtés. Mais ce n’est pas que notre vue qui est stimulée, depuis le début de notre road trip, en traversant les forêts d’eucalyptus, l’odeur qui s’en dégage est très agréable. Après les deux nuits dans ce parc, nous trouvons en dernière minute un petit bar/bistro qui accepte les campeurs gratuitement en arrière sur son terrain: le Bellbird. Nous y faisons de belles rencontres. Le propriétaire, Gary, et un couple de personnes assez âgées voyageant en caravane (lui a 78 ans). Nous buvons une bière tous ensemble et sympathisons avec le couple. En retournant vers notre campeur pour faire notre souper, ils nous offrent d’ouvrir une bouteille de vin, un shiraz 2022. Il est délicieux, complexe, pas trop tannique. Nous partageons nos plans de voyage, nous voulons aller vers Canberra et faire une dégustation de vin. Ils sont justement à la fin de leur voyage de 3 mois et rentrent chez eux le surlendemain, en banlieue de Canberra. Ils nous offrent de nous héberger. Nous acceptons et en échange je leur cuisine le repas. Nous passons une très belle soirée avec eux. C’est une sensation très bizarre et agréable en même temps d’être autant à l’aise avec des gens que l’on connaît si peu. Nous continuons le lendemain en direction de la côte. Arrivés a Sydney, sur conseil de nos nouveaux amis, nous établissons notre camp de base dans un camping un peu en dehors de la ville. Il y a des bus nautiques efficaces et à un prix dérisoire comparé au prix des stationnements. Nous arrivons donc en bateau au centre ville juste à côté du fameux opéra. Nous faisons un tour dans le quartier se situant a l’ouest pour cette première journée. Le lendemain, nous revenons au centre ville mais la météo est un peu moins clémente. Il pleut. Nous en profitons pour visiter le musée Hyde Park Barracks qui explique comment les premiers forçats on construit ce bâtiment ainsi que les premiers édifices et routes de la ville. Nous faisons quelques tours dans les boutiques et croisons beaucoup de monde, nous n’y étions plus habitués. En vérifiant sur nos téléphones, nous réalisons que c’est le Black Friday! Après ce bain de foule, retour à la nature pour une randonnée dans les blue mountains au nord ouest de Sydney. Ces montagnes sont en fait plutôt des falaises surplombant un canyon. Nous avons de très beaux points de vue, et observons des perroquets qui y planent. Nous retournons ensuite vers la côte, au nord de Sydney. Nous longeons la côte pendant 3 jours entre ballades, baignades et campings au bord de mer. Nous arrivons finalement à Byron Bay. C’est une destination très touristique mais qui mérite sa réputation. Malgré un centre-ville un peu surfait, les plages sont splendides, bordées par des roches formant des petites baies qui permettent d’être à l’abri des différents dangers de la mer: requins, méduses, baïnes etc. Nous en profitons pour faire du kayak en espérant rencontrer des dauphins. Pas de chance pour les dauphins mais nous avons surfé des vagues en kayak ce qui est quant même exceptionnel. Ensuite direction Brisbane où nous nous arrêtons juste une demi journée. Nous appliquons la même méthode qu’à Sydney. Comme une rivière longe la ville, un ferry servant de transport en commun nous amène aux points d’intérêts. Prochain arrêt : la plage de Noosa Heads pour un cours de 2h de surf, toute la famille s’y met et on s’amuse comme des petits fous à essayer de tenir debout sur la planche. Une des meilleurs nuits de sommeil du voyage s’en est suivie. Nous n’étions pas censé aller beaucoup plus au nord que ça mais avons décidé de dépasser le budget pour aller voir la grande barrière de corail. Il y a un départ de Bundaberg, qui est à 3h de route. De là un petit avion de tourisme nous amène à une île nommée Lady Elliot. Il y a juste la place pour une piste d’atterrissage non goudronnée qui traverse l’île et la coupe en deux. D’un côté quelques bungalows et un petit restaurant pour les chanceux qui y passent quelques jours, et de l’autre un lagon où nous faisons de la plongée en masque et tuba. C’est le tout début de la grande barrière de corail à cet endroit et quelle splendeur. Des coraux de toutes les couleurs et littéralement des centaines de poissons de couleurs étincelantes. Pour finir ce road trip, nous avons 3 jours pour retourner à Brisbane et rendre notre campeur. Nous faisons par petits bouts, malheureusement la météo n’est plus vraiment avec nous. Des journées nuageuses avec beaucoup de pluie. Nous arrivons quand même à visiter quelques villes côtières et nous baigner malgré le temps. Après tout, il va falloir s’habituer un peu à l’humidité, c’est c’est la saison des pluies à notre prochaine destination!

Le Fil d'Argent de la Destinée (EHLERS DANLOS) 401

Le Fil d'Argent de la Destinée (EHLERS DANLOS) Dans le Royaume des Étoiles Tissées, vivait une jeune fille nommée Alaya. Sa peau était douce et translucide comme la lumière de la lune, et ses articulations semblaient danser avec le vent. On disait qu'elle était née sous l'étoile du Fil d'Argent, un fil magique invisible reliant son cœur à l'univers tout entier. Cependant, ce fil, aussi beau qu’il ait été, était fragile et capricieux. Chaque mouvement trop brusque ou pas, pouvait le tendre ou le briser, causant à Alaya des douleurs mystérieuses que personne ne comprenait vraiment. Ses articulations se déplaçaient parfois comme les branches souples d'une saule, et sa peau se marquait facilement, comme un parchemin ancien. Un jour, alors que Alaya se promenait près du Lac des Reflets Sombres, elle rencontra le Sage Revard, un gardien des secrets célestes; Voyant sa souffrance, il lui raconta l'histoire du Fil d'Argent : "Tu portes en toi un fil tissé par les mains du Destin. C'est un lien précieux, aussi fort que l'amour et aussi fragile que le vent. Il ne te rend pas faible, mais différente. C'est ton courage et ta patience qui renforcent ce fil. Si tu apprends à l'écouter, il te guidera vers une lumière que peu peuvent entrevoir. Émue par ces paroles, Alaya décide de ne plus lutter contre sa condition, mais de la comprendre. Elle créa des mélodies en jouant de sa harpe d'argent, transformant sa douleur en musique qui guérissait les cœurs. Grâce à sa détermination, les habitants du royaume comprirent que la fragilité pouvait cacher une force immense. Ils rentrent ensemble un Temple du Fil Sacré, où chacun pouvait venir apprendre la patience, la construction de la résilience et l'acceptation de soi. Et ainsi, le Fil d’Argent de la Destinée d’Alaya ne se cassa jamais. Avec le temps et l’amour de tous, Il est devenu un symbole d'espoir, porté par tous ceux qui, comme elle, en cachaient un, invisible mais indestructible. Fin. Moral du conte : La véritable force ne réside pas dans l'absence de fragilité, mais dans la manière dont on embrasse ses différences. Chaque épreuve peut devenir une mélodie unique si l'on apprenait à écouter son cœur et à transcender ses faiblesses et à les transformer en force. La patience, la compréhension et l'acceptation de soi tissent un fil indestructible pouvant relier les âmes et illuminer même les chemins les plus sombres.

Le fil d'Argent de la Destinée (ELLERS DANLOS) 333

Le Fil d'Argent de la Destinée (EHLERS DANLOS) Dans le Royaume des Étoiles Tissées, vivait une jeune fille nommée Alaya. Sa peau était douce et translucide comme la lumière de la lune, et ses articulations semblaient danser avec le vent. On disait qu'elle était née sous l'étoile du Fil d'Argent, un fil magique invisible reliant son cœur à l'univers tout entier. Cependant, ce fil, aussi beau qu’il ait été, était fragile et capricieux. Chaque mouvement trop brusque ou pas, pouvait le tendre ou le briser, causant à Alaya des douleurs mystérieuses que personne ne comprenait vraiment. Ses articulations se déplaçaient parfois comme les branches souples d'une saule, et sa peau se marquait facilement, comme un parchemin ancien. Un jour, alors que Alaya se promenait près du Lac des Reflets Sombres, elle rencontra le Sage Revard, un gardien des secrets célestes; Voyant sa souffrance, il lui raconta l'histoire du Fil d'Argent : "Tu portes en toi un fil tissé par les mains du Destin. C'est un lien précieux, aussi fort que l'amour et aussi fragile que le vent. Il ne te rend pas faible, mais différente. C'est ton courage et ta patience qui renforcent ce fil. Si tu apprends à l'écouter, il te guidera vers une lumière que peu peuvent entrevoir. Émue par ces paroles, Alaya décide de ne plus lutter contre sa condition, mais de la comprendre. Elle créa des mélodies en jouant de sa harpe d'argent, transformant sa douleur en musique qui guérissait les cœurs. Grâce à sa détermination, les habitants du royaume comprirent que la fragilité pouvait cacher une force immense. Ils rentrent ensemble un Temple du Fil Sacré, où chacun pouvait venir apprendre la patience, la construction de la résilience et l'acceptation de soi. Et ainsi, le Fil d’Argent de la Destinée d’Alaya ne se cassa jamais. Avec le temps et l’amour de tous, Il est devenu un symbole d'espoir, porté par tous ceux qui, comme elle, en cachaient un, invisible mais indestructible. Fin. Moral du conte : La véritable force ne réside pas dans l'absence de fragilité, mais dans la manière dont on embrasse ses différences. Chaque épreuve peut devenir une mélodie unique si l'on apprenait à écouter son cœur et à transcender ses faiblesses et à les transformer en force. La patience, la compréhension et l'acceptation de soi tissent un fil indestructible pouvant relier les âmes et illuminer même les chemins les plus sombres.

Hakimi Achraf n'est pas ballon d'Or 2024, la CAF désavouée? 517

Nous sommes le lendemain de la cérémonie des « African Awards de football ». Une cérémonie célébrée avec brio et surtout vécue avec un fast sublimé au maximum à Marrakech…Une cérémonie que seul le Maroc, à sa façon millénaire, est capable de délivrer à un niveau frôlant la perfection. Ce fut une belle soirée à laquelle le brio et la brillance d’un Jalal Bouzrara au summum de son art et sa coéquipière un peu dépassée mais bien nantie, vont donner un bon rythme que seules les turbulences d’un président à la veste déboutonnée, le ventre pendant et l’habit très loin de respecter la circonstance vont de temps à autre déranger. Infantino lui-même était mal à l’aise subissant à souhait les mains galopantes d’un président qui joue à être plus africain que les africains. Son regard et des fois ses grimaces trahissaient son flegme pour laisser comprendre au Président de la CAF que ce n’était point comme cela qu’il faille agir dans une cérémonie suivie à travers le monde, le monde africain au moins. La salle est comble et bon nombre d’invités applaudissaient mécaniquement des trophées remis par ci par là à la meilleure ceci ou au meilleur cela. L’impression de l’autre côté de l’écran était celle de ces émissions de télévision ou un chauffeur de salle, un ambianceur, ordonne à l’assistance bien triée d’applaudir à son rythme et d’arrêter en fonction du timing choisi par le réalisateur. Non pas que les personnes ou les équipes primées n’eurent été légitimes à recevoir les trophées qui leur étaient décernés mais la façon de les annoncer par des stars ou moins stars n’a pas toujours été réussie. A chaque fois on a voulu jouer le suspense et la surprise alors qu’il n’y en avait pas lieu. L’évidence était là et bien là. Quelle équipe pouvait-on primer sinon celle de Côte d’Ivoire qui a délivré une coupe d’Afrique des plus palpitantes. Quelle autre entraineur femme pouvait être primée par exemple sinon la courageuse Lamia Boumehdi. Il n’y a pas pire dans un tel contexte, pour le spectacle, que de surjouer la surprise devant l’évidence. Dans de telles circonstances à un moment donné, l’ennui finit par s’installer et l’assistance de se lasser. Le Président de la CAF le ressent et une fois sur scène, encore une fois, va se pourfendre d’excuses à peine déguisées ; I know we are late… Il fait semblant de vouloir faire vite mais finit par retarder davantage les choses au grand dam de l’ami Jalal Bouzrara qui voyait ainsi son conducteur mal mené. En fait et cela se comprend parfaitement, tous dans la salle, comme nous tous derrière nos écrans par ailleurs, attendions un seul moment, le moment : Celui de l’annonce du meilleur jouer africain de l’année. C’est le seul et unique trophée dont on se rappelle des années plus loin et qui marque de telles cérémonies et les valorise. S’il venait à être annoncé en début de festivité, il est quasi certain qu’immédiatement après les salles se videraient très vite. Marrakech n’a pas fait exception. Le suspense fut maintenu par des choix musicaux sans doute discutables sinon par ceux les ayant recommandés. A chacun son gout. En un instant la sale se transforma en une mosquée et une cathédrale bien silencieuse. A chacun ses convictions mais le football réunit tout le monde autour de six litres d’air. Le moment attendu était bien arrivé cette fois ci. Toujours de la part des deux patrons du foot présents, celui du monde et celui de l’Afrique on annonça non sans quelques façons, le nom du ballon d’or africain pour l’année 2024. Le silence fut pesant un instant avant que quelques voix ne scandent le nom de Hakimi, des voix de plus en plus nombreuses. La douche est froide pour le clan marocain mais pas que. La CAF se retrouve désavouée. Le choix n’est pas le bon. Non pas que le joueur choisi ne soit pas méritant mais Hakimi est sans doute plus méritant pour plus d’une raison, aussi objectives les unes que les autres. Des questions se sont alors imposées de facto. Comment se fait-il que le ballon d’or ne soit pas revenu à un marocain à la suite de la Coupe du Monde du Qatar en 2022. Comment se fait que le trophée de 2023 ne soit pas revenu à Bounou et bien évidemment comment est-ce que le ballon d’or ne soit pas revenu à un des joueurs marocains ayant remporté le bronze aux jeux olympiques en l’occurrence ici Hakimi patron imposant et efficace de cette équipe. C’est là que des hypothèses et des questions peuvent être avancées. Les votants ont-ils quelque chose à reprocher aux joueurs marocains. Ne les perçoivent-ils pas comme suffisamment africains alors qu’ils le sont au même titre que les autres. Peut-être aussi et surtout que certains, sans doute une minorité mais pesant sur le vote, font l’amalgame avec ce qui se passe ça et là et dont sont victimes certains subsahariens. Le concept, laborieux, creux et non fondé de Maghreb ne pousse-t-il pas à faire l’amalgame entre tous les habitants de l’Afrique du Nord, sachant que des dirigeants de certaines contrées nord africaines se sont égarés dans des propos inacceptables à l’encontre des subsahariens et que d’autres ont eu des agissements plutôt inhumains visant de pauvres gens, poussés malgré eux à migrer du sud du Sahara vers le nord, en quête d’une vie meilleure. Des propos tenus ailleurs, des exactions commises ailleurs à des milliers de kilomètres du Royaume du Maroc. Ce ne sont là que des hypothèses que certains vont trouver déplacées ou infondées mais elles peuvent être discutées et démenties si elles n’étaient pas vérifiées. C’est là qu’il faut peut-être vite dire et préciser que le Maroc est le pays d’Afrique du Nord qui compte le plus de migrants, plus de 148 milles en 2024, avec une augmentation annuelle de 5.6% soit un bond spectaculaire de 71.86% en dix années seulement. Le Royaume est un pays de destination et de transit. Il a mis en place une véritable politique de soutien et d’intégration de ces populations migrantes. Le Pays s’est engagé pleinement dans le pacte mondial pour des migrations sures, ordonnées et régulières. C’est à ce titre que régulièrement sont régularisés des nombres importants de migrants notamment subsahariens qui jouissent ainsi des mêmes droits que les citoyens marocains. Voilà qui est dit au cas où... En tout cas ce matin les marocains, à juste titre ne sont pas contents et comprennent encore mieux la colère de Venicius et le Réal Madrid. Hakimi méritait amplement d’être Ballon d’or africain 2024.

LE PETIT PAPILLON DE VERRE 464

Le Petit Papillon de Verre Il était une fois, dans un paisible village au pied des montagnes, une nuit d’étoiles filantes, où un fragile papillon de verre vint au monde. Ce papillon, plus délicat qu'une plume et plus translucide qu'un ruisseau, portait en lui une malédiction éternelle. Ses ailes étaient fissurées dès sa naissance, si fragiles qu’elles menaçaient de se briser à chaque souffle de vent. Les anciens du village murmurèrent que jamais il ne volerait et que ses jours seraient comptés. Mais sa mère, une rose robuste et pleine de courage, refusa de croire à ces sombres présages. Chaque jour, elle protégeait le papillon des tempêtes, le réchauffait dans ses pétales, et murmurait des mots d’espoir : « Mon enfant, tes ailes sont différentes, mais elles portent la lumière des étoiles. Un jour, elles te feront briller. » Les saisons passèrent, et le papillon apprit à vivre avec ses ailes blessées. Le vent le faisait vaciller, la pluie le transperçait, et chaque envol était pour lui une lutte douloureuse. Pourtant jamais il ne se découragea et chaque chute était suivie d’un nouveau départ refusant d'abandonner. Avec le temps, ses fissures devinrent des lignes de lumière, transformant ses ailes en véritables œuvres d’art. Le papillon devint une source d’inspiration pour les autres créatures. Les oiseaux lui chantaient des chansons, les enfants venaient l’admirer, et même le vent, autrefois cruel, semblait danser avec lui. Mais derrière son éclat, la douleur demeurait. Chaque battement d’aile lui rappelait sa malédiction, chaque vol était une victoire arrachée à la souffrance. Un jour, une étoile filante descendit du ciel et murmura : « Petit papillon, pourquoi continues-tu à voler malgré la douleur ? » Et le papillon de lui répondre : « Parce que chaque battement d’aile est une preuve que je suis vivant. Ma douleur est mon ombre, mais elle éclaire ma force. Tant que je volerai, elle ne gagnera pas. » L’étoile, touchée par sa résilience, offrit au papillon un cadeau : la possibilité d’étendre son éclat à travers les cieux. Le papillon, devenu messager de lumière, parcourut le monde, illuminant les nuits sombres et inspirant ceux qui croyaient avoir perdu espoir. Ainsi, le papillon de verre vécut, non pas sans douleur, mais avec une lumière si intense qu’elle transcendait sa souffrance. Sa fragilité devint sa force, et son combat incessant fit de lui une légende éternelle. Et dans les cœurs des créatures qui croisaient son chemin, une étincelle naissait, celle de ne jamais cesser de se battre, même quand tout semble brisé. BOUSDIG FZ

Bashar El Assad, un bonhomme de neige... 528

J’aurais tant aimé que les images et les vidéos a profusion sur le net depuis la chute de Assad soient des fakes ou des extraits de films d’horreur. Elles sont insoutenables à vomir. Comment un humain au 21è siècle puisse se targuer d’être leader, chef d'état dans un pays et permettre à ses fonctionnaires sécuritaires de faire subir à des compatriotes des tortures aussi odieuses, aussi cruelles, aussi dégradantes, aussi déshumanisantes? Elles étaient aussi dégradantes d’abord et avant tout pour les narcissiques qui en faisaient subir les supplices à d’autres humains, à leur frères et sœurs. Quel type d’homme était ce Bashar, ce Assad, lion en arabe. Un lion est supposé d'abord protéger et défendre les siens mais Bashar n'était en fait qu'un lion en poudre de glace, un petit bonhomme de neige avec le nez de Pinocchio, puisque du haut de ses presque deux mètres il va fondre comme neige. Deux coups de boutoir de quelques hommes armés, sans doute aucun bien épaulés par ailleurs, ont suffit pour le faire fuir tel un rat rentré par inadvertance quelque part. Cette inadvertance dura tout même près de soixante ans partagés entre lui et son père, un autre sanguinaire qui avait fait des mains et des pieds et complotait sans relâche pour étendre ce type de régime et la doctrine de son parti: Baat à l'ensemble de la région et même plus loin. Humilier, dégrader, torturer, tuer sont bien gravés dans leur génome semble t il. Le père était tueur, les oncles étaient cruels, les proches étaient sanguinaires. Tous logés à la même enseigne. Depuis soixante ans, dans des prisons de l’horreur absolue que même Alexandre Aja, réalisant le film « les collines ont des yeux » n’aurait pu imaginer, des hommes et des femmes ont été écorchés vifs, écrasés, pressés, broyés entre deux plaques d’acier. Des hommes et des femmes ont été pendus jusqu'à ce que mort s'en suive au bout de cordes avec une couler bien précise: le rouge. Chacun et chacune qui pour leur malheur étaient conduit au mouroir de Saydanaya et il doit y en avoir d’autres, devaient subir le rituel de bienvenue. Un rituel documenté dans des vidéos. Ces « clip » sont sans doute une sorte de victoire sur les bourreaux portant l’uniforme de l’horreur. Ils montrent la cruauté humaine sublimée par des fous, des assassins. Ces imbéciles sans doute eux-mêmes étaient victimes du système Assad qui obstruait en eux, lui et ses généraux, jusqu’à la dernière veine de l’humanisme. Victimes probablement mais victimes complices et redevables devant la justice. Comment ce sanguinaire de chef d’état, ce fou, ce névrosé extrême, pouvait-il lui et ses sbires, manger, dormir, se raser devant un miroir, tendre la main à des gens, parler démocratie, promettre la prospérité et la paix au peule tout en sachant que chaque jour que le bon Dieu faisait, des jeunes et des moins jeunes étaient maintenus dans le noir absolu, sous terre, jusqu’à les déposséder de leur humanité de leur raison et de leur raison d’être. Comment est ce qu’un régime comme celui-ci pouvait siéger auprès des autres dans des institutions internationales, profitant d'une tolérance dont on ne peut dire aujourd'hui autre chose qu’elle était indécente.

Et si le Maroc organisait les 1er Jeux Olympiques de la Jeunesse d'Hiver en Afrique 432

Le Sénégal va organiser les prochains Jeux Olympique de la Jeunesse 2026!!!!! Les premiers dans le continent Africain!!!! Cela fait plaisir de voir des pays africains dynamique et qui osent leur ambition!!!! Cela doit aussi pousser un pays comme le Maroc🇲🇦 dans l'optique post Coupe du Monde 2030 a organiser les Jeux Olympique de la Jeunesse ou encore mieux les Jeux olympiques de la Jeunesse d'Hiver qui sont réellement possible dans notre pays dans l'optique 2040. Ils nous faut juste: ◆ Un centre de Curling. ◆ Un palais des glaces pour le short-track et le patinage artistique. ◆ Un terrain de Hockey sur glace (déjà en construction à Rabat). ◆ Un Centre de glace pour le patinage de vitesse et les cérémonies. ◆ Une station de ski pour le ski alpin: Le Super-G et le super combiné uniquement organisable à Bouiblane, le Slalom et Slalom géant organisable à Bouiblane, Oukaimden et même à Michlifen. ◆ Des Tremplins de saut à ski avec Jbel Hebri étant un site idéal. ◆ Des Pistes de Bobsleigh, Luge et Skeleton idéalement dans la colline derrière Michlifen. ◆ Un Centre pour le ski de fond et le Biathlon idéalement dans le plateau entre Michlifen et Jbel Hebri. ◆ Michlifen pour organiser les épreuves restantes de Snowboard et ski acrobatique.
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Un cannoli italien au cœur d'Amsterdam ... 460

Un après-midi ensoleillé à Amsterdam, je me promenais tranquillement dans les rues pavées de la ville. L'air frais me chatouillait le visage, et je m'imprégnai de l'atmosphère unique qui régnait dans ce quartier animé. En me promenant, je décidai de m'arrêter dans un petit magasin de fromages, un véritable trésor des Pays-Bas, où les étagères étaient garnies de toutes sortes de fromages hollandais aux saveurs puissantes. Cependant, ce qui attira mon attention ne fut pas les fromages, mais plutôt un petit gâteau posé sur le comptoir, sous une cloche en verre. Un vendeur néerlandais, souriant et chaleureux, me l'indiqua en m'expliquant qu'il s'agissait d'un « cannoli italien ». C’était étrange, je ne m'attendais pas à voir une pâtisserie italienne dans un tel lieu, mais la curiosité l'emporta. Je pris un cannoli, et en le dégustant, je fus immédiatement transportée en Italie par ses saveurs délicates et sa texture croustillante. Ce petit gâteau, si emblématique de la culture italienne, était ici, au cœur d'Amsterdam, un parfait exemple de l'hospitalité néerlandaise envers d'autres cultures. Les Néerlandais, toujours ouverts aux influences extérieures, savent non seulement apprécier mais aussi adapter ce qu’ils accueillent avec une touche d'originalité. Leur accueil chaleureux, leur sens du service et leur capacité à intégrer des traditions culinaires étrangères dans leur quotidien sont impressionnants. Ce moment simple, partagé entre un fromage néerlandais et un cannoli italien, reflétait cette étonnante capacité des Néerlandais à embrasser la diversité culturelle tout en restant fidèles à leur propre identité. Une belle illustration de la manière dont la gastronomie peut servir de pont entre les cultures et enrichir les échanges.

Mes récits entre Espagne, Malte, Pays-Bas et Allemagne ... 395

En parcourant Bluwr, j'ai été profondément inspirée par les auteurs qui ont partagé leurs récits de voyage. Ces histoires, empreintes d'authenticité, m'ont donné envie de parler de mes propres aventures récentes, qui m'ont menée à travers plusieurs pays européens riches en découvertes. Mon périple a commencé en Espagne, un pays vibrant de culture et de couleurs. À Torremolinos, j’ai savouré le mélange parfait entre détente et dynamisme. Ses plages dorées, son ambiance festive et ses marchés animés m’ont offert une escapade ressourçante. À Valence, j’ai été émerveillée par l’architecture impressionnante de la Cité des Arts et des Sciences, qui se dresse fièrement au cœur de la ville moderne. Pourtant, c’est dans le dédale des rues anciennes et lors d’un repas traditionnel en bord de mer que j’ai ressenti l’âme de cette ville fascinante. Malte et Gozo m'ont transportée dans une autre époque. À Malte, les forteresses et les rues pavées racontent des siècles d’histoire. La chaleur humaine et la beauté brute des paysages m’ont profondément touchée. Gozo, avec sa tranquillité et sa nature préservée, m’a invitée à prendre le temps de contempler et de me reconnecter à l’essentiel. À Amsterdam, la vie coule doucement au rythme des canaux. J’ai adoré flâner dans ses rues bordées de maisons colorées et découvrir ses musées captivants, entre art et histoire. La liberté et l’authenticité de cette ville en font un lieu unique, où chaque coin de rue semble raconter une nouvelle histoire. En Allemagne, j'ai eu l'occasion de visiter la ville de Stade, située au nord du pays, près de Hambourg. Cette petite ville historique, avec ses maisons à colombages et ses canaux tranquilles, m’a charmée par son atmosphère paisible et son riche patrimoine. Entre promenades le long du fleuve Schwinge et découvertes culinaires locales, Stade m’a offert un aperçu authentique de la culture allemande. Ces voyages, bien plus que des déplacements, m’ont permis de grandir et de m’émerveiller devant la richesse et la diversité de notre monde.

Trump tel un empereur de Rome... 593

Pendant sa campagne le Président Trump a été reçu par Joe ROGAN à son fameux Podcast, aujourd’hui plus puissant que beaucoup de médias classiques réunis. C’est là que Mr. Trump s’est le plus lâché et c’est là qu’il faut aller pour cerner sa politique projetée tant en interne que pour l’extérieur. Trump a dit en substance, à cette occasion "je serais dictateur une journée et le reste du temps, je serai démocrate". Entendez par là, qu'une fois installé au bureau de 75.8 m2, face à la roseraie de la Maison Blanche, il signera beaucoup de «Presidental Orders ». Il est coutumier du fait. Il en avait signé 53 en 10 mois lors du premier mandat. Les Presidential Orders sont les décrets qu’un président américain peut à prendre sans en référer au Congrès. La procédure quoique ne figurant pas dans la constitution a toujours été utilisée. Georges Washington, déjà en 1793 y a eu recours pour s'imposer la neutralité dans le conflit qui opposait France et Angleterre. C’est sous Franklin en 1862 que la procédure semble s’être invitée de façon pérenne dans les usages. Franklin D. Roosevelt est le président qui en détient le record puisqu’il en signera 3700. Cela n’a pas trop dérangé les américains qui faisaient alors confiance à leur président pour les sortir de la crise et préserver le pays de la faillite. Plus près de nous Georges W. Bush en signera 291. Le Congrès reste tout de même maitre de la situation dès lors qu’il s’agit de financement et donc de budget. Pour le Trump cela ne posera pas de problèmes. Ses fidèles sont bien majoritaires dans les deux chambres et ne lui opposeront à priori aucune difficulté. Le 20 janvier, il va montrer son dévouement aux USA et concrétiser ne serait-ce qu’en partie ses engagements, en signant une multitude de document de tous ordres. Certains vont les toucher les gens dans leur portemonnaie dès le lendemain. Il offrira aux collaborateurs réunis autour de lui comme un véritable capitaine d’équipe, des stylos à encre de marque prestigieuses. La dernière fois il y avait autant de stylos que d’actes signés. Trump a signifié qu’il entendait mettre fins aux guerres et n’entendait pas en mener ou laisser se produire de nouvelles. Il dira également en substance vouloir réduire certaines factures de l’état dont celles de l’armée. Il sait pertinemment que les grands empires ont tous quasiment chuté dès lors que leurs dépenses militaires avaient dépassées l’entendement. Pour lui, le pays dépense trop en guerre et en armée. Pèsera-t-il vraiment devant la puissance du Pentagon et ses raisons occultes.Il enstend en limoger le patron. Fort du ras de marais en sa faveur lors des récentes élections, il entend user de cet atout majeur et influer rapidement sur le cours des choses. Dans son approche économique, il cherchera prioritairement à réduire le déficit de la balance commerciale. Les américains sont déficitaires avec toutes les grandes économies du monde : 275 milliards US vis-à-vis de la Chine, 152 avec le Mexique, 72 avec le Japon etc. Un déficit énorme et plutôt malsain. Rien qu’en alcool et spiritueux le déficit est de 15 milliards. Il veut également reprendre la main sur la production des hydrocarbures et favorisera outrageusement l’exploitation des schistes bitumineux. Les accords de Paris, il s’en balance. Il entend revigorer certaines industries dont celles de l’automobile naguère fleuron de l’économie américaine. Pour cela il aura besoin de main d’œuvre, de plus en plus rare aux USA. S’il est apparemment contre l’immigration il a tout de même une solution. En somme, il ne veut plus de passagers clandestins, d’intrus de hasard ou ceux de la fameuse loterie. Il préconise une immigration basée sur les compétences en fonction des besoins. Le président est convaincu que c’est la voie pour concrétiser son fameux ‘America first’ Il ne veut plus mettre le nez dans les affaires des autres pays mais va cependant impacter indirectement leurs politiques économiques par la mise en place de taxes douanières plutôt élevées sur les importations. Et il est plutôt sélectif. Il vise la Chine en premier et projette de lui appliquer un taux de 60%. Le Mexique en fera drôlement les frais par ailleurs le 200% qui serait appliqué aux voitures électriques qu’il exporte vers les USA. Le voisin latino a favorisé sur son sol l’implantation d’entreprises chinoises fabriquant des voitures électriques. Elles sont ensuite introduites aux USA dans le cadre des accords de l’ALENA, signés en 1994 avec le Canada et le Mexique. Pour le reste du monde selon le client, les taux seraient de 10 à 20%. Une autre disposition risque aussi de perturber le cours des choses : la taxe douanière d’un taux de 100% qu'il veut imposer aux importations provenant des pays qui n’utilisent pas le dollar dans les transactions internationales. Le BRIX est directement visé. Si Trump dit ne pas vouloir de guerre nouvelle, voilà qu’il risque d’en déclarer une bien bonne à beaucoup de monde en même temps. Une guerre tous azimuts. Le très sérieux Centre d’Etudes Prospectives d’Informations Internationales estime par exemple que ces mesures, risqueraient de provoquer un repli du PIB mondial de l’ordre de 0.5%. Ce n’est point négligeable au regard des taux réalisés dans la quasi-totalité des pays sauf cas exceptionnels. Les pays qui exportent vers les USA se trouveraient ainsi impacté. En apparence ces mesures vont permettre de relocaliser aux USA certains secteurs productifs mais avec quels travailleurs alors qu’il entend en parallèle expulser près de 13 millions de personnes que lui et ses adeptes jugent de trop sur le sol américain. Cependant expulser n’est pas chose aisée et risque d’être très couteux à l’Etat dont il prétend défendre les deniers. Cette opération couterait quelques 315 milliards US au contribuable américain. En fait ce qu’il économiserait ou prendrait d’une main, sera perdu de l’autre. Reste aussi à savoir qu’elle sera la réaction de la ménagère américaine. Si en grande majorité elle a sanctionné les démocrates pour l’inflation, toutes les mesures plus haut mentionnées et d’autres encore proposées sont génératrices de cherté de la vie. L’américain moyen qui s’est habitué à payer une chemise made in China à 15 USD risque de devoir la payer plus de 20…et ce n’est pas pour cela qu’il a voté Trump. En tous cas, les deux mois qui nous séparent de l’investiture du 47è président des USA ne vont pas être de tout repos pour le monde entier. Les économistes et les politiques sont à pieds d’œuvre calculette à la main. Les uns comme les autres. Nul doute que certains ne soient déjà en train de préparer la parade aux dispositions projetées. Les USA ne sont plus ce qu’ils étaient il y a encore quinze ou vingt ans. Ils ont beaucoup perdu de leur superbe et de leur hégémonisme économique et Trump risque bien de l’apprendre à ses dépens, ou pas d’ailleurs. Il signera tout de même de sa main un paquet de Presidential Orders le 20 Janvier 2025, tout en savourant son grand triomphe tel un empereur romain.